Kinésithérapeute Urinaire Périnéale pour ENFANTS📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 à Esneux
📞 Téléphone RDV : 0486 18 72 25
Votre enfant a du mal à se retenir ? Il lui arrive encore régulièrement de mouiller son lit à huit, dix, voire douze ans ? Ces questions, bien plus fréquentes qu’on ne le croit, taraudent de nombreux parents. Derrière ces situations parfois gênantes, se cachent souvent ce qu’on appelle les troubles du périnée chez l’enfant : incontinence, fuites urinaires, besoin urgent ou difficultés à uriner, et (trop) célèbres pipis au lit. Peut-être avez-vous déjà cherché des solutions sans succès. À Esneux, une professionnelle propose une réponse : la kinésithérapie urinaire chez l’enfant. Explorons ensemble ce sujet complexe, mais essentiel, pour le bien-être des petits et des ados… et pour la sérénité des familles !
Quand on évoque le périnée, la plupart d’entre nous pensent surtout aux adultes – et souvent aux femmes, notamment après un accouchement. Mais saviez-vous que les enfants aussi peuvent rencontrer des difficultés à ce niveau ?
Le périnée, c’est un peu comme un “hamac” de muscles, logé tout en bas du ventre, entre le pubis et le coccyx. Sa mission : soutenir les organes urinaires, génitaux et digestifs. Chez l’enfant, ce précieux filet musculaire n’a pas encore acquis tous ses automatismes. Il manque parfois de force, ou il se contracte de travers. Résultat : cela peut déboucher sur des fuites urinaires, des pipi au lit, des envies pressantes assez fréquentes. Bref, le genre de tracas qui s’invite à l’école, à la piscine, chez les copains…
D’après certaines études, jusqu’à 10 % des enfants de 6-7 ans souffrent d’énurésie nocturne (le fameux pipi au lit). C’est bien plus courant qu’on ne l’imagine ! Beaucoup d’enfants vivent cela en silence. Ils n’osent pas en parler par peur des moqueries ou de la honte. Mais pourquoi ces soucis apparaissent-ils ?
La maturation du système urinaire et du périnée n’est pas acquise d’entrée de jeu. Parfois, il faut attendre plus longtemps pour que tout fonctionne en harmonie. Parfois aussi, l’apprentissage de la propreté s’est fait dans la précipitation ou a été source de stress. Or, ce stress se loge dans le corps et a des conséquences, un peu comme ces petits cailloux qui dévient le cours d’une rivière.
Il ne faut pas non plus négliger les facteurs héréditaires ou médicaux : constipations chroniques, infections urinaires à répétition, pathologies neurologiques plus rares mais réelles chez certains enfants… Rien n’existe “dans le vide”, et la kinésithérapie urinaire agit comme une clé, pour remettre en phase tous ces éléments.
Face à ces barques à la dérive, les parents, parfois démunis ou culpabilisés (ai-je raté quelque chose ?), cherchent des solutions plus douces et efficaces que la simple attente. C’est là que la kinésithérapeute urinaire chez l’enfant entre en scène. Notamment proche de Liège, elle devient une alliée précieuse.
La kinésithérapie urinaire, vous voyez ce que c’est ? Beaucoup pensent que cela s’adresse avant tout aux adultes, on imagine des femmes en salle de rééducation après l’accouchement… Pourtant, ce domaine s’est considérablement élargi. Aujourd’hui, il existe une spécialité dédiée à la prise en charge des troubles du périnée chez l’enfant. À ce titre, Mme Lisa MOENS, kinésithérapeute urinaire conventionnée INAMI, reçoit les enfants et adolescents dans son cabinet à Esneux.
Comment se déroule une séance ? Souvent, tout commence par une anamnèse très détaillée. On discute avec l’enfant (et les parents) : habitudes de boisson, antécédents médicaux, fréquence et nature des pipis, moments où surviennent les incidents, contexte familial… Rien n’est laissé au hasard. Parfois, on utilise un calendrier mictionnel : l’enfant note, jour après jour, ses passages aux toilettes. Ce petit “journal intime” du pipi aide à prendre du recul, à objectiver la situation (et à dédramatiser aussi, il faut bien le dire !).
Après cette phase de repérage, place à l’examen et aux exercices. Mais n’allez pas croire que l’on va faire faire des pompes à votre enfant ! Au menu, il y a :
Et surtout, tout ceci se fait sans douleur, sans malaise, en douceur. On prend le temps, car chaque enfant avance à son rythme. “Vous savez, chaque progrès, même petit, est une victoire !”, rappelle souvent la spécialiste.
📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 à Esneux
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Il s’agit bien plus qu’une simple “rééducation”. C’est un accompagnement, un apprentissage de la connaissance du corps, un processus pour “apprivoiser” son périnée, pour faire la paix avec ses besoins et reprendre confiance en soi. Aucune pression, jamais, tout est pensé pour restaurer l’estime de l’enfant. Cela change tout : un enfant qui se sent compris avance tellement plus vite !
Il n’y a pas que le *pipi au lit* (l’énurésie), loin de là. Derrière le label “troubles du périnée”, se cache une mosaïque de petits soucis, parfois isolés, parfois associés :
Chacun de ces symptômes peut altérer la qualité de vie : l’enfant évite les sorties, refuse d’aller en colonie, redoute la nuit chez les copains, refuse la piscine ou l’EPS… Parfois, c’est l’école qui alerte (“Votre fille va très souvent à l’infirmerie”), parfois le pédiatre, parfois ce sont les parents eux-mêmes.
A Esneux, le cabinet de Lisa MOENS, kinésithérapeute urinaire conventionnée INAMI, reçoit non seulement les enfants mais aussi les adolescents qui n’ont pas réussi à régler leurs soucis plus jeunes. Il n’est jamais trop tard pour consulter !
Il existe plusieurs bonnes raisons de franchir la porte d’un cabinet spécialisé aux alentours de Liège :
Contrairement aux idées reçues, ces troubles ne passent pas toujours “avec l’âge”. Oui, il y a une maturation naturelle, mais parfois, le corps a besoin d’un petit coup de pouce, tout simplement.
Et il n’y a rien de honteux à cela ! “Les muscles du périnée, c’est comme une bicyclette. Si on n’apprend pas à pédaler, on n’avance pas. Mais une fois qu’on a compris le mouvement, tout devient plus facile !”, aime à répéter la kinésithérapeute spécialisée. C’est une image qui parle aux enfants, non ?
La prise en charge est intégrée à une approche multidisciplinaire : la kiné travaille en lien avec les pédiatres, les médecins de famille, parfois des urologues, des logopèdes (eh oui, troubles de la parole et du périnée cohabitent parfois !), ou encore des psychologues si besoin. Cette alliance fait souvent la différence, surtout en Belgique où la prise en charge globale de la santé de l’enfant est reconnue comme essentielle.
Beaucoup de parents se demandent : en quoi ça consiste, les séances ? Y a-t-il besoin d'un examen gênant ? Combien de temps cela dure-t-il ? Essayons d’aborder tout cela avec clarté, pour lever le voile sur ce qui se passe réellement lors d’un accompagnement en kinésithérapie urinaire à Esneux.
Premier acte : l’accueil. L’ambiance dans le cabinet n’a rien d’une salle d’opération. Il s’agit souvent d’un espace chaleureux, aménagé pour rassurer les jeunes et dédramatiser la démarche. “Ici, pas de jugement. Juste une écoute et des outils concrets”, signale Lisa MOENS, spécialisée dans la rééducation du périnée chez l’enfant.
La toute première rencontre sert à “poser la cartographie du problème”. On questionne, on observe la manière dont l’enfant va aux toilettes, on explique beaucoup – avec des schémas, parfois des maquettes pelviennes adaptées aux enfants, parfois avec des jouets.
Puis, place à la pratique. Les exercices ne sont jamais douloureux, ni invasifs. À chaque étape, le ou la kiné explique ce qui se passe, montre, guide, rassure. On fait beaucoup d’exercices de respiration, de visualisation, d’écoute du corps – par exemple apprendre à souffler lentement pour relâcher les muscles, sentir ce qui “bouge à l’intérieur”. Le ou la kiné peut aussi travailler sur la posture (dos droit, pieds au sol), car uriner “comme un grand” sur des WC pensés pour adultes n’est pas si simple pour les enfants ! Parfois, s’asseoir correctement change tout.
Parfois, un biofeedback est utilisé. Un outil ludique (comme une jauge sur écran, ou un petit jeu) qui montre à l’enfant comment il contracte ou relâche ses muscles. Voir son progrès, c’est extraordinairement encourageant. C’est tangible : on n’est plus perdu dans le flou, on avance à petits pas… mais on avance.
La famille joue un rôle clé. On ne demande jamais la perfection aux enfants. Au contraire, on valorise l’effort, et on accompagne les parents dans la compréhension du trouble. Car, souvent, sans le vouloir, l’adulte transmet son stress à l’enfant. “Ne t’inquiète pas”, “Fais un effort”, “Tu es trop grand pour ça“… Ces phrases, même bien intentionnées, peuvent renforcer le blocage ! Ici, on travaille aussi là-dessus.
En général, plusieurs séances sont nécessaires (en moyenne entre 8 et 15). Chacun avance à son rythme ! Certains enfants voient déjà de jolis progrès au bout de quelques semaines, d’autres prennent plus de temps. Le mot d’ordre reste la bienveillance et la patience.
Et pour ceux qui ne peuvent pas se déplacer, ou qui habitent loin ? Bonne nouvelle : la prise en charge à domicile est aussi possible. Un vrai plus, surtout si l’enfant est gêné de venir au cabinet, ou si l’organisation familiale est compliquée.
Les résultats ? Ils parlent d’eux-mêmes, selon les retours des familles et les dernières études en périnéologie pédiatrique. Environ 2 enfants sur 3 voient une diminution significative de leurs troubles en quelques mois. Beaucoup retrouvent confiance, se sentent fiers de leurs progrès. Moins d’angoisse, moins de disputes autour du pyjama mouillé ou de la valise de rechange. “L’an dernier, il n’allait plus jamais dormir chez ses amis. Aujourd’hui, il lance des invitations, il ose !”, témoigne une maman. Les petits ruisseaux font les grandes rivières…
Autre bénéfice, rarement abordé : cela améliore souvent aussi la relation parent-enfant. Moins de tension, plus de compréhension. On sort de l’engrenage reproches-culpabilité, on avance ensemble. Belle victoire, non ?
Pour la scolarité, l’attention, parfois même la concentration, cela change tout. Moins de fatigue, moins d’inquiétude permanente, moins de besoin de se cacher ou de vérifier sans arrêt s’il n’y aura pas “d’accident”… Cela permet à l’enfant de se concentrer sur ses apprentissages, sur ses amitiés, sur le plaisir – tout ce qui fait l’enfance.
N’oublions pas les cas plus “complexes” : enfants présentant une constipation chronique associée, ou des troubles du spectre autistique, ou encore des antécédents médicaux lourds. Chez eux aussi, les résultats peuvent être spectaculaires. Il suffit d’adapter l’accompagnement, d’y aller par étapes, sans jamais forcer. Ce n’est pas une course, c’est un voyage partagé.
Pour garantir les meilleurs résultats, la kinésithérapie urinaire travaille main dans la main avec le pédiatre, l’urologue, ou d’autres professionnels. Encore un argument en faveur d’une approche multidisciplinaire, souvent clé dans la réussite. Prendre en charge le corps et le psychisme, toujours ensemble !
Au passage, si vous cherchez une prise en charge nombreuse et adaptée en Belgique, la région liégeoise dispose de professionnels conventionnés, à l’écoute, et formés à la spécificité de cette rééducation pédiatrique.
En aigu, il n’est jamais bon d’attendre “que ça passe tout seul”. Plus le problème traîne, plus la gêne et les blocages se renforcent. Mieux vaut accompagner que laisser s’installer la honte ou la peur d’en parler. “Un enfant, ça se relève vite. Mais parfois, il a juste besoin d’un petit coup de pouce pour (re)trouver son équilibre”, me partage souvent une kiné du réseau local.
Alors, en résumé : même un simple pipi au lit qui résiste vaut une consultation, pour que tout le monde puisse retrouver la sérénité, les nuits paisibles… et la fierté, tout simplement.
Dans la région, plusieurs structures accueillent les enfants souffrant de troubles du périnée. Mais consulter “un.e kiné périnéale”, on ne pense pas toujours à y aller avec un enfant ! Pourtant, les résultats parlent pour eux. Les familles sont unanimes : une approche personnalisée, bienveillante, concrète, qui évite les discours moralisateurs… Cela change tout.
Voici quelques situations typiques rencontrées en cabinet :
Ces récits, on en croise de nombreux chaque année, en kinésithérapie du périnée auprès de l’enfant et de l’adolescent.
Si vous habitez dans la région de Liège, vous pouvez vous adresser à un cabinet spécialisé, comme celui de Lisa MOENS, situé à Esneux. L’accompagnement proposé s’adapte à chaque âge, du petit de maternelle (dès 4-5 ans, parfois plus tôt) à l’adolescent, y compris en phase post-pubère, voire en jeunes adultes pour une continuité de suivi.
L’avenir de cette discipline s’annonce prometteur. Chaque année, des recherches montrent l’impact positif de la rééducation fonctionnelle sur la confiance de l’enfant, et même sur la prévention d’autres troubles (du dos, de la posture, de la digestion…). C’est un investissement sur le long terme, pour le bien-être physique, mais aussi psychique.
Le message à retenir ? Il n’y a pas de fatalité. Les enfants, quelle que soit la cause de leur trouble urinaire, méritent un accompagnement personnalisé, sans culpabilité ni “remontée de bretelles”. On avance ensemble, à chaque victoire, aussi minuscule soit-elle.
L’accès à des soins conventionnés, pris en charge en partie par la mutuelle, facilite la démarche. Plus besoin d’attendre l’adolescence ou l’âge adulte pour s’en occuper ! Et si on traitait enfin “le pipi au lit” ou les petites fuites… comme de simples étapes du développement, sans dramatiser, mais sans négliger non plus ?
Les familles de la région peuvent désormais compter sur un accompagnement bienveillant, compétent, et surtout, sur un retour serein à la confiance au quotidien, pour petits et grands.
📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 à Esneux
📞 Téléphone RDV : 0486 18 72 25
Comment savoir si mon enfant doit consulter un kinésithérapeute urinaire à Esneux ?
Si votre enfant présente des fuites urinaires régulières, des difficultés à se retenir, ou s’il souffre de pipi au lit après 5-6 ans, il est conseillé de consulter un kinésithérapeute spécialisé. Un premier rendez-vous permettra d’évaluer la situation et de proposer un accompagnement personnalisé.
Pourquoi la kinésithérapie périnéale est-elle efficace chez l’enfant ?
La kinésithérapie périnéale permet à l’enfant de mieux connaître et contrôler ses muscles du périnée grâce à des exercices ludiques et adaptés. Cette approche favorise l’autonomie et réduit la fréquence des troubles urinaires, améliorant la qualité de vie familiale.
Quand faut-il s’inquiéter des troubles urinaires chez l’enfant ou l’adolescent ?
Il faut consulter dès que les troubles deviennent récurrents, qu’ils perturbent la vie quotidienne, ou qu’ils altèrent la confiance en soi de l’enfant. Plus l’accompagnement commence tôt, plus les résultats sont rapides et la gêne limitée.
Faut-il un avis médical avant de commencer la rééducation périnéale pour enfant ?
Un avis médical de votre médecin traitant ou pédiatre est recommandé pour établir le diagnostic de départ. Cela permet à la kinésithérapeute urinaire d’adapter au mieux la prise en charge en lien avec l’équipe multidisciplinaire.