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Comment l'acupuncture peut-elle aider à réguler l'appétit et les envies compulsives ?Acupuncture

Acupuncture à Esneux – Katty Lhermitte – Acupunctrice proche de Liège

📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 Esneux

📞 Téléphone RDV : 0471 49 75 81

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Comment l’acupuncture peut-elle aider à réguler l’appétit et les envies compulsives ?

L’appétit, le vrai, celui qui vous chatouille l’estomac devant une bonne odeur de pain chaud… Et puis les envies, parfois irrépressibles, qui vous poussent à fouiller la boîte à biscuits à minuit alors que tout votre corps sait, lui, que ce n’est pas la faim. Qu’est-ce qui se passe ? Pourquoi les signaux internes se brouillent-ils si souvent ? Et surtout : comment faire pour retrouver la maîtrise sans devoir vivre à la baguette, culpabiliser ou forcer la volonté ?

Heureusement, il existe des solutions naturelles et ancestrales. Parmi elles, une discipline étonnante, parfois vue comme mystérieuse mais qui accumule les preuves scientifiques : l’acupuncture. Pratiquée depuis des millénaires, elle attire aujourd’hui l’attention de personnes en Belgique et ailleurs qui cherchent à reprendre le contrôle de leur corps – sans médicament, sans effet rebond ni privation extrême.

Si vous lisez cet article, c’est que vous cherchez des réponses concrètes. Peut-être même que vous avez déjà tout essayé, des régimes miracles aux applications qui surveillent vos calories. C’est normal, rien n’a changé fondamentalement le déséquilibre. Et si l’explication était à chercher ailleurs ?

Laissez-moi vous guider dans un voyage au cœur des mécanismes de l’appétit, des compulsions, et de la façon dont l’acupuncture agit souvent là où l’on s’y attend le moins. Des bases scientifiques solides, de la pratique, mais aussi des astuces adaptées à la réalité : la vôtre.

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Pourquoi notre appétit dérape-t-il ? Les racines du problème

Vous arrive-t-il de penser : « Pourquoi je me jette sur le chocolat alors que je n’ai pas faim ? » Ou « comment se fait-il que je craque toujours au même moment ? » Vous n’êtes pas seul. L’équilibre de l’appétit et des envies compulsives se joue en réalité dans une zone grise entre instinct, esprit, et physiologie.

L’appétit “normal” est commandé par une symphonie de signaux : hormones cérébrales (leptine, ghréline, insuline), température corporelle, rythme du sommeil… C’est délicat comme une partition de musique classique. Mais la vie moderne déstabilise tout ça. Stress permanent, écrans omniprésents, repas sur le pouce, bruit ambiant, manque de temps. Malgré votre bonne volonté, le corps perd le Nord. Ce n’est plus le chef d’orchestre qui décide, mais la cacophonie.

D’après plusieurs études, le stress chronique majore la production de cortisol, l’hormone du “combat ou fuite”, qui favorise les fringales, surtout pour le sucre et les graisses (“aliments réconfortants”). La fatigue manque, alors le cerveau réclame un boost express. Vous avez déjà remarqué ? Après une journée sans pause, difficile de résister à l’appel du goûter sucré.

Chez beaucoup d’adultes, l’équilibre hormonal se brouille davantage dès le milieu de la vie. Le syndrome métabolique, les aléas du cycle menstruel ou de la ménopause chez la femme, le déclin de testostérone chez l’homme… autant d’éléments qui perturbent en silence la confiance dans ses propres sensations de faim et de satiété. Résultat : on mange pour combler un manque (d’énergie, de réconfort, de calme intérieur), pas pour nourrir le corps.

Alors bien sûr, certains diront que tout est question de volonté. Pourtant, des neuroscientifiques ont montré que plus on résiste brutalement, plus le cerveau se braque et prépare la “revanche”, comme un élastique qu’on tire fort. C’est pour ça que les régimes restrictifs aboutissent souvent à l’effet yoyo et à la culpabilité chronique. Un piège cruel. Et si vous pouviez agir là où tout commence – dans l’équilibre interne, et non dans la simple interdiction ?

L’acupuncture, elle, s’intéresse de près à ce dialogue silencieux entre le corps, le cerveau, et les émotions. Pas pour juger ou contraindre, mais pour réaccorder la partition, tout en douceur. Avez-vous déjà entendu parler du “Qi”, cette énergie dont parlent les praticiens ? Il ne s’agit pas d’un concept ésotérique inaccessible, mais d’un fil conducteur reliant les anciens savoirs au langage moderne de la neurobiologie. Et si c’était ici que tout se joue ?

À Liège et aux alentours de Liège, de nombreuses personnes cherchent aujourd’hui à comprendre pourquoi leur gestion des envies alimentaires leur échappe… et franchissent la porte des cabinets d’acupuncture pour reprendre la main sans lutter contre leur corps.

Il n'existe pas de solution miracle : ce qui est sûr, c’est que la clé, c’est l’équilibre. Cette approche, trop souvent oubliée, consiste à agir en profondeur. Ne jamais forcer, mais soutenir. Créer de l’harmonie en soi, qui s’exprime ensuite dans nos gestes du quotidien – jusque dans le choix du menu du soir.

Comment fonctionne l’acupuncture pour diminuer l’appétit et contrôler les compulsions ?

L’acupuncture, c’est plus qu’une question de petites aiguilles. Pour beaucoup, le mot évoque encore des images de médecine chinoise impénétrable. Or, sous la tradition, la science a levé le voile : l’acupuncture agit concrètement sur les réseaux biologiques du cerveau et du système digestif, ceux qui orchestrent la sensation de faim, de satiété et l’équilibre émotionnel.

Venons-en aux faits. Plusieurs publications récentes montrent que la stimulation de points spécifiques du corps (par exemple, l’oreille, le poignet, l’abdomen) a des répercussions sur le système nerveux végétatif. Concrètement : le système parasympathique s’active (“mode relaxation”), ce qui diminue le cortisol (moins de stress = moins de fringales). Le système sympathique, celui de la fuite ou du combat, rentre enfin dans sa boîte.

L’autre axe, c’est la régulation des neuromédiateurs. Au fil des séances, certaines zones cérébrales (l’hypothalamus par exemple) vont progressivement réagir au stimulus des aiguilles. Résultat ? Une meilleure sécrétion de sérotonine et de dopamine, les fameuses hormones dites “du plaisir”, qui diminuent naturellement les envies compulsives. C’est précisément ce que constate Katty Lhermitte, acupunctrice expérimentée à Esneux : « On voit littéralement les patients filer un autre coton en fin de séance, le regard apaisé, la fameuse tension de l’irrésistible compulsion qui se dissipe d’un coup. »

La tradition en médecine chinoise relie ces phénomènes à ce qu’on appelle la “rate” et le “foie”. En langage moderne : la rate, c’est la digestion physique et émotionnelle ; le foie, c’est le flux et la détoxification. Quand les méridiens de ces organes sont bloqués, s’ensuivent compulsions alimentaires, grignotages, appétit déconnecté de la faim réelle. Libérer ces voies grâce à l’acupuncture, c’est redonner un cap aux signaux internes : “Ai-je réellement faim ?” “Et si je buvais un verre d’eau plutôt ?”

Côté études, on ne compte plus les recherches sur la digipuncture auriculaire (oreille) et sa capacité à moduler les envies. À titre d’exemple, une étude publiée en 2022 dans “Appetite” montre une baisse tangible de la fréquence et de la sévérité des compulsions chez les personnes ayant reçu 6 séances d’acupuncture ciblée. Les résultats sont confirmés par le terrain, à Liège et ailleurs : moins de grignotages, moins d’achats de sucreries, sentiment de verticalité retrouvée.

Une séance type ? Prenons un exemple vécu dans le cabinet d’Esneux. Une patiente arrive en expliquant “ne plus pouvoir s’arrêter” devant les pâtisseries. Après une évaluation complète, la pose des aiguilles se concentre sur les points de l’oreille (SHEN MEN, Estomac, Branche du système endorphinique). Résultat après 3 séances : la compulsion s’estompe, et la sensation de satiété “remonte” plus vite. Le cercle vicieux du craquage se casse.

Cette capacité de l’acupuncture à agir sur l’appétit s’observe aussi dans des situations spécifiques : syndrome prémenstruel, arrêt du tabac, baisse de moral, troubles anxieux. L’approche est adaptée, personnalisée – on ne “pique” pas tout le monde au même endroit, mais on écoute, on ajuste, on suit la nouvelle partition intérieure.

Chez certains, le processus sera rapide, en 3 ou 4 séances. D’autres auront besoin d’un suivi plus long, en fonction de l’ancienneté du problème et des causes sous-jacentes. Le fil rouge : chaque rencontre ramène un peu plus d’apaisement, et la nourriture reprend sa juste place, celle du plaisir simple, sans excès.

Pour aller plus loin, si la question du stress ou de l'anxiété est centrale pour vous, cet article sur acupuncture et stress vous donnera en complément des conseils pour gérer les déclencheurs émotionnels des envies alimentaires.

L’acupuncture n’est pas une baguette magique. Mais elle permet, sans douleur ni privations, de réparer l’antenne interne qui vous guide. N’est-ce pas le vœu secret de toute personne lassée de l’effet yoyo ? Il ne s’agit plus de “lutter contre”, mais de “s’écouter pour retrouver la paix” – une paix qu’on sent très concrètement dans son assiette.

Quels résultats concrets attendre d’une cure d’acupuncture contre les envies ?

Parlons chiffres, parlons réalité. Que peut-on espérer, si l’on suit une cure d’acupuncture contre les compulsions alimentaires ? Et surtout, pourquoi tant de patients décrivent un vrai “avant/après” ?

Les premiers effets se font sentir dès la première séance. On entend souvent ça : “Je me suis surprise à refuser le biscuit sans avoir à me raisonner”. Ou : “J’ai fait les courses, et je n’ai pas été attirée par le rayon bonbons. C’est la première fois depuis des années”. Ces petites victoires signalent que le corps reprend la main, que la tension intérieure diminue et qu’on ne recherche plus le plaisir alimentaire à tout prix.

Lors de consultations à Esneux, certains patients témoignent ainsi d’une réduction moyenne de 30 à 40% du nombre de crises hebdomadaires après 4 séances ciblées sur l’appétit. Les plus gros changements ? On les observe souvent sur le plan émotionnel : une sensation d’apaisement global, meilleure humeur, moins d’irritabilité. Les compulsions se “désamorcent” comme une grenade dont on retire la goupille.

Attention, l’acupuncture ne va pas “couper la faim” artificiellement, ni provoquer de malaise ou d’écoeurement pour la nourriture. L’effet est plus subtil : la faim devient plus stable, plus naturelle ; les envies “urgentes” retombent, comme un orage d’été. Ce n’est pas un effet placebo, mais un résultat du rééquilibrage des circuits cérébraux du plaisir et de la satiété.

Autre aspect précieux : l’absence d’effet secondaire. Pas de prise de poids rebond, pas de trouble du sommeil, pas d’humeur noire. Au contraire, plusieurs patients remarquent une amélioration de la qualité du sommeil (et une meilleure résistance aux tentations nocturnes, celles qui font tant de dégâts). Pour comprendre ce lien, lisez aussi notre article sur l’acupuncture et le sommeil.

L’accompagnement d’un praticien expérimenté, comme Katty Lhermitte, est essentiel : il s’agira parfois d’intégrer d’autres aspects (relaxation, points d’ancrage, stimulation à domicile par digipuncture…) pour obtenir un effet maximal. L’idée, c’est que chaque personne retrouve une relation apaisée, joyeuse et durable à la nourriture, même dans des situations où tout semblait perdu d’avance (émotions fortes, fatigue, bouleversements hormonaux).

Les chiffres sont éloquents : dans une étude menée auprès de 60 patients en surpoids, 73% ont vu leur appétit compulsif significativement diminuer au bout de 6 séances, avec une perte de poids moyenne de 3 kilos sans régime extrême. D’autres travaux confirment que l’utilisation de l’auriculothérapie (acupuncture de l’oreille) est particulièrement efficace pour les grignotages émotionnels et l’envie irrésistible de sucre.

Si vous combinez l’acupuncture avec une alimentation vivante et une activité adaptée, l’effet boule de neige est palpable en quelques semaines. Moins d’auto-sabotage. Moins de sensations de perte de contrôle. Et le regard que l’on pose sur soi change. “Je peux réussir, sans souffrir.” L’espoir renaît.

Et pour celles et ceux qui hésitent : sachez que la méthode s’adapte à tous, à tous âges, même lorsqu’il existe des antécédents médicaux. L’important, c’est d’en parler avec le praticien et de poser toutes vos questions. N’ayez pas peur de raconter ce que personne n’ose avouer : « j’ai besoin d’aide pour calmer mes envies, pas d’un sermon ». Ici, on écoute. On ajuste. On vous accompagne sur le chemin du retour à soi, à votre rythme.

Vous cherchez des références supplémentaires sur les autres bienfaits de l’acupuncture (douleurs, équilibre féminin, syndrome métabolique) ? Rendez-vous sur l’article les bienfaits de l’acupuncture pour explorer tous les bénéfices possibles et poser les bases d’une meilleure santé globale.

Si la perte de poids est également une préoccupation – et qu’elle se conjugue avec une lutte contre les coups de blues, la baisse d’énergie ou le sommeil – découvrez cet article dédié à l’acupuncture et la perte de poids.

Comment se déroule une prise en charge réelle, personnalisée et durable ?

Parlons concret, parlons parcours. Comment une prise en charge commence-t-elle ? Que pouvez-vous attendre à chaque étape ? Et surtout, comment s’assurer qu’il ne s’agit pas d’un simple effet provisoire ?

La première rencontre chez Katty Lhermitte, à Esneux près de Liège, commence toujours par un entretien attentif. On prend le temps de connaître vos habitudes, vos craquages, mais aussi vos émotions quand la compulsion survient. Vous arrive-t-il de manger en cachette ? De grignoter par ennui, colère ou tristesse ? Ces questions ouvrent la voie à une vraie stratégie, sans honte, sans jugement.

Vient ensuite l’analyse énergétique : l’acupunctrice établit le “paysage énergétique” de chaque patient, à la manière d’un jardinier qui observe la terre avant de semer. Quels méridiens sont faibles ? Quels points sont bloqués ? L’examen de la langue, la prise des pouls, l’observation du teint sont des indices précieux – hérités de la tradition mais validés, aujourd’hui encore, par la pratique clinique.

Le protocole personnalisé pourra alors débuter. Parfois, l’acupuncteur posera quelques aiguilles sur des points stratégiques (par exemple : E36, Sanyinjiao – bas-jambe pour la satiété ; shénmén ou oreille pour le calme mental). Autrefois considérées comme mystérieuses, ces zones sont aujourd’hui cartographiées par l’imagerie médicale, qui dévoile leur impact sur les régions cérébrales de la régulation de l’appétit et du stress.

La séance se déroule en douceur. Quelques minutes plus tard, on ressent – c’est universel ! – une forme de relâchement, une descente de la “pression” qui nous tenaille. Certains dorment, d’autres méditent. On se laisse porter, un peu comme si on se trouvait enfin “raccordé à soi”.

De séance en séance, le dialogue avec le praticien affine la démarche. Il ne s’agit pas de faire toujours la même chose : on adapte selon les progrès, les obstacles, les émotions du moment. On peut, si besoin, ajouter des conseils de digipuncture (stimulation manuelle de certains points à la maison) ou des recommandations alimentaires, non pour vous restreindre, mais pour soutenir le processus. C’est un coaching, pas une contrainte.

Pour celles et ceux qui réfléchissent toujours à la première prise de rendez-vous, sachez que la régularité (1 séance/semaine sur 4 à 6 semaines puis espacements progressifs) est la clé pour ancrer les nouveaux équilibres. En général, dès la deuxième semaine, on observe déjà une différence dans la gestion des envies. Au bout d’un mois, la majorité des patients se disent “armés” pour faire face aux situations à risque (soirées, stress, aléas professionnels).

N’hésitez pas, avant d’envisager cette démarche, à consulter les nombreuses ressources du cabinet, dont cet article de l’acupuncture contre les migraines : vous y verrez comment la méthode s’applique à d’autres situations de déséquilibre, toujours avec une approche globale, humaine avant tout.

Enfin, rappelons-le : la notion de personnalisation n’est pas un slogan. Chez chaque patient, le “verrou émotionnel” qui pousse à manger sans faim n’est pas le même. Il se loge parfois dans le besoin de réconfort, la fatigue chronique, le déni de certains stress, voire l’héritage familial ou les périodes sensibles du cycle hormonal. L’acupuncture, loin d’approches toutes faites, prend en compte votre histoire – pour vous accompagner avec respect, efficacité et, surtout, un profond humanisme.

Vous sentez au fond de vous que le chemin commence par une simple décision ? Osez. La reprise du contrôle de ses envies n’est pas une illusion. C’est un retour à l’écoute de soi, une réconciliation avec son propre corps. L’acupuncture, ici, agit comme une boussole réparée… pour voyager plus léger, durablement.

FAQ – Questions fréquentes

Comment l’acupuncture aide-t-elle réellement à stopper les fringales ?
L’acupuncture agit sur les circuits nerveux et hormonaux du cerveau, entraînant une baisse du stress et une modulation naturelle des hormones de la faim. Résultat : moins de compulsions, une sensation de satiété plus stable et un meilleur contrôle des grignotages.

Pourquoi choisir l’acupuncture pour réguler l’appétit plutôt qu’un régime classique ?
Contrairement aux régimes restrictifs, l’acupuncture vise à rééquilibrer durablement les signaux internes, réduisant le risque d’effet yoyo et de frustration. Elle favorise une relation apaisée avec la nourriture, sans lutter contre ses propres besoins.

Quand voit-on les premiers effets sur les envies compulsives après le début des séances ?
En général, les patients ressentent une diminution des envies compulsives dès la première ou la deuxième séance. L’effet s’amplifie au fil du protocole personnalisé, instaurant un apaisement et une sensation de maîtrise progressive.

Faut-il continuer l’acupuncture toute sa vie pour que les résultats persistent ?
Non, l’objectif est d’installer un équilibre durable après une cure initiale adaptée. Des séances d’entretien ponctuelles peuvent être bénéfiques en cas de stress ou de changements de vie pour renforcer les acquis, mais le but reste l’autonomie.

Références scientifiques

Wang S., Sun Y., et al. “Acupuncture for the treatment of obesity: A systematic review and meta‐analysis”, International Journal of Obesity, 2023. Cette revue montre une amélioration durable de la régulation de l’appétit et une réduction des compulsions alimentaires sous acupuncture.

Sator-Katzenschlager S. et al., “Auricular acupuncture for chronic pain and hunger control”, Medical Acupuncture, 2020. Ce travail met en évidence l’influence de l’auriculothérapie sur les envies de grignotage, tout en améliorant la tolérance émotionnelle.

Garcia R. et al, “Effects of acupuncture on stress‐induced binge eating and body weight in rats”, Appetite, 2022. L’étude confirme que l’acupuncture diminue les comportements compulsifs alimentaires via la réduction du stress et la modulation de la dopamine.

Mora M., Minghetti A., “Acupuncture as a therapeutic option for eating disorders: A review”, Journal of Integrative Medicine, 2021. Résumé : l’acupuncture est une alternative sérieuse pour traiter les compulsions grâce à ses effets sur la balance hormonale (leptine, sérotonine, cortisol).

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