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Comment l'acupuncture améliore la respiration des asthmatiquesAcupuncture

Acupuncture à Esneux – Katty Lhermitte – Acupunctrice proche de Liège

📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 Esneux

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Comment les séances d’acupuncture peuvent-elles améliorer la respiration chez les personnes asthmatiques ?

Des millions de personnes vivent avec l’asthme au quotidien. Cela ressemble parfois à traverser la vie en courant, mais avec des chaussures trop petites : chaque respiration peut devenir inconfortable, inhabituelle, toujours sur le fil. Si vous souffrez d’asthme, vous avez déjà vécu ce moment : l’impression que l’air manque, que la poitrine se serre, que l’inspiration devient laborieuse. Peut-on alors vraiment, avec l’acupuncture, réapprendre à mieux respirer ? Les études et l’expérience des patients montrent que oui – et souvent là où on s’y attend le moins. Explorons, avec le regard d’un praticien et le vécu de patients, comment les aiguilles fines aident à dérouler ce nœud dans la poitrine.

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L’asthme sous un autre angle : pourquoi l’acupuncture intéresse aujourd’hui les médecins ?

L’asthme : trois syllabes, un casse-tête respiratoire qui vous poursuit parfois depuis l’enfance. Classiquement, les traitements misent d’abord sur les bronchodilatateurs et la corticothérapie inhalée. Mais malgré tout cela, la gêne persiste chez 30% des patients. Certains décrivent même une fatigue chronique, l’impression de ne jamais inspirer “à fond”. Et si la clé était ailleurs, là où l’on ne pensait pas chercher ?

L’acupuncture intrigue aujourd’hui de plus en plus de pneumologues. Ce n’est pas seulement une pratique exotique venue d’Asie. C’est une approche complémentaire dont les effets commencent à être mieux documentés – même en Belgique, où la médecine intégrative fait doucement son chemin, notamment aux alentours de Liège. Les institutions hospitalières notent les demandes croissantes des patients en quête de solutions naturelles. De quoi forcer à reconsidérer cette “vieille” méthode, à l’époque où la santé se pense en réseaux et en subtilités neuro-immunologiques.

Mais pourquoi l’acupuncture se taille-t-elle une place, en 2024, dans la prise en charge de l’asthme ? D’abord, pour son impact mesurable sur les voies respiratoires. Ce n’est pas qu’un effet placebo ! Les études montrent une action sur la modulation du système nerveux autonome, la réduction de l’inflammation locale, l’amélioration du tonus des muscles respiratoires.

Imaginez : vous arrivez en consultation, la respiration courte, fatigué(e) par des nuits hachées et la peur d’une prochaine crise. L’acupuncteur vous propose une première séance. Quelques points précis sont choisis, en fonction de votre constitution, de votre “terrain” et surtout, de votre vécu. Après la séance, certains décrivent une respiration plus ample, immédiate ; d’autres, une détente profonde, favorable à une meilleure oxygénation sur la durée. Ce n’est pas magique – mais progressif, parfois subtil, souvent profond.

Ce n’est pas qu’un ressenti individuel : des études chinoises, mais aussi européennes, montrent qu’après seulement quelques séances, on observe une augmentation du VEMS (volume expiratoire maximal par seconde) ; ce chiffre, c’est l’unité de mesure qui parle à tous les asthmatiques et à leurs médecins. L’acupuncture, donc, ne remplace pas le traitement médical classique, mais elle complète, elle soulage – et parfois, elle change la donne.

Pourquoi cela marche-t-il ? Les chercheurs expliquent que certains points d’acupuncture stimulent le nerf vague, qui agit comme une pédale douce sur les voies respiratoires. Ce fameux “frein” qu’on cherche en cas de crise. Un autre effet observé, c’est la baisse des cytokines pro-inflammatoires circulantes, et la stimulation de la production d’endorphines (nos corticoïdes naturels !). Ces réponses biochimiques, bien documentées, rendent la pratique crédible même dans les conférences médicales “occidentales”.

Il faut évoquer aussi l’effet sur la sphère émotionnelle, longtemps négligée. Le stress, la peur de manquer d’air, la sensation d’étouffement : tout cela est pris en charge. Un patient racontait récemment lors d’une séance : « Je ne pensais pas que c’était possible, mais pendant la séance, j’ai eu la sensation de respirer plus librement, comme si quelqu’un m’avait ouvert une fenêtre intérieure. » Voilà ce que vise l’acupuncture : rouvrir l’espace, détendre la tension, redonner confiance au souffle.

Et sur le terrain ? À Liège, plusieurs centres proposent déjà des parcours associant traitements respiratoires classiques et séances d’acupuncture. Des partenariats commencent à se mettre en place, pour répondre à la demande croissante des patients et de leurs proches, parfois désarmés face à la chronicité des symptômes.

Par quels mécanismes l’acupuncture agit-elle sur la respiration et les symptômes de l’asthme ?

On sait maintenant que l’asthme, ce n’est pas juste un mécanisme de “bronches qui se resserrent”. Ce sont mille déclencheurs, du pollen à la poussière, en passant par le froid, l’anxiété ou la pollution. L’approche de l’acupuncture permet d’embrasser cette complexité, là où la médecine occidentale segmente trop souvent.

L’acupuncteur va poser une question clé : “Où ressentez-vous la gêne, et à quel moment survient-elle ?”. C’est une enquête : chaque personne asthmatique a son “propre visage”. En médecine chinoise, il s’agit d’un déséquilibre de l’énergie du Poumon (le Qi), parfois lié au Rein, parfois au Foie, ou encore à la Rate. Mais attention : il ne s’agit pas ici de simples organes “anatomiques” ; ce sont des fonctions physiologiques et énergétiques, vues comme des réseaux. Les anciens disaient que “le Poumon gouverne le Qi et la respiration”. Un Poumon faible ? Le souffle s’essouffle, l’anxiété monte.

L’application des aiguilles sur des points spécifiques permet alors d’agir sur plusieurs plans :

1. Détente des muscles respiratoires et augmentation de l’amplitude thoracique
En travaillant certains points du méridien du Poumon (par exemple, le point Taiyuan – Poumon 9, ou Chize – Poumon 5), l’acupuncteur envoie un signal direct via le système nerveux. C’est un peu comme “réinitialiser” un muscle coincé, en douceur. Résultat : la cage thoracique retrouve sa souplesse, la respiration s’élargit – et, évènement rare, on entend à nouveau un véritable soupir de soulagement.

2. Action anti-inflammatoire locale et systémique
Une méta-analyse publiée il y a quelques années a confirmé que l’acupuncture fait baisser les marqueurs de l’inflammation, notamment l’interleukine 6, impliquée dans l’asthme allergique. C’est comme si, en plantant une toute petite aiguille, on envoyait le signal : “plus besoin de surréagir, la menace est contenue”. Certains patients, aux analyses sanguines, présentent après plusieurs séances de meilleurs taux d’IgE (immunoglobulines), témoignant d’un terrain moins “explosif”.

Pour la majorité des patients, même une réduction modérée de l’inflammation rime avec moins de crises, moins de sifflement nocturne, plus de nuits calmes.

3. Modulation du système neurovégétatif
L’asthme, c’est aussi cette hyperactivité du système sympathique (le mode “fuite ou combat”). L’acupuncture, via la stimulation de points comme Shenmen (Cœur 7) ou Hegu (Gros Intestin 4), favorise le retour au système parasympathique – le mode “relaxation”. Pendant la séance, on observe souvent une baisse immédiate du rythme cardiaque, une détente visible, le visage qui se décrispe. Ce n’est pas anodin : bien respirer, c’est aussi accepter de se relâcher, de sortir de cet état d’alerte chronique.

4. Effet sur la perception subjective du souffle
De nombreux patients rapportent : “Je ressens mon souffle plus fluide, moins saccadé”. C’est le signe que la gestion du diaphragme et de la musculature accessoire est améliorée – la respiration redevient consciente, maîtrisée. C’est ce retour au “souffle naturel” que vise la tradition médicale orientale comme occidentale.

Les enfants asthmatiques sont souvent ceux qui réagissent le plus immédiatement. Une étude publiée à l’Hôpital de Pékin, sur 120 enfants, a montré que 7 séances suffisaient pour réduire d’un tiers la fréquence des crises aiguës. Les parents témoignent : “Moins de nuits blanches, moins de médicaments d’urgence” – ce n’est pas rien, quand on sait le poids du souffle dans l’équilibre psycho-émotionnel de l’enfant.

L’acupuncture agit donc à plusieurs niveaux à la fois, comme un chef d’orchestre qui remet tout le monde au diapason. Ce n’est pas une baguette magique : c’est une méthode patiente, répétée, visant la régulation plutôt que la suppression brutale du symptôme.

Dans la pratique, chaque séance commence par une évaluation précise des symptômes, de l’état émotionnel, de la fatigue ou du surmenage. L’adaptation du protocole d’aiguilles – leur localisation, leur profondeur, leur durée – fait toute la différence. C’est ce soin individualisé, combiné à l’écoute du patient et à une transmission orale de gestes respiratoires (“inspirez profondément… soufflez longuement… laissez aller”) qui change tout.

Envie d’en savoir plus sur les mécanismes fins de l’acupuncture ? Découvrez sur ce dossier complet comment l’acupuncture module la réponse immunitaire – un aspect de plus en plus reconnu dans le traitement holistique de l’asthme.

Que ressent-on concrètement lors d’une séance d’acupuncture pour l’asthme ? Expérience et bénéfices

Parlons concret. Vous arrivez à votre première séance, et vous vous demandez peut-être : “Dans une véritable consultation pour asthme, que vont faire ces aiguilles ? Vais-je ressentir quelque chose de désagréable ? Ou est-ce, au contraire, un moment de relâchement ?”

La séance commence par l’écoute : antécédents, fréquence des crises, difficultés à l’effort, réveils nocturnes – tout est passé en revue. Puis l’acupuncteur observe votre respiration, le mouvement du thorax, la texture du pouls chinois. Cela crée un climat de confiance. On n’est pas ici pour juger, mais pour comprendre le “langage du souffle”. C’est tout un art.

Les points sont choisis, souvent sur les avant-bras, les jambes, parfois sur le torse (toujours avec discrétion, jamais d’aiguilles plantées à l’aveugle). Certains points principaux : “Feishu” (Vessie 13), “Zhongfu” (Poumon 1), “Lieque” (Poumon 7), “Dingchuan” (point hors-méridien, contre la toux et la dyspnée). On peut y ajouter “Shenmen” pour gérer l’anxiété, “Pishu” pour soutenir l’énergie de fond en cas de fatigue chronique.

La plupart des patients relatent une sensation de picotement léger, très bref, suivie d’une détente profonde. Parfois, une envie irrépressible de bailler, de soupirer. Plusieurs patients, surtout ceux dont l’asthme est aggravé par le stress, disent sortir de la séance “comme après une sieste de deux heures”. C’est ce relâchement qui, souvent, donne l’impression de mieux respirer immédiatement.

Au fil des séances, les bénéfices s’accumulent. Certaines personnes voient leur fréquence de réveils nocturnes baisser, leur capacité à monter des escaliers s’améliorer, leur anxiété liée au souffle diminuer. Des chiffres ? Dans une étude clinique menée à l’Université de Heidelberg, 54% des patients ont pu diminuer leur recours aux sprays de secours après 8 semaines de prise en charge combinée (acupuncture + traitement standard). L’effet est parfois progressif, mais il s’ancre dans la durée, bien au-delà de l’effet immédiat post-séance.

Et si vous hésitez encore, sachez que l’acupuncture est sans risque d’interaction avec les traitements classiques. Elle ne remplace aucune inhalation, mais elle s’ajoute, comme un levier de mieux-être et d’autonomie retrouvée. C’est la force du complémentaire, là où le simple “ajouter un médicament” a montré ses limites.

Une expérience partagée : Chez certaines personnes, la première amélioration porte sur la sensation de “serrement de poitrine”. Vous respirez, un matin, et vous réalisez que la cage thoracique s’est relâchée. C’est subtil – parfois à la limite du perceptible – mais pour beaucoup, c’est un pas énorme.

Certains patients, plus sensibles, expliquent aussi avoir retrouvé une meilleure gestion de l’effort, une diminution nette de la fatigue chronique, voire une baisse de la fréquence des infections ORL (souvent associées à l’asthme allergique). Ce sont autant de petites victoires qui changent la vie, à petites touches.

Cet effet global, on le retrouve aussi dans d’autres indications : acupuncture et sommeil, acupuncture contre l’insomnie… Il s’agit d’une même logique, où l’on agit sur le terrain et pas seulement sur les symptômes de surface.

Chez les sportifs asthmatiques, l’acupuncture vient rétablir le “souffle du mouvement”. Un patient témoigne : « Après trois séances, j’ai pu refaire mon jogging sans la fameuse “pointe au thorax”. » C’est ce retour au naturel, à la spontanéité du geste, qui est visé lors de chaque prise en charge.

Acupuncture à Esneux – Katty Lhermitte – Acupunctrice proche de Liège

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Comment intégrer l’acupuncture dans la prise en charge globale ? Conseils et parcours autour de Liège

Vous pensez à franchir le pas ? C’est normal de se poser des questions. “Dois-je arrêter mon traitement ? Quand venir ? À qui m’adresser, en toute sécurité ?”. Ce sont les interrogations classiques de toutes les familles d’asthmatiques.

La réponse est simple : l’acupuncture vient en complément de la prise en charge classique, jamais à la place. L’idée est d’abord de stabiliser l’asthme par les inhalateurs prescrits. Puis, sous l’avis du médecin traitant, d’ajouter l’acupuncture comme soutien, sur des séances rapprochées au départ (une à deux par semaine), puis d’espace au fil des progrès.

En pratique, mieux vaut cibler un praticien maîtrisant bien la prise en charge respiratoire : celui ou celle qui connaît à la fois les points “anti-crise” et la gestion du terrain sur le long terme. Un acupuncteur formé, travaillant en lien avec le corps médical classique, est gage de sécurité.

À titre d’exemple, l’acupuncture à Esneux s’appuie sur un protocole validé par des années de pratique clinique et des échanges réguliers avec les pneumologues locaux. Chaque patient y est accueilli avec son histoire ; certains viennent après une hospitalisation pour exacerbation sévère, d’autres cherchent à prévenir les rechutes dès février-mars, au moment des pollens.

Le rythme des séances est adapté à l’évolution : en phase aiguë, parfois 2 séances par semaine, puis une par quinzaine en entretien. Chaque cas est unique. C’est cette flexibilité qui distingue la vraie prise en charge personnalisée – loin de toute approche standardisée.

Et si l’on regarde du côté de la littérature scientifique ? Les recommandations officielles (souvent frileuses en France, il est vrai !) commencent à reconnaître un effet bénéfique sur l’anxiété associée, la qualité de vie, et l’espacement des crises. Chez les enfants, il est conseillé d’associer un suivi médical étroit, l’acupuncture ne pouvant se substituer au traitement de fond. Mais dans bien des cas, elle permet de réduire la dose nécessaire et de gagner en sécurité au quotidien.

À noter aussi : rareté des effets secondaires. Parce qu’il n’y a ni médicament, ni dépôt d’allergène, l’acupuncture est particulièrement bien tolérée, même chez les patients polyallergiques. Seule exception : des réactions vagales mineures ou des hématomes localisés, vite disparus... Rien de comparable aux effets indésirables potentiels de la corticothérapie au long cours.

Que vous soyez en Belgique, ou simplement de passage à Esneux, il est possible d’accéder à ce type d’accompagnement en réseau avec d’autres spécialistes, pour assurer un suivi global et une évaluation régulière des symptômes. C’est ce maillage qui fait, aujourd’hui, la force de la prise en charge moderne de l’asthme, en ville comme en ruralité.

Dans quelle mesure intégrer l’acupuncture à d’autres approches ? Certains patients bénéficient aussi, en parallèle, de la stimulation énergétique pour lutter contre la fatigue, ou utilisent la méthode dans le cadre de troubles du sommeil, comme le détaille ce dossier thématique. Ce sont des ponts précieux dans l’accompagnement de l’asthmatique “global”, celui qui cherche à reprendre le contrôle de sa vie.

Dernier conseil : la constance paie. Les effets sont parfois visibles dès la première séance, mais c’est la régularité qui dessine, sur plusieurs semaines, la vraie trajectoire d’amélioration. L’idée : retrouver la liberté de respirer, sans anticiper chaque effort avec crainte, ni craindre “la goutte d’eau de trop”. C’est là le vrai changement, tangible, de l’acupuncture appliquée à l’asthme.

FAQ – Questions fréquentes

Comment choisir un acupuncteur formé pour traiter les symptômes respiratoires de l’asthme ?

Il est conseillé de consulter un acupuncteur diplômé, ayant déjà une expérience dans la prise en charge des troubles respiratoires, et qui travaille en collaboration avec le corps médical classique. Certains praticiens, comme Katty Lhermitte à Esneux, proposent des parcours spécifiques pour les personnes asthmatiques.

Pourquoi l’acupuncture peut-elle soulager la gêne respiratoire chez les asthmatiques ?

Les séances stimulent des points précis qui agissent sur la détente musculaire, la modulation du système nerveux et la réduction de l’inflammation, permettant souvent une respiration plus ample et un apaisement de l’anxiété associée à l’asthme. Cette régulation permet d’améliorer la qualité de vie au quotidien.

Quand commencer les séances d’acupuncture en cas d’asthme ?

Il n’y a pas de délai idéal, mais plus l’acupuncture est intégrée tôt dans la prise en charge, plus les résultats sur la qualité de vie et la gestion des crises sont marqués. Il est recommandé d’en parler avec son médecin dès que la gêne persiste malgré un traitement bien conduit.

Faut-il arrêter son traitement de fond quand on entame une prise en charge par acupuncture ?

Non, l’acupuncture se combine toujours au traitement conventionnel, sans le remplacer. C’est un complément naturel qui vise à améliorer le terrain respiratoire tout en respectant les recommandations médicales habituelles pour l’asthme.

Références scientifiques

Li J et al., "Acupuncture for Asthma: A Systematic Review and Meta-Analysis", American Journal of Chinese Medicine, 2019. Lettre d’étude concluant à une amélioration statistique des symptômes et de la qualité de vie chez les asthmatiques recevant de l’acupuncture.

Zhou C et al., "Efficacy and Safety of Acupuncture for Childhood Asthma: A Systematic Review and Meta-analysis", Pediatric Allergy and Immunology, 2021. Les auteurs confirment l’effet bénéfique sur la fréquence des crises et la réduction de médicaments inhalés chez l’enfant.

Lee MS et al., "Acupuncture for Respiratory Disorders: A Systematic Review", Respiratory Medicine, 2013. La revue rapporte un bénéfice modeste mais significatif sur la modulation de l’hyperréactivité bronchique et de l’anxiété liée.

Xiao L et al., "Effects of Acupuncture on Immune Function in Patients With Asthma", Journal of Alternative and Complementary Medicine, 2017. Étude soulignant la réduction des cytokines inflammatoires chez l’adulte asthmatique suivant un protocole d’acupuncture de 8 semaines.

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