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Consultation psychologique parental à Liège : soutien après un deuilPsy Enfant - Ado

Psychologue – Mme Ariane Humblet

📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 Esneux

📞 Téléphone RDV : 0495 66 00 61

Consultation psychologique à Liège : comment traverser un deuil parental avec vos enfants ?

Comment rester debout quand tout s’effondre ? Un parent qui disparaît, c’est la terre sous nos pieds qui se fissure. À Liège et partout ailleurs, chaque année, des familles se retrouvent à affronter l’impensable : annoncer un deuil à un enfant. C’est un fardeau qu’aucun parent ne devrait porter seul. Pourtant, beaucoup n’osent pas demander de l’aide. Peur de mal faire, peur d’empirer la peine. Cette page va vous parler du soutien psychologique parental après le deuil. Sans tabou, sans détour.

On va parler d’émotions, de mots qui coincent, de nuits blanches. Et surtout : de solutions, ancrées dans la réalité locale. Avec un regard spécifique sur les familles aux alentours de Liège, car les besoins varient d’une région à l’autre.

Perdre un proche, c’est comme une tempête qui dévaste la maison. Mais ce n’est pas une fatalité. On peut réparer, consolider, tenir ensemble. Si vous lisez ces lignes, c’est peut-être parce que vous cherchez comment soutenir vos enfants. Ou comment ne pas craquer, vous, alors que tout le monde se repose sur vous.

Psychologue – Mme Ariane Humblet propose justement des consultations de soutien parental, pour ne pas traverser la tempête seul. Une écoute, une boussole. On en parle ?

Pourquoi le soutien psychologique parental après un deuil est-il crucial ?

On n’apprend nulle part à être parent en deuil. Aucune formation, pas de tutoriel. Le matin, il faut nourrir les enfants et faire la vaisselle, même quand le monde s’arrête. La vérité ? C’est souvent l’équation impossible : tout gérer, tout cacher, tout porter.

Pourtant, le deuil d’un enfant n’est jamais identique à celui de l’adulte. Les plus jeunes vivent les choses davantage en vagues qu’en continuité. Un instant ils rient, l’instant suivant ils s’effondrent, sans prévenir. Et les ados ? Souvent, ils se murent dans le silence ou la colère. Vous avez peut-être l’impression de marcher sur des œufs. Vous n’êtes pas seuls.

Le soutien psychologique parental vise à accompagner les parents (ou tuteurs) dans ce rôle invisible : être le phare dans la tempête. Cela signifie, oui, penser à vous pour mieux aider vos enfants. Des études montrent que lorsque les adultes bénéficient d’un accompagnement, le deuil des jeunes est moins douloureux, moins violent. En clair : quand ça va mieux pour vous, ça va mieux pour eux.

Un exemple ? À Esneux, une maman de trois enfants est venue consulter Mme Ariane Humblet après avoir perdu son compagnon. Elle raconte avoir retrouvé le goût de respirer lentement, de parler à ses enfants sans fondre en larmes. Pas tout de suite, non. Mais après avoir trouvé, auprès de la psychologue, un espace d’écoute, de confiance. Cette histoire, c’est peut-être la vôtre. Ou celle que vous aimeriez écrire.

Prenons un chiffre : 1 enfant sur 20 perd un parent avant 18 ans en Belgique. Ce ne sont pas que des statistiques. Ce sont des garçons, des filles, des familles qui cherchent un sens, une piste, un peu de lumière dans l’obscurité. Découvrez notre article sur l’accompagnement psychologique de crise pour en savoir plus sur les formes d’aides disponibles.

Mais le deuil, c’est aussi des maladies somatiques : troubles du sommeil, maux de ventre, régressions. Les enfants – même ceux qui parlent peu – envoient des signaux : agressivité, difficulté à l’école, changements soudains. Un soutien adapté lève peu à peu le brouillard…

Comment une consultation psychologique parentale se déroule-t-elle concrètement ?

Alors, comment se passe une première consultation ? Pour beaucoup, franchir la porte d’un cabinet reste un saut dans le vide. On se demande : “Et si je pleure ? Si je n’ai rien à dire ?”. Rassurez-vous. Chez Psychologue – Mme Ariane Humblet, chaque rencontre débute par un échange sans jugement, à votre rythme. On pose les valises. Une question simple, souvent : “Qu’est-ce que vous attendez de cette consultation ?”.

Les premières minutes sont souvent, à vrai dire, silencieuses. Parfois, vous n’avez que des larmes à donner, ou des questions sans réponses. C’est normal. La psychologue ne cherche pas à “guérir” le chagrin, mais à l’apprivoiser. Petit à petit, le dialogue s’installe : sur ce qui pèse, sur ce que vous craignez, sur les mots que vous n’arrivez pas à prononcer devant les enfants.

Un point crucial du suivi : comprendre comment votre deuil et celui de votre (vos) enfant(s) peuvent s’entremêler. Vous aurez souvent l’impression que ça avance d’un pas et que ça recule de deux. Le travail du professionnel est de repérer les cycles, les récurrences, d’aider à détecter les signaux d’alerte – aussi discrets soient-ils.

Le passage par un professionnel permet aussi de ne plus être seul avec la responsabilité immense de “tout protéger, tout anticiper, tout réparer”. Un peu comme un GPS qui recalcule la route, la psychologue ajuste chaque séance selon vos besoins : soutien émotionnel, conseils concrets, relais vers d’autres professionnels si nécessaire.

En pratique ? Des séances espacées d’une à deux semaines, puis, selon vos retours, plus espacées. Le suivi peut aussi intégrer, quand c’est souhaité, une rencontre avec les enfants/adolescents, ou le reste de la famille. Il n’y a pas de modèle unique : certains parents ont seulement besoin de deux ou trois échanges-clés pour décoincer une situation. D’autres reviennent sur plusieurs mois, à la carte.

Ce qui compte, c’est de sentir que la barque est moins lourde à ramer. De reprendre de l’élan, ne serait-ce qu’un peu. Parce qu’après la tempête, il y a toujours des jours meilleurs, même si le soleil tarde à revenir.

Attention : demander de l’aide n’est pas un aveu de faiblesse. Au contraire. C’est un acte de courage. Accepter d’être accompagné, c’est montrer à l’enfant que l’adulte aussi a le droit d’avoir besoin d’épaule. Vous hésitez encore ? Parfois il suffit d’un premier pas : passer un coup de fil. C’est le début du mieux.

Psychologue – Mme Ariane Humblet

📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 Esneux

📞 Téléphone RDV : 0495 66 00 61

Le rôle du psychologue parental : soutien et outils concrets

Quel est le rôle exact du psychologue dans ce cheminement ? Ce n’est pas de porter le deuil à votre place. Plutôt de vous aider à le traverser, en gardant la main sur votre vie, votre famille, vos valeurs. En consultation à Liège, Mme Ariane Humblet partage souvent des outils qui font la différence :

  • L’art de trouver les mots quand tout semble tabou
  • Des astuces pour accompagner les émotions enfantines (cauchemars, colères, interrogations sur la mort…)
  • Un espace sécurisé pour déposer vos propres peines, sans jugement. Se sentir “nul” ou “impuissant”, cela arrive à tous les parents – ce n’est jamais une faute
  • Des conseils pour garder le fil du dialogue familial : ritualiser les souvenirs, inventer des petits gestes pour intégrer la personne disparue sans l’effacer
  • Des orientations, si besoin, vers d’autres spécialistes (thérapeutes pour enfants, groupes de parole, etc.)

Tout cela s’ajuste à la personnalité et à l’histoire de chaque famille. Ce qui aide certains n’aura aucun effet pour d’autres. Mais chaque consultation permet de tester, d’ajuster, de revenir sur ce qui fonctionne ou non.

Un point clé : repérer les signaux de souffrance qui pourraient passer inaperçus. L’enfant peut, par exemple, développer des douleurs physiques (ventre, tête) ou des troubles scolaires, sans jamais parler de sa tristesse. Un ado, lui, va parfois s’opposer, se renfermer, ou multiplier les conduites à risque. L’accompagnement parental aide à déchiffrer, à faire la différence entre une réaction normale de deuil… et un appel à l’aide plus profond.

N’oublions pas que le deuil n’a pas d’âge de “guérison”. Certains enfants mettent des mois à réaliser, d’autres posent des questions déroutantes (“Où est papa maintenant ?” ou “Est-ce que moi aussi je vais mourir ?”). Se sentir peu armé face à ces questions, c’est normal. Là encore, le psychologue propose des techniques issues de la psychologie de l’enfant : jeu, dessin, histoires métaphoriques… tout ce qui permet de déposer sa tristesse à sa façon.

Vous souhaitez en savoir plus sur ce que fait un psychologue pour enfants ? Découvrez cet article sur l’accompagnement psychologique et les tests de QI chez l’enfant.

Quels outils et rituels pour accompagner le deuil parental en famille ?

Peut-on vraiment “aider” un enfant à faire son deuil ? C’est une question piège. On ne guérit pas la peine comme une simple grippe. Mais on peut alléger le fardeau, offrir des repères, éviter que la douleur ne devienne un tabou familial. Voici quelques outils proposés lors des consultations – à adapter ou non, selon votre histoire…

1. Les rituels du quotidien

Un simple calendrier, un livre dédié au parent disparu, planter un arbre, garder un objet que l’on touche chaque soir… Ces petits gestes sont des ancres pour les enfants. Inutile de forcer : certains vont naturellement inventer leur propre rituel, d’autres préféreront le silence. Le psychologue aide à décoder ces besoins.

2. La parole libérée, mais jamais forcée

Parler du parent décédé, c’est l’un des points de tension pour beaucoup. Faut-il ou non prononcer son nom, raconter des souvenirs, répondre aux questions ? La psychologie recommande de suivre le rythme de l’enfant, tout en posant un cadre rassurant. Par exemple : une boîte à souvenirs, un moment chaque semaine pour évoquer ce qui manque, ou un petit carnet pour poser les questions “quand on veut, plus tard, jamais”.

3. L’expression par le jeu ou le dessin

Les enfants n’ont pas toujours les mots adéquats. Parfois, un simple dessin ou une histoire inventée sont beaucoup plus parlants. Les psychologues peuvent proposer des jeux de marionnettes, des histoires à compléter, ou la création d’un “livre de vie” imaginaire, pour cheminer à travers le deuil sans le dire.

4. Prendre en compte l’âge et la personnalité

Un tout-petit a besoin de répétition, d’explications concrètes, de sécurité physique. Un préado va davantage interroger le sens de la vie et de la mort, parfois avec humour, parfois avec violence. Adapter les outils, c’est aussi accepter de ne pas avoir de recette miracle.

Ainsi, si votre enfant commence à régresser, à perdre des compétences acquises (propreté, sommeil…), ou au contraire à devenir plus adulte que son âge, ce n’est pas “anormal”. C’est une étape parfois classique dans le deuil. Le suivi psychologique parental sert à déculpabiliser, à remettre à plat ce qui inquiète… et à sentir que vous faites déjà beaucoup.

Et s’il n’y avait qu’un conseil à retenir : ne forcez jamais un enfant à exprimer ce qu’il ne veut pas partager. Les silences sont parfois des refuges nécessaires. Le rôle du parent, c’est d’être là, présent, fiable, sans pression.

À plus long terme, un suivi guidé peut aussi prévenir les dérapages scolaires, les replis ou les conduites à risque à l’adolescence. En consultation, vous apprendrez à repérer les petits signaux. Comme un berger reconnaît chaque brebis, chaque parent apprend à voir au-delà des apparences… quand il est accompagné et non jugé.

Quand consulter et comment tenir sur la durée ? Les signaux d’alerte et les ressources locales

La question revient souvent : à partir de quand doit-on consulter un psychologue parental ? Et faut-il craindre d’y aller “trop tôt” ? En réalité, il n’y a pas de bon ou de mauvais moment. Mais certains signes doivent alerter. Lesquels ?

  • L’enfant refuse de parler, de manger, de dormir pendant plusieurs semaines
  • Peurs soudaines, cauchemars persistants, repli total sur lui-même
  • Comportements violents (contre soi ou les autres), fugues, conduites dangereuses chez l’ado
  • Propos désespérés (“Je veux rejoindre Papa”, “À quoi ça sert, la vie ?”), même s’ils semblent dits sans gravité
  • Rupture totale du dialogue en famille, isolement de chacun dans sa chambre

Pour les parents : l’épuisement est souvent minimisé. Le sentiment d’être en pilote automatique, de ne ressentir plus rien, la tentation de “faire semblant”. C’est le moment idéal pour demander de l’aide. Pas pour vous “soigner”, mais pour retrouver une marge de manœuvre, de meilleures nuits, de l’énergie – tout simplement.

À Liège et dans sa région, les ressources ne manquent pas. Les consultations chez Psychologue – Mme Ariane Humblet s’adressent autant aux parents en difficulté qu’à ceux qui veulent simplement vérifier qu’ils ne passent à côté de rien. On peut venir “juste pour voir”, sans engagement. Les consultations se font sur rendez-vous, avec une discrétion totale. Les coordonnées sont en haut et plus bas sur cette page.

Il existe aussi des groupes de parole, et des services spécialisés pour la prise en charge des enfants endeuillés. Si besoin, votre psychologue pourra vous les recommander.

Le suivi parental, ça veut dire quoi sur la durée ? Ça veut dire ne plus attendre que “ça passe tout seul”. Parfois un ou deux rendez-vous suffisent à reprendre pied ; parfois, un accompagnement plus long est nécessaire. Le mot d’ordre : rien n’est figé. C’est comme apprendre à marcher sur une nouvelle terre. On trébuche, on apprend… et surtout, on avance.

Vous hésitez sur la marche à suivre ? Retrouvez aussi des conseils sur les pressions et la culpabilité parentale dans cet article du même cabinet, pour dédramatiser vos doutes.

FAQ – Questions fréquentes

Comment savoir si mon enfant a besoin d’un accompagnement psychologique après un deuil parental ?
Il faut consulter si votre enfant présente des changements durables de comportement : silence prolongé, troubles du sommeil ou de l’alimentation, pertes d’intérêt ou régressions. Un professionnel comme Mme Ariane Humblet à Esneux saura évaluer la situation et proposer un soutien adapté.

Pourquoi prendre rendez-vous pour moi, en tant que parent, après un deuil ?
Parce que le parent est souvent le pilier de la famille : votre propre mieux-être influence fortement celui de l’enfant. Prendre rendez-vous, c’est se donner les moyens de rester disponible, à l’écoute, et de trouver des solutions quand on se sent dépassé.

Faut-il attendre longtemps avant d’entamer une consultation psychologique parentale ?
Il est possible de consulter dès que le besoin s’en fait sentir, sans délai précis à respecter. Parfois, parler tôt permet d’éviter que la détresse ne s’installe ou ne se transforme en problèmes plus profonds.

Quand la souffrance du deuil devient-elle inquiétante chez l’enfant ou l’adolescent ?
Si la souffrance perturbe durablement la vie quotidienne (école, sommeil, relation aux autres), ou si elle s’accompagne de propos désespérés ou de comportements dangereux, il est important de consulter rapidement. Un professionnel pourra vous guider et éviter que la situation ne s’aggrave.

Références scientifiques

Worden, J.W. Children and Grief: When a Parent Dies. The Guildford Press, 1996. Résumé : Synthèse des réactions des enfants au deuil parental et des accompagnements thérapeutiques validés.

Poulsen, M. et al. "Parental bereavement and psychological functioning in children: A systematic review." Death Studies, 2017. Résumé : Revue des impacts psychologiques du deuil parental sur l’enfant, identification des facteurs de protection.

Christ, G.H. "Healing children's grief: Surviving a parent's death from cancer." Oxford University Press, 2000. Résumé : Outils pour aider familles et thérapeutes à accompagner le deuil après un décès durement vécu.

Cohen, J.A. et al. "Practice parameter for the assessment and treatment of children and adolescents with depressive disorders." Journal of the American Academy of Child and Adolescent Psychiatry, 2007. Résumé : Guide pour repérer la dépression liée au deuil chez le jeune, stratégies de prise en charge.

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