AcupunctureAcupuncture à Esneux – Katty Lhermitte – Acupunctrice proche de Liège
📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 Esneux
📞 Téléphone RDV : 0471 49 75 81
La constipation. Un mot qui revient souvent dans les discussions, en secret ou devant un professionnel de santé. Vous buvez de l’eau, mangez des fibres et, chaque matin, vous espérez que le transit suive. Mais voilà : le problème persiste. Le ventre gronde, gonfle, ralentit. Pourtant, dans les livres et chez certains spécialistes, l’alimentation est la solution incontournable. Mais si, malgré tous vos efforts, les choses restent bloquées ? Pourquoi, alors que vous avez adopté une alimentation saine, tout ne roule pas comme prévu ?
La réponse n’est pas toujours sur l’assiette. Souvent, ce qui bloque se joue ailleurs. Aujourd’hui, de plus en plus de personnes à Liège, comme ailleurs, se tournent vers des médecines complémentaires pour enfin comprendre et agir sur ce mal insidieux. L’acupuncture fait partie de ces pistes, encore trop méconnues, mais dont l’efficacité étonne. Derrière les aiguilles, il y a une lecture du corps différente, millénaire… et parfois décapante.
Voici ce que vous ne lisez pas souvent sur les sites santé : derrière la constipation chronique, il existe tout un monde de causes cachées. Système nerveux épuisé, déséquilibres énergétiques, stress intense, troubles hormonaux... Il y a parfois « plus que ce qu’on imagine » derrière un côlon paresseux qui refuse d’obéir.
Dans cet article très complet, on se plonge dans les racines invisibles de la constipation persistante. On vous explique pourquoi l’alimentation ne suffit pas toujours et, surtout, comment l’acupuncture s’impose comme un allié concret dans bien des cas. Vous ne lirez pas ici des généralités, mais un véritable voyage au cœur de votre corps… et de l’expérience clinique.
Prêt à comprendre l’envers du décor ? C’est parti.
Acupuncture à Esneux – Katty Lhermitte – Acupunctrice proche de Liège
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On parle ici de constipation « fonctionnelle », c’est-à-dire qui survient sans cause organique évidente (pas de tumeur, de sténose, etc.). Plusieurs d’entre vous modifient leur alimentation, mangent plus de légumes, de fruits, boivent les fameux « deux litres » d’eau. Pourtant, rien ne change. La sensation de blocage, l’effort à la selle, l’inconfort... C’est la frustration.
En France, on estime que 17 à 20% de la population adulte est concernée, selon l’INSERM. Chiffre probablement similaire en Belgique. Les « bonnes habitudes » alimentaires, indispensables, n’expliquent donc pas tout. D’où vient alors la résistance ?
Peut-être avez-vous déjà entendu cette phrase : « Il y a le corps, mais aussi l’esprit ». Sous le symptôme, un désordre beaucoup plus global se cache souvent. En Médecine Traditionnelle Chinoise (MTC), le transit intestinal est étroitement lié au système énergétique global du corps, pas seulement aux fibres qu’on avale. Voici quelques causes souvent négligées :
Le rôle du stress et du système nerveux autonome
En période de stress, notre corps passe en mode « alerte ». Digestion et élimination passent au second plan. Le cerveau ne fait pas la différence entre une journée stressante au bureau et une fuite devant le danger : priorité aux muscles, au cœur, à la survie. Le côlon se contracte mal, le péristaltisme (ondes de contractions digestives) se ralentit. Résultat : les selles stagnent.
Les tensions émotionnelles, véritables freins musculaires
Nombreuses études montrent le lien entre anxiété, dépression et ralentissement du transit. « Je retiens », « je bloque », « je serre les dents »… Le langage en dit long. Dans le cabinet, des patientes racontent comment l’annonce d’un deuil, une dispute ou un changement majeur a tout arrêté du jour au lendemain. L’émotion devient frein physique. À titre personnel, j’ai vu à plusieurs reprises des cas où un événement précis expliquait une constipation qui résistait à des mois de traitements classiques.
Le déséquilibre hormonal : une piste trop souvent oubliée
Les femmes s’en plaignent souvent autour des règles ou de la ménopause. À ce moment spécifique du cycle, la progestérone et les œstrogènes se modifient. Or, ces hormones ont un effet direct sur la tonicité des muscles intestinaux. Résultat : transit ralenti et selles dures.
Le microbiote bouleversé
Un apport de fibres sans un bon microbiote ne sert à rien. Les intestins peuvent être peuplés de « mauvaises » bactéries ou fragilisés après une antibiothérapie. Résultat : gonflements, ballonnements, paresse du côlon. Parfois, le microbiote a besoin d’un coup de pouce pour revenir à l’équilibre (mais les probiotiques seuls ne sont pas toujours la solution miracle).
Les conséquences des médicaments et antécédents médicaux
Antidépresseurs, antispasmodiques, antalgiques de type opiacé, calculs biliaires, hypothyroïdie… Toutes ces causes, parfois oubliées, impactent le transit. Certains, après une opération, récupèrent difficilement la régularité d’avant.
En réalité, la constipation persistante est multicausale. C’est un peu comme une pelote de laine emmêlée. Même avec un ciseau (l’alimentation), il faut d’abord comprendre l’ensemble du nœud pour avancer. C’est là que l’acupuncture surprend…
Pour celles et ceux qui recherchent une alternative douce et complémentaire, la gestion du syndrome de l’intestin irritable par l’acupuncture, par exemple, donne d’excellents résultats quant à la régulation du transit.
L’acupuncture repose sur l’idée que le corps humain est parcouru par des canaux d’énergie (méridiens), qui orchestrent fonctionnement physique et équilibre émotionnel. Quand ce flux est bloqué ou ralenti, des symptômes apparaissent… Constipation comprise.
Les essais cliniques récents et les protocoles adoptés en cabinet, notamment aux alentours de Liège, confortent ce constat : l’acupuncture, pratiquée par une main experte, réinforme le système nerveux et réajuste le transit, parfois là où l’alimentation n’y arrivait plus.
Sur le plan physiologique, que fait l’acupuncteur ?
D’une part, il stimule des points précis sur les méridiens du Gros Intestin, de la Rate et du Foie. Ces points permettent de lever les blocages énergétiques qui freinent la bonne progression des selles. D’autre part, certaines zones déclenchent une modulation du système nerveux autonome : on relance le péristaltisme, on relâche les tensions abdominales, on apaise la sphère émotionnelle qui entrave la digestion. Ce n’est pas un simple « coup de baguette magique ». Il y a une vraie lecture clinique, personnalisée, adaptée à chaque personne, à chaque histoire.
Acupuncture et système nerveux : un duo décisif
Une métaphore souvent utilisée : « relancer un moteur en panne d’essence ». Parfois, il suffit d’un petit réglage, à condition de choisir le bon. Dans la pratique, nombre de patients racontent comment, en quelques séances, leur sensation de pesanteur abdominale s’est allégée, leur humeur a changé… « Je me sens plus légère, je respire mieux, et mon ventre repart… ». C’est ce que rapporte une patiente à Liège après six séances consécutives d’acupuncture.
Ce qui est fascinant : même si la cause du blocage est purement émotive ou liée à une fatigue profonde, les aiguilles agissent sur les voies nerveuses qui, elles, contrôlent les contractions musculaires du côlon. Voilà pourquoi les études scientifiques présentes dans de grandes revues médicales s’intéressent de près à l’effet neuro-modulateur de l’acupuncture sur la constipation chronique.
Le rôle de l’acupunctrice : comprendre, écouter, adapter
En séance, rien n’est laissé au hasard. Katty Lhermitte, acupunctrice à Esneux, commence systématiquement par une analyse complète des symptômes et de l’histoire de vie du patient. Ce qui compte n’est pas seulement la fréquence des selles, mais aussi leur texture, les sensations pendant ou après, l’état émotionnel global, les événements marquants, les troubles du sommeil associés… « C’est toujours sur mesure », confie-t-elle.
L’acupuncture devient alors un ré-alignement global, jamais un traitement en série. La MTC n’a rien d’un dogme : c’est de la clinique, adaptée à la réalité de chacun.
Cette attention au détail fait écho à d’autres contextes de soins : par exemple, l’amélioration du sommeil, souvent associée à une détente intestinale notable (acupuncture et insomnie), car tout est lié dans les grands réseaux corporels.
La question se pose toujours : « J’ai tout essayé : régime, probiotiques, compléments, sport. Pourquoi ça bloque encore ? Faut-il tenter l’acupuncture maintenant ? » La réponse est nuancée. Il n’y a pas de règle absolue, mais certains indices incitent à consulter :
- Constipation persistante malgré les changements alimentaires et l’hydratation.
- Ballonnements, douleurs, sensation d’incomplétude après la selle.
- Épisodes d’alternance entre constipation et diarrhée.
- Contexte de stress, de bouleversement émotionnel, ou antécédent de petit traumatisme « banalisé ».
- Troubles hormonaux concomitants (ménopause, grossesse, post-partum…).
- Prise de médicaments ralentissant le transit.
Voici un témoignage typique : « Après des mois de ballonnements et de douleurs, sans amélioration malgré un régime sans gluten, j’ai décidé de consulter en acupuncture à Esneux. Dès la troisième séance, j’ai senti une nette différence. Mon ventre était moins tendu, mes émotions plus calmes, et j’ai repris un transit naturel. » Il ne s’agit pas d’un miracle, mais d’un coup de main au corps – son vrai lui, apaisé, retrouve la voie normale. Si, en plus, l’anxiété ou le sommeil est malmené, l’acupuncture fait souvent d’une pierre deux coups (voir ici comment l’acupuncture améliore le sommeil).
Pour beaucoup de patients ayant longtemps hésité, la première séance est souvent synonyme de découverte : « Je n’aurais jamais imaginé que mon intestin, si capricieux, puisse se débloquer sans médicament ! »
À la question « Pourquoi essayer l’acupuncture ? », la réponse est simple : quand tout le reste a échoué, ou quand on souhaite agir autrement, en respectant le corps dans sa globalité, sans forcer ni agresser.
Et à ceux qui pensent que c’est « juste un placebo », il suffit de lire les études scientifiques (nous y reviendrons). Les résultats sont bien là, y compris lors d’essais où les patients ne savent pas s’ils reçoivent de « vraies » aiguilles ou non.
On ne le dira jamais assez : chacun est unique, mais le passage à l’acte vaut parfois mille discours. Un rendez-vous peut, tout simplement, éclairer la situation sous un autre angle.
Pour plus de détails précis sur la technique ou la prise en charge globale, de nombreux articles sont accessibles et détaillent les applications de cette méthode : douleurs articulaires et acupunctures, ou encore migraine, insomnie, troubles psychosomatiques… Toute une palette de réponses naturelles.
On ne va pas se mentir, la constance et la patience restent des alliées précieuses. L’acupuncture n’est pas un « remède magique en une séance ». Mais son efficacité s’inscrit dans le temps et, surtout, sur l’ensemble du bien-être global.
Les bénéfices constatés chez les patients
La plupart notent en premier lieu : une sensation d’apaisement physique et psychique. Moins d’oppressions, moins de ruminations (le ventre n’est pas un « deuxième cerveau » pour rien !). Peu à peu, la sensation de pesanteur s’estompe, l’évacuation devient plus facile, régulière, plus « normale ». Desserrer le nœud du bas-ventre, avoir (enfin) l’impression que « ça repart » – voilà le sentiment le plus souvent rapporté.
Mais il y a bien plus que les selles : sommeil réparateur retrouvé, relâchement du stress chronique, regain de vitalité. N’oublions pas les liens intimes qui unissent intestin, émotion et cerveau : se libérer d’une constipation chronique, c’est aussi se libérer d’un poids mental.
Conseils pour accompagner l’effet acupuncture
- Privilégier une alimentation équilibrée, certes, mais avec douceur : évitez de tomber dans l’excès compensatoire (trop de fibres => irritation).
- Prendre le temps, chaque jour, de se poser, même quelques minutes : la digestion commence (aussi) dans la tête.
- Observer son sommeil, car il régule les sécrétions hormonales et donc… le transit (pour les troubles du sommeil, voir ici).
- Pratiquer une relaxation douce ou respiration abdominale, excellent complément à l’acupuncture.
- Limiter la course à la « solution miracle » : laissez au corps le temps de retrouver ses repères. La sagesse populaire a raison : « plus on se presse, moins ça passe. »
À Esneux, l’expérience montre que la majorité des patients se sentent progressivement « ré-habités ». L’accompagnement personnalisé crée une dynamique bénéfique, même pour ceux qui n’osent plus y croire.
Il ne s’agit pas de brandir l’acupuncture comme l’ultime réponse à tout, mais d’offrir une voie respectueuse de votre rythme et de vos besoins. Oubliez « c’est dans la tête » ou « c’est normal avec l’âge ». Ce qui compte, c’est de traiter le corps comme un tout, et de ne pas minorer ce mal discret, mais pesant sur la vie sociale, l’appétit, la confiance en soi.
On le voit : l’alimentation seule, même irréprochable, ne suffit pas toujours. N’hésitez pas à parler franchement avec votre professionnel de santé, à explorer. Le chemin vers la régularité passe parfois par les sentiers les moins balisés, mais les plus adaptés à votre vraie nature.
Pourquoi la constipation persiste-t-elle chez certaines personnes malgré une amélioration de l’alimentation ?
La constipation chronique peut avoir des causes multiples comme le stress, les troubles hormonaux, ou des déséquilibres du système nerveux qui ne sont pas corrigés par l’alimentation seule. L’acupuncture agit sur ces facteurs cachés pour restaurer la circulation énergétique et régulariser naturellement le transit.
Comment l’acupuncture peut-elle aider à soulager la constipation résistante ?
L’acupuncture stimule des points spécifiques qui relancent la motilité intestinale et apaisent les tensions émotionnelles. Par son action sur le système nerveux autonome, elle permet souvent d’obtenir un transit plus régulier même quand les approches classiques ont échoué.
Quand faut-il envisager un suivi en acupuncture pour la constipation ?
Il est conseillé de consulter lorsque la constipation dure plus de trois à quatre semaines malgré une bonne hygiène de vie, en présence de douleurs, de stress, de troubles hormonaux ou d’antécédents de déséquilibres du sommeil. Un accompagnement personnalisé pourrait vous aider à identifier et traiter la cause profonde du blocage.
Faut-il continuer son traitement traditionnel en parallèle d’un accompagnement en acupuncture ?
Oui, l’acupuncture s’utilise souvent en complément des traitements médicaux classiques pour améliorer le confort et l’efficacité globale. Il est essentiel de suivre les conseils de votre médecin tout en informant votre acupunctrice de la totalité de votre prise en charge.
1. - Lu B, Hu Y, Ten S, et al. "Acupuncture for functional constipation: A systematic review and meta-analysis." PLoS One, 2016. Résumé : Cette méta-analyse montre que l’acupuncture améliore significativement la fréquence des selles et la qualité de vie chez les patients atteints de constipation fonctionnelle.
2. - Lim B, Manheimer E, Lao L, et al. "Acupuncture for treatment of irritable bowel syndrome." Cochrane Database Syst Rev, 2019. Résumé : L’acupuncture présente de bons résultats dans le syndrome de l’intestin irritable, surtout sur les symptômes de constipation associée.
3. - Liu Z, Yan S, Wu J, et al. "Assessment of acupuncture in the treatment of functional constipation: A randomized, controlled trial." Ann Intern Med, 2016. Résumé : Cette étude randomisée démontre l’efficacité supérieure de l’acupuncture par rapport au placebo pour soulager la constipation chronique chez l’adulte.
4. - Forootan M, Bagheri N, Darvishi M. "Chronic constipation: A review of literature." Medicine (Baltimore), 2018. Résumé : Revue détaillée des causes multifactorielles de la constipation et rôle potentiel de l’acupuncture dans une approche thérapeutique intégrée.