AcupunctureAcupuncture à Esneux – Katty Lhermitte – Acupunctrice proche de Liège
📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 Esneux
📞 Téléphone RDV : 0471 49 75 81
L’arthrose, ce mot qui s’invite dans la bouche de millions de personnes chaque année. Vous vous êtes peut-être levé un matin, la hanche raide, le genou douloureux, l’envie de remettre à plus tard les escaliers. Peut-être que marcher devient peu à peu une épreuve. En Belgique, l’arthrose touche toutes les générations, mais elle sait se montrer capricieuse et agaçante passé un certain âge. Pourtant, il existe des solutions naturelles qui ne passent ni par la chirurgie, ni par les médicaments à outrance. L'acupuncture, pratique millénaire chinoise, attire de plus en plus l’attention des spécialistes et des patients. Mais comment ces aiguilles pourraient-elles vraiment améliorer la mobilité sur un corps usé par l’arthrose ? C’est précisément ce que nous allons explorer, pas à pas, dans cet article ancré dans la pratique réelle, avec une vision scientifique mais accessible.
Avant d’évoquer l’acupuncture, arrêtons-nous sur l’arthrose elle-même. Pour beaucoup, ce mot rime avec “fatalité”. Mais comprenons ce qui se passe. L’arthrose est une maladie articulaire dégénérative caractérisée par une usure progressive du cartilage, cette enveloppe qui protège les extrémités osseuses et permet aux articulations de glisser sans douleur. Genoux, hanches, mains, dos... Elle s’attaque là où ça fait le plus mal au fil du temps. Progressivement, l’articulation perd sa souplesse, le mouvement coince, la douleur s’installe. On se sent parfois vieux avant l’heure, entravé dans de simples gestes comme se pencher ou monter un trottoir.
À Liège, comme partout, les traitements conventionnels sont bien connus : antidouleurs, anti-inflammatoires, kiné, parfois infiltrations. Mais ces solutions, si précieuses soient-elles, ne marchent pas toujours dans la durée. “Je ne veux pas finir accro aux médicaments”, entend-on souvent en consultation. C’est là que de nouvelles alternatives émergent, dont l’acupuncture. Vous ne la connaissez que de nom ? Elle intrigue, car elle propose autre chose : rétablir l’équilibre pour libérer le mouvement, sans masquer la douleur mais en s’attaquant à des mécanismes de fond.
L’arthrose impacte la mobilité de façon sournoise. Moins de souplesse, plus de douleurs, mais aussi la peur d’avoir mal en bougeant. La mobilité se grippe. C’est tout un cercle vicieux : on bouge moins par appréhension, la musculature s’atrophie, l’articulation s’enraidit. Les activités qui rendaient heureux passent à la trappe. Pourtant, il y a une marge de manœuvre. Mieux comprendre l’inflammation chronique, le rôle du stress, la fatigue associée – c’est aussi ce que propose l’acupuncture.
Une étude récente publiée dans le British Medical Journal confirme que les douleurs d’arthrose du genou rendent la marche pénible dans plus de 65% des cas sondés chez des patients de 50 ans et plus. Mais la majorité continue d’espérer des solutions sans dépendance médicamenteuse. L’acupuncture, avec ses outils précis, tente alors de rompre cet engrenage.
Revenons à l’essence de l’approche : l’acupuncture vise à rétablir une bonne circulation de l’énergie (le fameux “Qi”) dans le corps tout entier, mais ce concept s’ancre aussi dans une compréhension moderne de la douleur, de l’inflammation et de la gestion du stress. En pratique, elle associe une observation globale (le patient dans sa globalité) à des points ciblés pour réduire l’inflammation, calmer la gêne et surtout, restaurer la mobilité.
Au fond, pourquoi le patient se tourne-t-il vers l’acupuncture pour mieux bouger malgré l’arthrose ? Parce qu’il veut échapper à la spirale des douleurs chroniques et retrouver le plaisir de bouger, de marcher, de jardiner… d’exister pleinement. Et ça, c’est le grand défi de toute consultation en cabinet d’acupuncteur.
Posons-le clairement : l’acupuncture n’est pas un miracle. Ce n’est pas une baguette magique ! Pourtant, des mécanismes précis sont mis en œuvre à chaque séance, et la science commence à lever le voile sur leur efficacité. Cela commence par la stimulation de points-clés situés le long de réseaux énergétiques, nommés “méridiens”. Mais que se passe-t-il vraiment sous la peau ?
Première étape : la modulation de la douleur. À chaque piqûre fine, les fibres nerveuses périphériques sont stimulées. Cela ne fait pas mal (et ça surprend la plupart des gens !), mais cela va provoquer la sécrétion d'endorphines, anxiolytiques et antidouleurs naturels du cerveau. C'est un peu comme si chaque point d'acupuncture envoyait un petit signal à votre organisme : “Tu peux lâcher prise, la douleur va baisser, détends-toi !” Ce relâchement permet bien souvent de mieux mobiliser l’articulation pratiquement dès la première séance, car les muscles se détendent sur place.
Deuxième effet : la réduction de l’inflammation locale et systémique. Des études, notamment publiées dans The Journal of Pain, ont observé que certaines protéines inflammatoires (comme les cytokines) diminuaient dans le sang des patients après un protocole d’acupuncture. Résultat : gonflements articulaires moins présents, sensations de raideur diminuées. Un genou “enflé” devient alors plus mobile, et la peur de la douleur recule au profit de la confiance dans le mouvement.
Troisième point trop souvent ignoré : la gestion du stress et de la fatigue chronique. L’arthrose, ce n’est pas qu’une histoire de cartilage ; c’est aussi un vécu psychologique lourd. La peur d’avoir mal, la déprime de ne plus pouvoir bouger comme avant, les troubles du sommeil provoqués par la gêne nocturne… L’acupuncture, en stimulant certains points spécifiques (notamment ceux des méridiens du foie, du rein et de la rate dans la médecine chinoise), agit sur le système nerveux autonome. Elle favorise la détente, améliore la qualité du sommeil et restaure petit à petit la motivation à bouger. Un patient reposé aura une meilleure tolérance à l’effort, c’est un cercle vertueux.
Un exemple vécu à Esneux : une patiente âgée de 53 ans, souffrant d’arthrose des deux genoux, raconte dans le cabinet de Katty Lhermitte qu’après quelques séances, elle n’avait plus cette “crainte de craquer en montant les escaliers”. Son muscle, d’habitude tendu comme un arc, semblait relâché. On note ainsi, dans la littérature scientifique, que la stimulation des points d’acupuncture déclenche une meilleure plasticité musculaire et articulaire.
L’acupuncture s’adresse aussi à la vascularisation locale. En favorisant la circulation sanguine, elle soutient une meilleure irrigation des tissus endommagés et accélère les processus naturels de réparation, comme le ferait une cure thermale ou une séance de massage profond. Les tissus “rouillés” retrouvent une meilleure oxygénation et, mécaniquement, la mobilité en bénéficie.
On comprend alors pourquoi, autour de Liège et dans de nombreux cabinets spécialisés, de plus en plus de patients arthrosiques essayent cette option. L’enjeu ? Rompre le cycle infernal : douleur → immobilisme → aggravation. Permettre de rester actif, de garder son autonomie… et cette dignité qui manque tant lorsqu’on peine à mettre un pied devant l’autre.
Mais tout n’est pas qu’affaire de biologie : l’effet placebo, la conviction, le sentiment d’être pris en charge dans sa globalité, tout cela favorise aussi le ressenti positif. Or, la souffrance chronique se niche souvent dans la perte de confiance. Reprendre le pouvoir sur son articularité, c’est déjà gagner contre la maladie.
Dans la pratique technique, chaque protocole est unique, car chaque patient a sa propre histoire articulaire. Place des points, durée, rythme, conseils associés… rien n’est laissé au hasard, car l’objectif est de trouver le “bon réglage” qui réveille la force de guérison propre à chacun. C’est là toute la subtilité de l’art acupunctural, entre geste précis et écoute intime des symptômes.
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Là où beaucoup s’interrogent, c’est sur l’impact réel d’une cure : à quoi faut-il s’attendre, séance après séance, dans la vraie vie ? Avec l’arthrose, le moindre gain compte. Alors plongeons dans le concret, en suivant le fil d’une prise en charge typique en cabinet. Car l’articulation, elle, ne ment pas : soit elle se débloque, soit elle ne suit plus, et le patient le sent tout de suite.
Premier rendez-vous : il s’agit d’établir un bilan global. Katty Lhermitte, acupunctrice aux alentours de Liège, commence par écouter le vécu de la douleur (intensité, circonstances d’apparition, facteurs aggravants), mais aussi l’ensemble des symptômes qui gravitent autour de l’arthrose : fatigue, stress, troubles du sommeil, état digestif… Cette photographie initiale servira de base pour cibler les points à travailler, mais aussi pour mesurer les évolutions. Car améliorer la mobilité, ce n’est pas tout corriger d’un coup, mais progresser pas à pas.
À la première séance, les aiguilles (ultrafines, stériles et à usage unique) sont posées sur des points précis. Beaucoup de patients disent : “Je n’ai presque rien senti !” Tant mieux, c’est le but. Mais très vite, certains ressentent une chaleur, un léger fourmillement : signes que le corps “répond”. L’effet antalgique est progressif, mais déjà la sensation de jambe ou de hanche “moins lourde” se fait sentir.
Dans le protocole typique, une cure comprend 5 à 10 séances, réparties sur plusieurs semaines. Les effets attendus ? Une diminution des douleurs et des raideurs, mais surtout, une récupération du mouvement. Parfois, on observe ainsi une amélioration de la flexion du genou de 10 à 20% selon les études, traduite concrètement par la capacité à se baisser ou à monter une marche sans bloquer.
L’acupuncteur peut aussi travailler sur les muscles périphériques trop contractés, par exemple le quadriceps ou le mollet, qui empêchent le genou de plier normalement. On note alors un apaisement rapide de la sensation de tiraillement.
Le suivi comprend toujours un dialogue sur les progrès (“Arrivez-vous à aller faire les courses sans vous arrêter ?”, “Avez-vous pu reprendre la promenade du soir ?”). Car c’est dans le quotidien que les résultats se mesurent, pas sur une photo radiographique. Les séances permettent d’ajuster les points, de cibler les nouveaux symptômes qui apparaîtraient, et de revoir les conseils en hygiène de vie.
L’acupuncture agit également sur les troubles annexes, très fréquents dans l’arthrose : insomnie (problèmes d’endormissement causés par la douleur), stress, tendances dépressives. Un corps qui dort mieux, qui se détend, récupère beaucoup plus vite et retrouve plus facilement son élan de mobilité. Pour approfondir le sujet du sommeil et de l’impact acupunctural sur ce paramètre crucial, découvrez l’article suivant : acupuncture et qualité du sommeil.
Les témoignages le prouvent : un patient suivait des séances pour son arthrose de hanche, il racontait en milieu de cure : “J’arrive à refaire le tour du quartier, alors qu’avant, après 200 mètres, j’étais bloqué”. Il n’a pas “guéri”, mais il a repris de la liberté. Ce détail fait toute la différence. Car la mobilité, c’est le socle de l’autonomie ; elle conditionne la capacité à vivre pleinement.
L’acupuncture doit être adaptée à chaque patient. Plus l’arthrose est installée, plus il faudra parfois prolonger la prise en charge, mais le principe reste le même : relancer, débloquer, entretenir. L’objectif final n’est pas de revenir à 20 ans, mais de retrouver assez de mouvement pour vivre selon ses envies, et non selon celles de la maladie.
Petit bonus : de nombreux patients rapportent un effet “boost” sur l'énergie générale. Loin de se limiter à l’articulation malade, le rééquilibrage énergétique agit “sur tout le système locomoteur”. C’est ici que l’acupuncture se distingue, car elle ne cloisonne jamais le corps dans une seule articulation, mais cherche l’origine fonctionnelle du blocage – un peu comme on chercherait pourquoi une porte grince, au-delà du simple gond abîmé.
L’un des grands avantages de l’acupuncture : elle peut être combinée à d’autres traitements (kiné, ostéopathie, alimentation, activité physique douce). En somme, elle s’inscrit dans une vraie démarche pluridisciplinaire, et c’est aussi pourquoi beaucoup de médecins référents recommandent aujourd’hui cette pratique pour accompagner l’arthrose.
Intéressé par l’acupuncture pour d’autres douleurs articulaires ? Lisez cet article détaillé du site Esneux Medical : acupuncture et lombalgies.
Notons aussi que des solutions naturelles existent pour gérer en parallèle d’autres symptômes, comme le stress ou l’insomnie, souvent aggravés par la souffrance chronique. Par exemple, l’acupuncture aide aussi à libérer le mental et le corps, comme expliqué dans cet article complémentaire : acupuncture et gestion du stress à Liège.
La question du “pour qui” est essentielle. Peut-être vous demandez-vous si l’acupuncture vous conviendrait, ou si c’est réservé seulement “à ceux qui n’ont plus d’autre choix”. Rassurez-vous : c’est une pratique inclusive, adaptée à de nombreux profils.
Les principales indications sont : douleurs articulaires chroniques, pertes de mobilité, raideurs persistantes, gêne à la marche ou à la préhension (genou, hanche, épaule, colonne, doigts). Elle peut être prescrite dès le début de l’arthrose pour limiter la progression, ou en cas de forme avancée pour retrouver une meilleure qualité de vie. La majorité des patients qui consultent à Liège ou en Belgique sont dans une tranche d’âge allant de 45 à 80 ans, mais rien n’empêche une personne plus jeune, sportive ou non, d’y recourir.
Quand commencer ? Dès que la gêne au mouvement survient, c’est le bon moment. Pas besoin d’attendre que la douleur soit permanente. Plus tôt l’acupuncture est intégrée dans une prise en charge globale, plus on évite la chronicisation et les compensations inutiles (boiterie, douleurs dans d’autres zones, fatigue).
L’acupuncture est aussi indiquée en complément d’autres approches : kiné pour renforcer les muscles, ostéopathie pour les déséquilibres articulaires, naturopathie pour désenflammer en profondeur. Une synergie se crée, et chaque pratique soutient l’autre pour un bénéfice accru.
Vous hésitez à franchir le pas ? C’est fréquent. L’aiguille impressionne, la peur de l’inconnu retient parfois. Pourtant, 9 patients sur 10 relatent, après la première séance : “Je n’ai rien senti, j’aurais dû venir plus tôt !” Et une étude publiée en 2017 dans The Annals of Internal Medicine précise que la sécurité de l’acupuncture est excellente, avec très peu d’effets indésirables décrits.
Un point crucial : une approche de qualité nécessite un acupuncteur diplômé, formé spécifiquement (médecine, formation complémentaire reconnue), et une pratique dans des conditions optimales d’hygiène et d’écoute. À Esneux et dans les centres spécialisés, tout est fait pour garantir un accompagnement individualisé. Si vous cherchez à combiner naturel et efficacité, cet accompagnement s’inscrit parfaitement dans une démarche respectueuse de votre identité et de votre rythme.
Pourquoi ne pas attendre que l’articulation se bloque complètement, alors ? Parce que chaque jour gagné en mobilité, c’est un pas de plus vers l’autonomie. Vous vous demandez si une séance peut faire la différence ? Vous noterez souvent un petit mieux dès les premiers jours, puis une amélioration cumulative à mesure que le corps s’adapte.
Les patients rapportent parfois des retours inattendus (“J’ai mieux dormi, mes migraines se sont espacées, j’ai retrouvé mon énergie au réveil…”). C’est l’une des forces de l’acupuncture : agir localement et globalement, rééquilibrer des paramètres qui semblaient secondaires mais qui, au final, participent autant à la douleur qu’à la raideur des articulations.
Peut-on vraiment allier médecine classique et acupuncture ? Oui, c’est même recommandé. L’arthrose n’est jamais qu’une question d’aiguille ou de cachet, mais un vrai travail d’équipe autour du patient. Pour compléter vos recherches, lisez l'article sur les bienfaits de l’acupuncture contre la douleur sur le site Esneux Medical.
L’arthrose n’a rien d’une fatalité : la science, la sagesse populaire et l’expérience clinique convergent pour proposer des pistes qui redonnent espoir et mobilité, même sans recourir à des traitements lourds. Dans de nombreux cas, l’acupuncture aide à tenir bon, à retrouver la joie simple d’avancer sans (trop de) douleur, et ce, sans risque d’accoutumance.
À vous de jouer. Testez, découvrez, trouvez la fréquence idéale. Car une articulation libérée, c’est la promesse de mille petits gestes retrouvés :
Éplucher une orange. Glisser des chaussettes sans grimacer. Danser une minute, juste pour le plaisir.
C’est ça, le vrai privilège de la mobilité retrouvée.
Comment l’acupuncture aide-t-elle exactement à améliorer la mobilité en cas d’arthrose ?
L’acupuncture libère certains points énergétiques pour réduire la douleur, diminuer l’inflammation et détendre les muscles autour des articulations. Grâce à cela, la mobilité s’améliore souvent dès les premières séances, car le corps retrouve de la souplesse et moins de gêne à l’effort.
Quand faut-il commencer une cure d’acupuncture contre l’arthrose ?
Plus tôt vous démarrez, plus les chances de freiner la perte de mobilité sont grandes. Il est recommandé de débuter dès l’apparition des premières douleurs ou raideurs, pour rééquilibrer le corps avant que la rigidité ne s’installe durablement.
Pourquoi choisir l’acupuncture plutôt qu’un autre traitement naturel pour l’arthrose ?
L’acupuncture agit à la fois sur la douleur, la détente musculaire et l’équilibre général du corps, ce qui permet un vrai travail global. De plus, elle peut se combiner sans risque avec la kinésithérapie, la naturopathie et l’activité physique douce pour des résultats durables.
Faut-il s’attendre à des effets secondaires après une séance d’acupuncture pour l’arthrose ?
Les effets secondaires sont rares et généralement bénins, comme de petits hématomes. L’immense majorité des patients tolère très bien les aiguilles et ressentent surtout une détente, parfois une fatigue légère le soir-même.
Vas, J., Méndez, C., et al. “Acupuncture as a Complementary Therapy to the Pharmacological Treatment of Osteoarthritis of the Knee: Randomized Controlled Trial.” BMJ, 2004.
Résumé : L’étude démontre une diminution significative de la douleur et une amélioration de la mobilité chez des participants arthrosiques grâce à l’acupuncture en complément du traitement standard.
Zhang, Q., Yue, J., et al. “Effects of Acupuncture for the Treatment of Osteoarthritis: A Meta-Analysis.” American Journal of Chinese Medicine, 2017.
Résumé : Cette méta-analyse montre que l’acupuncture réduit la douleur et améliore significativement la fonction articulaire chez les patients atteints d’arthrose.
Hinman, R.S., McCrory, P., et al. “Acupuncture for Chronic Knee Pain: A Randomized Clinical Trial.” JAMA, 2014.
Résumé : Les participants ayant reçu des séances régulières d’acupuncture ont connu une meilleure mobilité et une baisse de la gêne fonctionnelle sur le long terme par rapport au groupe contrôle.
Lao, L., Bergman, S., et al. “Evaluation of Acupuncture for Pain Control After Osteoarthritis Surgery.” Pain, 2010.
Résumé : L’acupuncture s’est avérée efficace pour calmer la douleur post-opératoire après chirurgie de l’arthrose, avec moins d’usage d’analgésiques et un retour plus rapide à la mobilité.