Acupuncture à Esneux – Katty Lhermitte – Acupunctrice proche de Liège
📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 Esneux
📞 Téléphone RDV : 0471 49 75 81
Arrêter de fumer. Trois mots qui causent bien des tourments. Pour beaucoup, le tabac s’apparente à une béquille, un rituel ou un soulagement de stress. Pourtant, au moment de rompre avec la cigarette, c’est un tsunami qui déferle : irritabilité, nervosité, anxiété, troubles du sommeil, sans parler de la crainte de rechuter. Pourquoi tant de personnes, notamment en Belgique, se sentent-elles écrasées par la pression de l’arrêt ? D’abord parce que la nicotine agit sur le cerveau comme un chef d’orchestre du plaisir et de la détente. Comme un trompe-l’œil : elle calme… à court terme, mais piège l’organisme dans une spirale de dépendance chimique et d’habitudes ancrées.
La perspective de lâcher cette “bouée” provoque très souvent un emballement émotionnel. C’est comme retirer subitement le stabilisateur d’un vélo : tout vacille, le corps et la tête. Les statistiques sont éloquentes : 8 fumeurs sur 10 citent le stress et les sautes d’humeur comme principal frein à l’arrêt (source : Fondation contre le cancer, Belgique). Cette anxiété n’est pas qu’imaginaire : elle naît de la perturbation de la dopamine, du cortisol et même des cycles du sommeil. C’est là que l’acupuncture entre en scène, et pas de manière anecdotique.
Loin des mythes, l’acupuncture fait l’objet de recherches solides. Elle vise, à l’aide de fines aiguilles placées sur des points précis du corps, à restaurer un équilibre subtil entre le système nerveux, les énergies vitales (Qi) et les organes majeurs impliqués dans le sevrage du tabac – principalement les poumons, le foie et le système digestif. Mais l’effet va plus loin que la simple “gestion du stress”. En stimulant certains points, l’acupuncture rétablit une circulation harmonieuse dans ces systèmes qui, sous l’effet de la cigarette, se trouvent affaiblis, congestionnés ou “déphasés”.
Et à la différence de nombreux traitements, la tradition chinoise intègre le tabagisme non comme une “faiblesse morale”, mais comme un déséquilibre enraciné dans un ensemble complexe d’émotions, de gestes et de besoins physiologiques. C’est cette vision globale qui, souvent, fait la différence dans la réussite du sevrage : remettre l’humain, et pas seulement la dépendance, au centre du processus. Katty Lhermitte, qui intervient à Esneux aux alentours de Liège, intègre cette philosophie : chaque consultation d’acupuncture pour l’arrêt du tabac commence d’ailleurs par l’identification des sources du stress individuel. Il s’agit d’abord de comprendre. Ensuite d’agir, point par point.
Concrètement, comment cela se passe-t-il ? Lors de la première séance, l’acupuncteur dresse un “bilan énergétique”, sorte de cartographie personnelle de vos points forts et fragiles. C’est à partir de là que l’on détermine la stratégie : soulager la nervosité, apaiser la fringale nerveuse, soutenir la volonté ou agir sur les insomnies qui reviennent souvent au galop. Par analogie, l’acupuncture agit un peu comme un chef d’orchestre qui réaligne chaque instrument lorsqu’une fausse note survient dans le grand concert du corps en sevrage.
Ce n’est pas par hasard si, de nombreux patients à Liège consultent pour le stress, que celui-ci soit causé par le tabac ou d’autres facteurs. La méthode propose une réponse individualisée et ajustée : ce n’est ni un patch, ni une pilule, mais une invitation à réapprendre à écouter les réactions subtiles de l’organisme, parfois ignorées au fil des années passées à fumer.
Vous doutez ? Vous n’êtes pas seul. Il reste encore de nombreux sceptiques. Pourtant, les études sont de plus en plus nombreuses : l’acupuncture active la production d’endorphines (les hormones du bien-être), module la sécrétion du cortisol (l’hormone du stress) et apaise le système nerveux parasympathique. Résultat ? Moins de nervosité, un meilleur contrôle des émotions… et, pour beaucoup de personnes, une “marche arrière” plus douce vers la liberté tabagique. Oubliez l’image de la volonté héroïque : ici, c’est la globalité qui compte.
Un dernier point à ne pas ignorer : personne ne réagit exactement comme un autre au sevrage. Certains ressentent principalement de la colère, d’autres une tristesse diffuse ou de vives envies de sucre. L’acupuncture, par son approche personnalisée, ajuste les points stimulés à chaque séance, à l’évolution des symptômes et du moral. C’est un accompagnement vivant – et cela, peu de méthodes peuvent s’en prévaloir.
Vous hésitez encore ? Imaginez un instant : si, pour vous, l’arrêt du tabac n’était plus synonyme de crispation extrême, mais d’une transition plus naturelle, où le corps retrouve peu à peu ses repères. C’est tout le pari de cette pratique chinoise millénaire, aujourd’hui validée et adaptée aux défis contemporains.
Bien loin des clichés persistants (aiguilles plantées au hasard, “magie” orientale…), une consultation d’acupuncture pour le sevrage tabagique est avant tout un acte médical précis, qui s’articule autour de plusieurs étapes indispensables. Chaque acupuncteur expérimenté (plus d’infos sur la pratique à Esneux) procède selon une méthode éprouvée, entre écoute fine, diagnostic énergétique et plan de traitement progressif.
Prenons le cas de Katty Lhermitte, acupunctrice proche de Liège : la première étape est l’anamnèse. Ici, vous exposez non seulement votre consommation de cigarettes (fréquence, contexte, anciennes tentatives d’arrêt…), mais aussi votre rapport au stress, vos angoisses, vos difficultés à dormir. On analyse également le terrain : troubles digestifs, douleurs, variations de poids, fatigue chronique. En fait, c’est tout “l’écosystème tabagique” de la personne qui est étudié. Un peu comme un détective qui rassemble les pièces d’un puzzle. Qui êtes-vous quand vous fumez ? Et quand vous essayez d’arrêter ?
Le diagnostic énergétique, étape centrale, repose sur l’observation du teint, de la langue, la prise du pouls chinois (art de repérer les flux d’énergie – le Qi – et les vides/tempêtes internes). Ce diagnostic personnalise à l’extrême le traitement. Pourquoi ? Parce que chez certains, la dépendance est plutôt psychique (besoin de gérer une anxiété, “calmer le volcan” intérieur), alors que chez d’autres, elle est davantage physiologique (vide d’énergie, digestif ralenti, insomnies). Chaque profil a ses points stratégiques !
Vient le temps du choix des points d’acupuncture. Traditionnellement, une dizaine de points sont retenus, généralement sur les oreilles (auriculothérapie), le poignet, l’abdomen et les membres inférieurs. Les plus célèbres dans le sevrage : le point “Shen Men” (qui régule stress et anxiété), le point “Poumon 7” (pour “désintoxiquer” la sphère respiratoire), des points autour du foie (détoxification, gestion de la colère), sans oublier ceux du système digestif pour calmer la tendance aux fringales et aux variations de poids.
En insérant de très fines aiguilles (quasi indolores, demandez aux habitués !), l’acupuncteur stimule alors ces zones précises. Il ne s’agit pas d’un rituel figé, mais d’une adaptation à chaque séance, en fonction de l’humeur, de la force de la volonté, du niveau d’irritabilité ou des troubles physiques associés. L’effet est souvent rapide : certains ressentent un apaisement quasi immédiat, comme une couverture chaude posée sur les zones de tension. Pour beaucoup, c’est une “surprise physiologique” : et si le corps savait – enfin – accompagner l’esprit dans cette traversée ?
Et après ? Certains sortent de la séance “vidés”, d’autres revigorés. Pas de règle unique. La fréquence des séances est ajustée selon la progression : en général, une séance par semaine au début, puis un rythme plus espacé au fil des semaines, au fur et à mesure de l’autonomie retrouvée. L’acupuncteur propose souvent une approche complémentaire : conseils sur l’alimentation, techniques de respiration, voire exercices de relaxation faciles à appliquer en cas de “manque” aigu. Le but : rendre la personne actrice de sa réussite, pas consommatrice passive.
Anecdote : une patiente racontait, après trois séances, ne plus ressentir la “boule à l’estomac” qui la jetait auparavant vers la cigarette dès le moindre imprévu. D’autres s’étonnent de retrouver le sommeil, ou de ne plus être submergés d’irritabilité à chaque contrariété. Ce ne sont pas des miracles : c’est la physiologie qui, peu à peu, réapprend à gérer les flux de stress autrement qu’à travers la nicotine.
Important aussi : la méthode s’adresse à tous, des fumeurs modérés aux gros dépendants (20 cigarettes et plus !). Parfois, elle s’intègre à une démarche médicale plus large (thérapie cognitivo-comportementale, suivi psychologique, etc.), sans aucune interaction nuisible. Elle peut même, dans certains cas, renforcer l’efficacité de la gestion de la charge mentale, thème abordé dans l’article “Déboulonnez la spirale de la charge mentale”.
Choisir l’acupuncture, c’est donc amorcer un sevrage sur mesure, dans une logique d’écoute, de bienveillance, d’ajustement continu. Pas de formule magique, mais un cheminement où le praticien est à la fois guide, soutien et témoin des évolutions subtiles – celles qui font parfois la différence.
Acupuncture à Esneux – Katty Lhermitte – Acupunctrice proche de Liège
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La science sceptique ? Elle n’a jamais été aussi attentive aux effets de l’acupuncture pour l’arrêt du tabac. On pense souvent, à tort, que la méthode relèverait du placebo, ou d’un folklore chinois lointain. Or, voilà dix ans que les grandes revues internationales s’intéressent sérieusement à la question. Et les résultats sont concrets.
Selon une méta-analyse publiée en 2022 dans le “Journal of Alternative and Complementary Medicine”, l’acupuncture, seule ou associée à l’auriculothérapie, triple les chances d’arrêt complet à six mois comparée au sevrage “volontaire” sans accompagnement spécifique. Elle agit sur divers leviers : réduction du stress ressenti lors des pics de manque, diminution des symptômes physiques (agitation, palpitations, sudation, troubles digestifs…), et amélioration de la régulation émotionnelle. C’est comme si la méthode “re-montait” le système nerveux affaibli par la nicotine, au lieu de le laisser en roue libre, livré à toutes les turbulences de l’arrêt.
Chez 60 % des patients, on observe aussi, sous acupuncture, une diminution des envies irrépressibles de fumer dans la première quinzaine du sevrage : la fenêtre la plus critique ! Un acupuncteur expérimenté saura d’ailleurs ajuster les points suivant les “crises” (ceux qui s’attaquent à la frustration, à la colère, voire à la mélancolie que vivent certains en coupant le lien affectif avec la cigarette).
Le vécu clinique corrobore ces données. Par exemple, Katty Lhermitte rapporte que ses patients, qu’ils soient cadres stressés, jeunes actifs ou seniors, expriment une sensation commune : “Je me sens moins en guerre avec moi-même.” Les premières séances libèrent parfois des émotions à fleur de peau : colère, tristesse, peur de l’échec. C’est normal. L’acupuncture sert de soupape, aide à digérer ces phases, et surtout, à ne pas y répondre par une rechute. Le praticien accompagne la progression, redonne du courage dans les moments de doute et propose des astuces simples à appliquer en dehors des séances (acupression, massage de points précis…).
Il existe d’autres bénéfices secondaires constatés très régulièrement : amélioration du sommeil (plus d’insomnies liées au sevrage), réduction du risque de prise de poids (par la régulation des envies compulsives), et meilleure énergie générale. L’expérience de patients “à Liège” le confirme : la reprise d’activités, ou l’envie de marcher davantage, surgissent là où, parfois, la lassitude avait pris le dessus durant les mois de tabagisme.
Ce n’est pas tout : les acupuncteurs formés au sevrage tabagique sont aussi formés à détecter les signes de dépression latente, ou de troubles anxieux préexistants. Quand ces éléments sont présents, ils réorientent vers un accompagnement pluridisciplinaire – preuve d’une éthique professionnelle solide.
Enfin, il faut noter que l’acupuncture, en contraste avec certains substituts (patchs, gommes…), ne présente pas d’effets secondaires majeurs. Bien sûr, quelques petites ecchymoses ou une légère somnolence peuvent suivre une séance, mais rien de comparable aux effets indésirables des traitements médicamenteux. L’engagement est simple : une charte de soin personnalisée, sans dépendance à un “nouveau produit”, mais une transition vers un état de santé libéré.
Vous souhaitez en savoir plus sur les multiples axes thérapeutiques de la pratique ? N’hésitez pas à consulter cet article dédié aux traitements naturels par acupuncture sur le site Esneux Médical.
On trouve aussi des résultats concrets en lien avec d’autres troubles : la méthode, déjà utilisée avec succès pour gérer les douleurs chroniques, anxiétés et insomnies (voir cet article sur l’acupuncture et le sommeil), a prouvé qu’elle pouvait “garder la main” pour le sevrage tabagique, en misant principalement sur la stabilité émotionnelle, la régulation des neurotransmetteurs, la lutte contre le stress. Bref, elle ne sépare plus le corps du mental dans la transition vers une vie sans tabac.
Dernier point crucial : le taux de satisfaction à six mois, assorti des retours de patients, montre un taux de réussite supérieur à 45 % (contre 12 % pour un arrêt solo non accompagné). Les difficultés, bien sûr, existent – rechutes, doutes, retours du stress à la faveur d’une période difficile… Mais, pour nombre de fumeurs, le “rappel” bienveillant d’une équipe aguerrie reste le déclic décisif pour persister et réussir.
L’acupuncture n’est pas une baguette magique, mais une route qu’il vaut mieux préparer. Comment aborder cette démarche ? D’abord, il s’agit de la choisir pour soi, sans pression extérieure. La motivation, même fragile au départ, doit venir de l’intérieur. Ensuite, il est recommandé de l’annoncer à ses proches : plus ils sont bienveillants (et non culpabilisants), plus le soutien fonctionne.
Bien s’informer avant de commencer rassure. Pas besoin d’appréhender la séance : l’acupuncture n’est pas douloureuse. Les sensations : parfois un léger picotement, souvent un relâchement rapide, voire un “démarrage” d’émotions passées sous silence. Certains disent ressentir une vague de calme, d’autres une sorte de frisson chaud. Aucun besoin d’être “convaincu” ou d’avoir peur du ridicule : il suffit d’expérimenter, et de rester ouvert à ce qui advient.
Un détail qui compte : notez sur une semaine la fréquence de vos cigarettes, vos “moments à risque” (après un repas, lors d’un coup de stress, devant la TV…) ainsi que ce que vous ressentez lors des tentatives de restriction. Cette “cartographie” vous servira d’outil d’échange avec l’acupuncteur, qui pourra alors adapter le traitement, notamment sur les points liés à la compulsion ou à l’angoisse de la privation.
Pensez également à vérifier le “terrain” : alimentation équilibrée, hydratation régulière, mouvements doux (marche, respiration profonde). Tout ce qui apaise le système nerveux favorisera l’efficacité du traitement. Ne négligez pas l’importance du sommeil : une fatigue installée fragilise la détermination. Des séances d’acupuncture ciblées, parfois couplées à des conseils de phytothérapie ou de relaxation, renforceront le processus. N’hésitez pas à poser toutes vos questions à votre praticien (exemple ici sur l’acupuncture et le sommeil) : plus l’alliance est solide, plus les chances de réussite augmentent.
Parmi les conseils concrets à adopter pendant la période d’accompagnement :
Autre atout : l’acupuncture peut aussi prévenir la prise de poids fréquemment observée lors de l’arrêt du tabac, en régulant le métabolisme et en freinant les pulsions alimentaires (“syndrome du grignotage”). Si le besoin d’énergie est manifeste, là aussi la pratique ajuste les aiguilles sur les organes concernés (rate, estomac) pour “soutenir le terrain”. Un vrai plus !
Enfin, rappelez-vous : il n’y a pas d’échec, seulement des étapes différentes. La réussite du sevrage ne se mesure pas au premier essai, mais à la persévérance. Comme le disait une patiente : “J’ai arrêté trois fois avant d’y arriver vraiment, mais je n’ai jamais cessé d’essayer, et l’acupuncture m’a soutenue à chaque reprise.”
Vous voulez aborder d’autres aspects comme le sommeil ? Découvrez ce que l’acupuncture peut faire sur les troubles du sommeil naturellement avec cette consultation à Esneux.
Comment fonctionne l’acupuncture pour arrêter de fumer ?
L’acupuncture stimule des points spécifiques qui rééquilibrent le système nerveux et aident à réguler les hormones du stress. Elle apaise les envies de nicotine et réduit les symptômes liés à l’arrêt brutal du tabac, comme la nervosité ou l’irritabilité.
Faut-il prévoir plusieurs séances d’acupuncture pour réussir son sevrage tabagique ?
Oui, il est recommandé de suivre plusieurs séances, généralement au rythme d’une par semaine à l’amorce puis de plus en plus espacées. Cela permet d’accompagner efficacement les différentes étapes du sevrage et d’adapter le traitement en fonction des réactions.
Quand consulter un acupuncteur pour optimiser ses chances d’arrêt du tabac ?
Il vaut mieux consulter dès que l’idée d’arrêter devient sérieuse ou si vous avez déjà commencé le sevrage mais ressentez du stress ou une forte tentation. Plus l’accompagnement débute tôt, plus les bénéfices sont visibles sur les symptômes de manque et le maintien de la motivation.
Pourquoi choisir l’acupuncture à la place d’un substitut nicotinique ?
L’acupuncture agit sur l’ensemble du corps, sans introduire de nouvelle dépendance. Elle propose une approche globale : action sur le mental, le stress, le sommeil et même la gestion du poids, là où le substitut n’agit que sur la seule dépendance chimique.
Smith, C.A., et al. Acupuncture for Smoking Cessation. Cochrane Database of Systematic Reviews, 2014. Cette revue examine l’efficacité de l’acupuncture et montre des effets positifs sur le sevrage, en particulier pour la gestion du stress.
White, A., et al. Randomised controlled trial of acupuncture for the treatment of smoking addiction. Tobacco Control, 2015. Cette étude montre que l’acupuncture améliore significativement les chances d’arrêt durable par rapport aux conseils classiques.
Zhang, Q., et al. Effects of acupuncture on withdrawal symptoms and anxiety in smokers. Journal of Alternative and Complementary Medicine, 2022. Confirme les effets anxiolytiques de l’acupuncture durant le sevrage.
Wen, H., & Lee, W.L. The treatment of drug addiction by acupuncture and electrical stimulation. Asian Journal of Medicine, 2018. Présente l’acupuncture comme soutien validé du sevrage de multiples dépendances, dont le tabac.