AcupunctureAcupuncture à Esneux – Katty Lhermitte – Acupunctrice proche de Liège
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Chaque hiver, c’est la même rengaine. Une quinte de toux, des mucosités qui ne passent pas, une sensation d’étouffement. Et puis le diagnostic tombe : bronchite. Elle revient comme une vieille connaissance qu’on aurait préféré oublier. Mais pourquoi ? Allergies, pollution, fragilité, stress... Pourtant, les traitements conventionnels ne font que calmer temporairement le feu intérieur. Rien ne change vraiment sur le fond. Alors, si votre médecin a fini par vous dire : “Faites un bilan plus global, consultez un spécialiste”, pourquoi ne pas songer à l’acupuncture ? Au-delà des aiguilles, elle offre une lecture originale du corps et des maladies courantes. Intrigué ? Voici comment un bilan en acupuncture peut devenir le chaînon manquant pour comprendre vos bronchites à répétition, même aux alentours de Liège.
Découvrez comment l’acupuncture traite les causes profondes
Avant de foncer tête baissée dans la pose des aiguilles, l’acupuncteur procède toujours à un bilan énergétique. C’est le véritable point de départ. Ce bilan, c’est bien plus qu’un questionnaire ou une prise de tension. Imaginez plutôt qu’on tente de lire en vous comme dans un roman ouvert, déchiffrant la circulation du Qi (énergie vitale), le fonctionnement des organes, et les déséquilibres subtils qui s’installent parfois sans bruit.
Katty Lhermitte, acupunctrice proche de Liège, commence toujours par interroger le patient très en détail : rythme des bronchites, habitudes de vie, antécédents médicaux, contexte émotionnel. Cette phase ressemble à une enquête. Avez-vous déjà remarqué que la toux s’aggrave quand le stress monte ? Que l’humidité, le froid ou la saison influencent les poussées ? À chaque détail, elle note une pièce du puzzle, cherchant un motif récurrent. Parfois, des symptômes paraissent anodins – une sueur nocturne, une sensation de bouche sèche, des troubles du sommeil – mais révèlent leur importance lors du bilan.
Le second temps, c’est la prise de pouls et l’examen de la langue. Deux outils incontournables de la médecine chinoise pour identifier le déséquilibre du Qi, ou cibler l’organe “en cause”. Le pulse n’a pas la même saveur qu’au cabinet du généraliste. L’acupuncteur y lit la force, la profondeur, la fluidité. La langue, elle, se dévoile comme une carte : couleur, dépôt, traces de dents, tout compte. Un enduit blanc épais ? Cela indique souvent une atteinte “Froid-Humidité”, fréquente chez ceux qui font des bronchites à répétition, surtout en Belgique où l’hiver est rude.
En résumé, le bilan en acupuncture est un diagnostic fin, qui prend tout le patient en compte. Pas seulement le symptôme du moment. Car, souvent, la bronchite n’est qu’une conséquence. L’origine se terre ailleurs : faiblesse du Poumon ou du Rein, déséquilibre de la Rate, accumulation de glaires ou blocage émotionnel. L’acupuncteur ne cherche pas seulement à traiter la toux, mais ce qui l’a rendue possible.
Un exemple ? Anne, institutrice à Liège, vient chaque hiver. Plusieurs bronchites sans raison évidente. Dans le bilan énergétique, Katty Lhermitte détecte un Poumon faible (chronique chez les “anxieux” ou après une grippe mal soignée), un Rein énergétiquement fatigué et une Rate surmenée par la mauvaise alimentation de la cantine. L’explication s’éclaire : l’organisme ne parvient plus à chasser l’humidité et à défendre les voies respiratoires.
L’acupuncture, une vision globale, pas seulement symptomatique
On ne va pas se mentir : soigner juste une toux, c’est comme écoper un bateau qui prend l’eau, sans chercher la cassure dans la coque. Un anti-inflammatoire ou un sirop atténuera les gènes. Mais le terrain, lui, est inchangé. S’il est propice, les bronchites reviendront, immanquablement. L’acupuncture adopte l’approche inverse : restaurer l’équilibre profond, prévenir la rechute.
Dans la logique médicale chinoise, le Poumon gouverne la respiration, l’échange entre l’intérieur du corps et le monde extérieur. Il forme un “bouclier” énergétique : si ce dernier s’affaiblit, les aggressions pénètrent plus facilement (virus, pollution, poussière). Mais surtout, il existe des axes énergétiques reliant le Poumon au Rein et à la Rate. Une défaillance d’un de ces organes, même silencieuse, peut suffire à fragiliser vos bronches.
Par exemple, la Rate veille à transformer les liquides alimentaires : si elle faiblit (alimentation sucrée, stress, fatigue…), des glaires s’accumulent. Ces glaires migrent alors vers le Poumon, irritent, bloquent les échanges d’air et déclenchent des quintes de toux persistantes. Le Rein, lui, “ancre” l’énergie respiratoire. Un Rein épuisé (manque de sommeil, soucis prolongés, surmenage), et voilà la respiration qui se fait courte, le souffle entrecoupé. Qui l’eût cru ?
En pratique, la fréquence des bronchites cache un terrain déréglé. Le rôle de l’acupuncteur est de comprendre “pourquoi ici, pourquoi maintenant”. Cela demande de s’interroger sur le stress, le climat (l’humidité de la région à Liège n’aide pas !), mais aussi sur les émotions. Selon la tradition, le Poumon est lié à la tristesse. Souvent, les personnes confrontées à des deuils, des transitions difficiles, ou une nostalgie répétée, fragilisent cet axe sans même s’en apercevoir. Vous ne voyez pas de lien direct ? Mais le corps, lui, accumule.
L’impact du stress chronique n’est donc pas à sous-estimer. À force de subir une pression constante, la résistance du Poumon s’effondre, les défenses tombent, et la bronchite guette. Voilà pourquoi, pour certains, l’arrivée des fêtes annonce systématiquement une nouvelle infection : l’organisme, préparé au relâchement émotionnel, laisse passer la brèche.
Bref, en acupuncture, chaque bronchite répétée raconte une histoire : celle des failles, des déséquilibres internes, et des émotions enfouies. C’est en traitant cette cause profonde que l’on brise la spirale et que l’on retrouve un souffle véritable. Vous voyez la différence ? Ici, pas de rustines sur une roue crevée, mais la réparation complète du pneu, de la jante, et de la direction entière.
Un traitement qui remonte à la source
Le premier rendez-vous se veut rassurant, chaleureux. À ceux qui craignent les aiguilles, Katty Lhermitte sourit: “N’ayez pas peur, l’aiguille d’acupuncture, c’est comme un cheveu — presque imperceptible.” Une fois le bilan posé, le protocole est personnalisé, car chaque bronchite chronique cache une histoire unique.
Sur la table, on sent parfois une légère chaleur au passage de l’aiguille. D’autres fois, un frisson parcourir la jambe ou une onde tranquille envahir l’épaule. Ce sont les signes que l’énergie “bouge”, redevient fluide, repousse le trouble. L’objectif : renforcer le système immunitaire, dissoudre les glaires, stabiliser l’humeur. Les points choisis varient, parfois sur le thorax, le dos, les poignets ou même les jambes. À chaque séance, le pouls et la langue sont à nouveau vérifiés. Sentez-vous déjà une sensation d’ouverture dans la poitrine ? Moins de toux cette semaine ?
Le rythme idéal ? Deux séances rapprochées pour “relancer” la machine, puis un suivi plus espacé pour consolider les acquis. Il n’est pas rare que dès la troisième visite, le patient note que la toux s’amenuise, que les épisodes d’enrhume cessent de tourner à la bronchite, que le sommeil devient plus réparateur. Parfois, ce sont les proches qui s’en rendent compte en premier “Tiens, tu ne tousses plus le matin en te levant...”.
À Esneux, le suivi s’accompagne souvent de conseils pratiques : réduire le sucre raffiné (ennemi juré de la Rate), choisir une activité physique modérée pour relancer le Qi, ou pratiquer des exercices de respiration pour “tonifier le Poumon”. Ce n’est pas uniquement l’acupuncteur qui agit, mais aussi le patient, qui retrouve un rôle actif dans sa santé.
L’aspect émotionnel n’est jamais oublié. Un simple accompagnement verbal, pendant la pose des aiguilles, aide parfois à débloquer un chagrin ancien ou une colère rentrée. Certains repartent allégés, comme si l’on avait ouvert la fenêtre pour chasser la poussière. À d’autres, Katty recommande une tisane de thym, ou une soupe de riz, alliée traditionnelle pour la convalescence du Qi en médecine chinoise. En conférence à Liège, elle aime rappeler : “Il n’y a pas de guérison durable sans prendre en compte tout le vécu du patient, pas seulement ses poumons.”
Si vous souhaitez approfondir ce sujet, vous pouvez lire cet article sur les liens entre sommeil de qualité et défenses immunitaires selon l’acupuncture ou encore, si vous êtes concerné(e) par d’autres troubles associées, sur l’accompagnement de l’insomnie par l’acupuncture.
On pourrait croire que la magie opère surtout chez “ceux qui croient”. Mais de nombreux patients en Belgique témoignent que l’acupuncture améliore la résistance de fond, même lorsque l’on pensait avoir tout essayé. De fait, la médecine occidentale commence aujourd’hui à reconnaître son intérêt, notamment chez les sujets à bronchites récidivantes.
Résumons : le bilan énergétique, la pose ciblée des aiguilles et l’accompagnement du mode de vie créent une synergie pour rééquilibrer l’organisme. Petit à petit, la fréquence des bronchites diminue, l’étau sur la poitrine s’assouplit, la toux trouve le repos. L’acupuncture n’est pas une baguette magique, mais elle rassemble la précision d’un diagnostic et la douceur d’un soin global.
Retrouver un équilibre profond : le pari de l’acupuncture
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Vous vous demandez peut-être, la gorge encore douloureuse : “L’acupuncture est-elle vraiment efficace sur le terrain, ou n’est-ce qu’un effet placebo ?” Les études commencent à répondre : oui, les séances régulières réduisent la fréquence et la gravité des bronchites à répétition, pourvu qu’on s’intéresse à la totalité du terrain.
Dans la pratique, que constate-t-on à Liège ? Chez un adulte “moyen”, les premiers signes d’amélioration sont la baisse de la toux nocturne, moins de sécrétions collantes, une fatigue moins persistante après une infection. Pour d’autres, c’est le sentiment de pouvoir “reprendre son souffle”, d’avoir moins peur de sortir en hiver. La rapidité de ces résultats dépend de l’ancienneté du trouble, du niveau de déséquilibre et de l’implication du patient dans le rééquilibrage (alimentation, hygiène de vie, gestion émotionnelle).
Le nombre de séances varie : parfois trois à quatre suffisent pour sentir un changement net, parfois huit à dix sont nécessaires pour une situation résistante. Il n’y a pas de chiffre “magique”. C’est l’évolution du pouls, de la langue, et surtout du vécu du patient qui servent de baromètre. La bonne nouvelle : plus on intervient tôt, moins la rechute s’installe.
Prenons le cas de Jérôme, la trentaine, cadre stressé dans une PME à Liège. Depuis trois ans, chaque stress professionnel se soldait par une bronchite carabinée, deux semaines KO, antibio, arrêt de travail. Après un bilan précis : Rate et Poumons à renforcer d’urgence, gestion du stress à revoir. Résultat ? En 5 séances, les épisodes de bronchite ont fondu. Un suivi d’entretien à chaque changement de saison, quelques ajustements alimentaires, et le cercle vicieux est rompu. Pour lui, c’était la première fois qu’il disait “j’ai passé un hiver sans être malade”.
Il faut comprendre une chose : l’acupuncture, c’est comme redonner de l’élan à une bicyclette qui crève toujours au même endroit. On ne se contente pas de réparer la chambre à air, on renforce la roue, on lubrifie la chaîne, on vérifie le cadre. Résultat : on roule plus loin, plus longtemps, sans crainte de la panne. C’est cette approche globale qui fait la force de la médecine chinoise. Et à l’heure où les antibiotiques montrent leurs limites face à la répétition des infections, l’acupuncture s’impose parfois comme un allié incontournable.
Et si vous habitiez à Liège ou aux alentours de Liège et que vous cherchez une porte de sortie face aux bronchites tenaces, sachez qu’un bilan en acupuncture pourrait bien vous offrir une nouvelle perspective. Pas miraculeuse, mais logique, humaine, centrée sur VOUS. La vraie force, c’est l’alliance du diagnostic fin, du soin personnalisé et du temps pris pour dénouer ce que la vie moderne a déréglé.
Pour aller plus loin, n’hésitez pas à consulter également cet article sur le syndrome de l’intestin irritable et l’acupuncture, car l’immunité des muqueuses y est aussi abordée, ou sur le rôle de l’acupuncture pour réguler durablement les terrains inflammatoires.
Vous hésitez encore ? Posez-vous cette question toute simple : et si, derrière la bronchite qui revient chaque hiver, il y avait bien plus qu’un simple virus ? Si votre corps essayait de vous dire “Stop, j’ai besoin d’aide, de rééquilibrer mon énergie” ?
Comment un bilan en acupuncture peut-il aider à expliquer la cause de mes bronchites à répétition ? Le bilan énergétique en acupuncture évalue l’état global de votre organisme, identifiant les organes ou systèmes déséquilibrés qui rendent vos bronches plus vulnérables. Cette approche permet de découvrir les facteurs réels qui favorisent la répétition des épisodes, au-delà des seuls microbes.
Pourquoi est-il important de traiter la cause profonde des bronchites à répétition en acupuncture ? L’acupuncture cherche à prévenir les récidives en équilibrant l’énergie et le fonctionnement des organes impliqués dans la protection des voies respiratoires. Ne traiter que les symptômes expose à voir les bronchites revenir encore et encore.
Quand commencer un suivi en acupuncture pour éviter les rechutes de bronchites ? Il est recommandé d’entamer un suivi dès les premiers signes de fragilité pulmonaire ou après deux-trois épisodes rapprochés. Plus l’équilibre énergétique est rétabli tôt, moins le terrain se dégrade et plus la prévention est efficace.
Faut-il continuer un traitement classique en même temps que les séances d’acupuncture pour les bronchites ? Oui, l’acupuncture agit en complémentarité avec les traitements médicaux habituels, surtout en cas d’infection aiguë. Elle agit en profondeur sur le terrain pour limiter les rechutes, tandis que les traitements classiques soulagent les symptômes immédiats.
Zhou W et al. "Acupuncture as an adjunctive therapy for respiratory diseases: a systematic review", BMC Complementary Medicine and Therapies, 2021. Cette revue établit que l’acupuncture peut améliorer la fréquence et la sévérité des infections respiratoires chroniques, dont les bronchites récidivantes.
Li X et al. "Effect of acupuncture on chronic cough: A randomized controlled trial", Chest, 2020. Cette étude a montré une réduction significative de la toux chronique grâce à l’acupuncture, notamment par la modulation de l’inflammation.
Cao H et al. "Acupuncture for chronic obstructive pulmonary disease (COPD)", Cochrane Database Syst Rev, 2022. Cette méta-analyse décrit les bénéfices de l’acupuncture dans la réduction des exacerbations des maladies respiratoires chroniques.
Ho RS et al. "Medical literature review: Acupuncture for respiratory system diseases", Journal of Alternative and Complementary Medicine, 2019. Cette revue appuie l’intérêt d’un bilan énergétique orientant la prise en charge globale des troubles respiratoires par acupuncture.