AcupunctureAcupuncture à Esneux – Katty Lhermitte – Acupunctrice proche de Liège
📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 Esneux
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La digestion, c’est un peu comme un orchestre. Tout doit jouer juste, au bon moment. L’estomac prépare, l’intestin poursuit, le foie règle la cadence. Et pourtant, des fausses notes s’invitent parfois : ballonnements, crampes, lourdeurs, constipation ou diarrhée. Cela vous parle ? Vous n’êtes pas seul. Un Français sur deux souffrirait au moins occasionnellement de troubles digestifs. Si les remèdes classiques se bornent à masquer les symptômes, l’acupuncture, elle, propose une autre voie. Naturelle, centrée sur le corps. Mais comment agit-elle ? Et pourquoi de plus en plus de patients, aux alentours de Liège comme ailleurs, franchissent-ils la porte du cabinet d’acupuncture pour leur ventre ?
Avant tout, revenons à l’essentiel : qu’est-ce qui cloche dans la digestion moderne ? Stress, alimentation déséquilibrée, mode de vie sédentaire : notre système digestif est en première ligne. La médecine occidentale identifie des causes biochimiques (déséquilibres, intolérances, dysbioses…). L’acupuncture, elle, parle de méridiens du ventre, de « Qi » qui circule (l’énergie vitale), d’équilibre entre le Yin et le Yang. Deux visions, deux langages… mais parfois presque les mêmes solutions : redonner de l’élan à cette fameuse « machine » qu’est notre intestin.
Les séances d’acupuncture, c’est un peu comme redonner de l’huile à un moteur grippé. On stimule, on réchauffe, on calme là où ça chauffe trop, on libère là où c’est bloqué. Par les aiguilles, on travaille sur les points stratégiques : le ventre, mais aussi les membres, le dos, parfois le visage. Étonnant ? Pas tant : pour la médecine chinoise, chaque organe est relié à un réseau d’énergie qui circule partout. Vous avez déjà entendu parler de l’importance du « second cerveau », l’intestin ? L’acupuncture va encore plus loin.
Parlons concrètement. Quels troubles digestifs appellent le plus souvent à l’acupuncture ? On retrouve en tête de liste : les ballonnements récurrents, le syndrome de l’intestin irritable (SII), la constipation chronique, les brûlures d’estomac, les nausées fonctionnelles… Ceux pour lesquels les bilans médicaux sont « normaux », mais où le quotidien vire au calvaire. Certains consultent après une période de stress intense : choc émotionnel, deuil, reconversion professionnelle. D’autres cherchent à se rééquilibrer en période de transitions (ménopause, post-accouchement, après une hospitalisation). À Liège, comme ailleurs sur le globe.
Mais pourquoi l’acupuncture a-t-elle sa carte à jouer dans ce champ-là ?
D’abord, parce qu’elle prend en compte l’être, pas seulement l’organe. Le patient, pas juste le symptôme. Une digestion perturbée, ce n’est pas qu’une histoire de tube digestif. C’est souvent le reflet d’un excès ou d’un manque d’énergie quelque part, d’un déséquilibre que l’acupuncteur va rechercher, écouter, ressentir. On prend le pouls, on regarde la langue, on s’intéresse au moral. Vous arrivez anxieux ? Cela va peser sur la rate, qui « gouverne » la transformation des aliments en énergie. Vous êtes épuisé ? La digestion manque de feu, ça tourne au ralenti. L’acupuncture agit comme un chef d’orchestre : elle relance ce qui faiblit, elle tempère ce qui déborde.
Par la pose maîtrisée des aiguilles, l’acupunctrice va chercher à stimuler certains points précis, comme « Estomac 36 » (le fameux point Zu San Li), « Rate 6 », ou « Gros intestin 4 ». Ces points, validés par des siècles de pratique – et de plus en plus d’études cliniques – agissent comme des interrupteurs. Quelques minutes, parfois un peu de chaleur, et l’énergie recommence à circuler. Ce n’est pas de la magie, ni un placebo : c’est la capacité incroyable de notre corps à s’auto-réguler. Une séance n’est jamais la même. À chaque patient, sa « partition ».
Certaines études récentes montrent que, au-delà des impressions subjectives, une cure d’acupuncture peut moduler l’activité du système nerveux végétatif : c’est lui qui pilote à la fois le stress (l’accélérateur) et la digestion (le frein). Vous voyez le rapport ? Stress = digestion bloquée ou accélérée. Détente profonde = relance du péristaltisme, meilleure absorption des aliments… C’est aussi simple que cela, parfois.
Acupuncture et syndrome de l’intestin irritable (SII) constituent d’ailleurs l’un des motifs les plus fréquents de consultation souhaitant éviter les traitements lourds, et pour bon nombre de patients, un soulagement naturel sans effets secondaires.
À Esneux et dans sa région, Katty Lhermitte, acupunctrice reconnue, accompagne chaque semaine de nombreux patients qui découvrent que l’acupuncture, bien conduite, peut faire évoluer des troubles digestifs qui résistaient à tout.
À première vue, difficile d’imaginer qu’une aiguille fine placée sur le genou – ou près du nombril – puisse avoir une incidence sur le transit ou les reflux. Et pourtant. L’acupuncture fonctionne comme un chef de gare : elle relance ou canalise le passage de l’énergie le long des rails des méridiens. Mais que dit la science ?
D’abord, elle observe. Lorsqu’un point d’acupuncture est stimulé, on peut objectiver, IRM ou scanner à l’appui, une activation de certaines zones cérébrales impliquées dans la gestion de la douleur, du stress, mais aussi de la motricité intestinale. C’est notamment le cas pour des points comme Estomac 36, connus pour leur action sur la digestion. Des études récentes démontrent par exemple que, chez des personnes atteintes de constipation chronique, plusieurs séances d’acupuncture augmentent la fréquence des selles et réduisent la gêne ressentie, de façon durable.
Comment est-ce possible ? L’explication tient à la réunion de trois dimensions : neuro-hormonale, immunitaire et énergétique.
Neuro-hormonale : En aiguillonnant certains points, l’acupuncture favorise la libération de neuromédiateurs impliqués dans la relaxation et la motricité digestive (sérotonine, acétylcholine). Oui, la même sérotonine que celle qui agit sur l’humeur... Saviez-vous d’ailleurs que 95 % de la sérotonine de notre corps se trouve dans notre intestin ? Pas étonnant que la stimulation de ces voies nerveuses aide le ventre, et l’esprit par ricochet, à se détendre.
Immunitaire : On oublie souvent que notre flore intestinale, notre microbiote, est influencée par l’inflammation et le stress. Certains points d’acupuncture permettent de réguler l’activité immunitaire intestinale, réduisant là encore l’inconfort, les réactions inadaptées. Notamment chez ceux souffrant de troubles chroniques (SII, colopathie fonctionnelle).
Énergétique : Là, la médecine chinoise prend le relais. Toute disharmonie – émotionnelle, nutritionnelle, hormonale – laisse une « empreinte » le long des méridiens. L’acupuncteur cherche les « noeuds » énergétiques à libérer. La rate et l’estomac forment le « centre » de la digestion. Trop de pensées, de ruminations, d’inquiétudes ? La rate « se noue ». Le foie, quant à lui, est chargé de la fluidité : un foie « frustré », énervé, bloque la descente des aliments. Une image : pensez à une rivière, bloquée par des branchages. L’acupuncteur vient les ôter, pour que l’eau (l’énergie) circule à nouveau.
Tout cela n’est pas qu’abstrait. Dans la réalité des consultations à Liège, chaque séance débute par une analyse fine : antécédents, type de douleurs, contexte émotionnel, mode de vie… Un bilan précis, qui va orienter vers certains points ou protocoles.
C’est pourquoi, dans le SII par exemple, l’efficacité de l’acupuncture n’est pas la même pour un patient anxieux (priorité à la détente du foie), que pour un patient épuisé (stimulation douce de la rate, relance du Qi). À l’opposé, pour les spasmes douloureux, le traitement misera sur des points permettant de calmer l’hyperactivité nerveuse et musculaire.
Un autre mécanisme important : l’acupuncture a la capacité de basculer le corps du mode « alerte » (système nerveux sympathique) au mode « repos et digestion » (parasympathique). C’est ce fameux état de détente profonde, durant lequel la digestion, l’absorption et l’élimination retrouvent tout leur potentiel. Beaucoup de patients relatent ce ressenti après une séance : « mon ventre est à nouveau calme, chaud, détendu ».
Acupuncture et insomnie sont d’ailleurs fréquemment liées : quand le sommeil se régule, le transit suit souvent… et vice versa. Le corps n’est qu’un, et l’acupuncture le sait : traiter la digestion, c’est aussi apaiser l’anxiété, redonner de l’énergie globale, favoriser la détente.
La technique ne se résume pas à déposer des aiguilles. On accompagne, parfois on conseille des changements alimentaires, de la phytothérapie associée, ou on recommande des exercices respiratoires. Mais toujours, l’objectif : réapprendre au corps à réguler sa digestion naturellement, sans l’abimer par des traitements lourds ou inadaptés. Et c’est précisément ce que propose l’acupuncture en pratique : intervenir non seulement sur la douleur, mais aussi sur l’origine profonde du trouble.
La palette est large, et souvent sous-estimée. Vous vous demandez : « Est-ce que mes douleurs font partie des indications de l’acupuncture ? » Voici quelques exemples (liste non limitative) :
Ballonnements, gaz, lourdeur post-repas : Typique d’un déséquilibre rate/estomac. Souvent majorés en cas de surmenage mental, de repas pris à toute vitesse, ou d’alimentation trop froide/crue. Un patient raconte : « Depuis que je mange plus chaud, et que je fais une séance d’acupuncture tous les 15 jours, je n’ai plus besoin de cachets pour digérer. Même au restaurant, je me sens bien. »
SII (syndrome de l’intestin irritable) : Alternance constipations/diarrhées, crampes, douleurs. Les traitements occidentaux se révèlent souvent insuffisants. L’acupuncture cible l’origine du désordre – stress, choc émotionnel, fatigue de fond. Plusieurs protocoles éprouvés existent et sont utilisés avec succès en Belgique. Certaines études avancent jusqu’à 70% d’amélioration durable après 6 à 10 séances.
Constipation chronique : Qu’elle soit ancienne ou apparue récemment, la constipation altère la qualité de vie. L’acupuncture relance le péristaltisme, régule les fonctions d’élimination. Certains points sont même dits « laxatifs », mais agissent sans agresser l’intestin. À noter : l’association avec des conseils alimentaires personnalisés optimise l’effet.
Diarrhée fonctionnelle : Fréquent dans le cadre des colopathies, ou après prise d’antibiotiques. Là encore, l’objectif est d’apaiser l’intestin en calmant l’hyperactivité du système nerveux. Beaucoup témoignent d’une amélioration dès les trois premières séances.
Reflux gastro-œsophagien et brûlures : Les RGO rebelles perturbent le sommeil, pèsent sur le moral. On ne le sait pas, mais en diminuant le stress et en renforçant la sphère « estomac », l’acupuncture peut contenir les remontées acides. Des études menées en Chine, puis validées en Occident, ont montré que certains protocoles concurrencent même les traitements classiques en cas de symptômes modérés.
Nausées, vomissements : Que ce soit lors de grossesses, ou après des traitements médicamenteux, l’acupuncture (notamment via le point « Pericarde 6 ») offre des résultats rapides. D’ailleurs de nombreux hôpitaux intègrent aujourd’hui ce soin dans leurs parcours, car il permet d’éviter pas mal de médicaments et d’effets secondaires.
À Esneux, la prise en charge est toujours personnalisée. Que vous consultiez pour la première fois ou après avoir tout essayé, le temps est pris pour écouter votre parcours, vos besoins.
Une grande part des patients suivis pour fatigue chronique retrouvent aussi un apaisement digestif, preuve de l’interconnexion des systèmes.
Quand envisager ces soins ? Dès que douleurs ou soucis digestifs deviennent gênants, récurrents, ou sources d’angoisse. Mais aussi quand les bilans médicaux sont « normaux », et que, pourtant, la qualité de vie s’en ressent. Il n’existe pas d’âge type : jeunes actifs stressés, séniors, femmes enceintes, sportifs de haut niveau (les troubles digestifs touchent aussi cette population) : tous peuvent bénéficier d’un accompagnement naturel, adapté, sécurisé.
Un conseil : la régularité fait la différence. Une séance unique peut soulager un trouble aigu, mais pour les situations chroniques, rien ne remplace une petite cure (4 à 10 séances en général), espacées sur quelques semaines. Ensuite, certains choisissent de venir « entretenir » leur équilibre une à deux fois par an, aux changements de saison par exemple.
Sachez enfin que l’acupuncture ne s’oppose jamais aux autres traitements : elle accompagne, soulage, répare. Elle ne remplace pas un avis gastroentérologique quand cela s’impose, mais elle apporte un soutien global, là où la médecine classique atteint ses limites. D’ailleurs, les médecins eux-mêmes recommandent de plus en plus d’associer les approches.
Acupuncture et perte de poids sont aussi étroitement liées à la santé digestive; améliorer la digestion peut soutenir le rééquilibrage pondéral et prévenir les fringales.
Et pour les patients des environs, un accès facilité et des prises de rendez-vous adaptables, c’est un soulagement supplémentaire face au poids du quotidien.
Acupuncture à Esneux – Katty Lhermitte – Acupunctrice proche de Liège
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Vous envisagez de franchir le pas, mais le mot « aiguille » vous freine ? À tort. Les séances sont bien différentes de la prise de sang ou du vaccin : on emploie des aiguilles ultras fines, à usage unique, pratiquement indolores. La plupart des patients s’endorment, ou tombent dans un état de détente rare.
Un premier rendez-vous, c’est avant tout une exploration : depuis quand les troubles existent-ils ? Dans quel contexte ont-ils débuté ? Y a-t-il des périodes sans symptômes, des éléments qui les aggravent ou les apaisent ? Avez-vous ressenti un choc émotionnel récent, ou vécu une surcharge physique ou mentale ? On s’intéresse à l’ensemble : habitudes alimentaires, antécédents médicaux, rythme de vie, digestion, transit, sommeil, moral, fatigue….
Ensuite vient le temps de l’examen à la chinoise : prise du pouls radial, examen de la langue (forme, couleur, enduit), palpation discrète de l’abdomen ou de certains points. Contrairement aux idées reçues, rien de mystique : chaque observation guide le choix des points à stimuler.
Concrètement, les aiguilles sont posées quelques millimètres sous la peau, sur 4 à 10 points en moyenne. Certains se trouvent sur le ventre, d’autres sur les membres (bras, jambes), parfois sur le dos. Il n’est ni rare, ni gênant de ressentir une légère lourdeur, une sensation de chaleur : c’est le flux d’énergie qui se remet en mouvement. Chaque séance dure de 30 à 45 minutes. Parfois, une sensation étrange mais agréable jaillit : le ventre se détend, le mental ralentit. La plupart sortent du cabinet « allégés », comme après une sieste profonde.
Les suites les plus fréquentes : diminution progressive des douleurs, du gonflement, retour d’un transit plus régulier; mais aussi meilleure humeur, sommeil plus réparateur, énergie accrue. Naturellement. Comme si le corps reprenait la main, en douceur.
Les plans de traitement tiennent compte de la chronicité des symptômes, de leur intensité et de la cause (trouble ancien, conséquence d’un stress ou d’une maladie…). On recommande en général une approche « par cure », avec une à deux séances par semaine au début, puis des espacements selon l’évolution.
Quelques précautions évidentes : un acupuncteur compétent ne promet jamais de guérison miracle. Il écoute, analyse, propose un parcours réaliste, en accord avec les autres professionnels de santé impliqués si besoin. Certains cas ne relèvent pas de l’acupuncture seule : douleurs violentes, perte de poids inexpliquée, fièvre, sang dans les selles… Il faut alors d’abord un avis médical.
Bien menée, l’acupuncture digestive se révèle sûre, peu invasive : les effets secondaires sont rares (fatigue passagère, sensation de froid…). Son efficacité contre la douleur est désormais validée, y compris chez les enfants (avec des techniques adaptées), les personnes âgées, et les femmes enceintes (le suivi acupuncture pendant la grossesse est très prisé pour apaiser nausées, remontées acides, constipation… en limitant les médicaments).
Certaines séances associent d’ailleurs d’autres pratiques douces : moxibustion (bâtonnets d’armoise pour réchauffer certains points), massages chinois Tui Na, conseils nutritionnels, exercices de Qi Gong. Tout est fait pour remettre l’énergie digestive sur ses rails, durablement.
Une question fréquente : « Dois-je changer complètement mon alimentation ? ». Pas forcément, mais on adapte parfois quelques gestes simples : éviter les aliments ultra-froids, les repas avalés debout, boire trop pendant le repas, manger trop sucré ou transformé. Rien d’interdit à vie, mais du bon sens, inspiré de siècles de tradition.
Une chose à savoir : vous êtes acteur du soin. Plus vous écoutez, ressentez ce que votre estomac ou vos intestins vous murmurent, plus l’acupuncture fait effet. Le mot d’ordre : douceur, temps, patience. Et vous verrez, l’harmonie revient. Plus besoin de vivre avec « le ventre noué », d’accepter qu’il « faut faire avec ». À Esneux, l’approche globale permet de renouer avec la confiance dans ses capacités d’auto-guérison.
Comment savoir si l’acupuncture peut réellement améliorer mes troubles digestifs chroniques ? L’acupuncture est indiquée pour de nombreux troubles digestifs, notamment les ballonnements, la constipation, ou le syndrome de l’intestin irritable. Une première évaluation personnalisée avec un acupuncteur vous permettra de savoir si cette méthode naturelle s’adapte à votre situation spécifique. Les résultats dépendent de la cause et de votre réceptivité au traitement.
Faut-il continuer ses traitements classiques en parallèle d’un suivi acupuncture ? Oui, il est généralement recommandé de poursuivre vos traitements médicaux habituels en parallèle. L’acupuncture vient en complément pour réguler, apaiser ou accompagner l’amélioration sans effets secondaires majeurs, mais n’interrompt jamais un traitement nécessaire sans avis médical.
Quand consulter un acupuncteur pour des problèmes digestifs ? Il est conseillé de consulter dès que les troubles digestifs deviennent gênants, récurrents, ou perturbent la qualité de vie, surtout après avoir fait un bilan médical classique rassurant. L’acupuncture apporte alors un accompagnement naturel qui agit en profondeur sur le terrain digestif.
Pourquoi choisir une acupunctrice expérimentée aux alentours de Liège pour la digestion ? Une acupunctrice formée et expérimentée saura adapter les protocoles à vos besoins, assurer une séance rassurante et efficace, tout en s’inscrivant dans une démarche globale et sécurisée. À Esneux, vous bénéficiez de soins de qualité, d’une écoute attentive et d’un accompagnement progressif pour retrouver un équilibre digestif naturel.
Zhao L, Chen J, et al. Acupuncture for Functional Gastrointestinal Disorders: A Systematic Review and Meta-Analysis. World J Gastroenterol, 2015. – Cette méta-analyse démontre une efficacité significative de l’acupuncture dans la réduction des symptômes du syndrome de l’intestin irritable par rapport au placebo.
Chang XR, et al. Acupuncture Improves Symptoms in Chronic Constipation: Randomized Controlled Trial. Medicine (Baltimore), 2021. – Cette étude randomisée montre un bénéfice durable de l’acupuncture dans la stimulation du transit intestinal chez les patients souffrant de constipation chronique.
Lu B, Hu Y, et al. Acupuncture Regulates Intestinal Microbiota and Immunity: Evidence from Animal Models. Evidence-Based Complementary and Alternative Medicine, 2019. – L’article souligne l’impact positif de l’acupuncture sur l’équilibre du microbiote intestinal et la réduction de l’inflammation digestive.
Park J, White AR, et al. Effectiveness of Acupuncture for Treatment of Gastrointestinal Disorders: A Systematic Review. Digestion, 2007. – Cette revue systématique confirme l’amélioration des symptômes dans des maladies digestives fonctionnelles grâce à l’acupuncture, particulièrement dans le SII et les dyspepsies fonctionnelles.