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Comment dépasser la peur de l'abandon avec un psy intégratifPsy Diane

Vous avez ce pincement au cœur, ce sentiment d'être de trop, ou peur d'être un jour abandonné sans préavis ? Vous n’êtes pas seul(e). Beaucoup de personnes, à Liège comme ailleurs, portent ce fardeau invisible. Alors, comment dépasser cette crainte, qui colle à la peau comme un manteau trop lourd ? Nous allons explorer le sujet de la peur de l’abandon, et voir comment un psychologue intégratif peut vraiment vous aider à tourner la page. Prenez un moment, inspirez. On vous explique tout, simplement.

Psychologue – Mme Diane Perrot

📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 Esneux

📞 Téléphone RDV : 0456 66 34 69

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Ce genre de peur peut naître tôt. Certains l'ont ressentie enfant – un parent trop absent, une séparation, ou même une maladie grave dans la famille. Le cerveau, ce malin, enregistre cela comme une menace pour la survie. D’autres fois, c’est une rupture à l’adolescence ou à l’âge adulte qui met le feu aux poudres. Des chiffres ? Selon plusieurs études, près d’1 adulte sur 4 dit redouter "très souvent" d’être abandonné par un proche. À la moindre alerte, la machine à angoisse s’emballe.

Imaginez une alarme d’incendie hypersensible : d’abord, elle a sauvé la maison en détectant un vrai feu. Mais depuis, elle sonne au moindre nuage de vapeur. Avec la peur de l’abandon, c’est un peu pareil. À force d’épisodes compliqués, le cerveau se méfie – parfois à tort.

Avez-vous déjà noté que cette peur se glisse partout ? Travaux de groupe au travail ("et si je suis mis à l’écart?"), relations amoureuses (jalousie excessive, besoin d’être rassuré tout le temps), amitiés (peur d’être "le boulet"). Rien d’anodin. Et pourtant, on imagine souvent qu’il n’y a que soi pour penser ainsi.

Quel est le prix à payer ? Fatigue, anxiété, imagination en roue libre, et épuisement émotionnel. Mais pire encore, cette peur peut devenir un obstacle majeur à l’épanouissement. Difficile de faire confiance, d’oser, de s’attacher, de construire, si on vit dans l’ombre de la peur du rejet.

En Belgique, de nombreux adultes et adolescents ressentent cette anxiété d'être laissés de côté, ce qui influence souvent leurs choix et leurs réactions. L’impact est bien réel : éviter un conflit, entrer dans une relation toxique plutôt que de risquer d’être seul, ou même accepter des situations injustes au travail… La peur de l'abandon s’insinue partout, mine de rien.

Mais ce n’est pas une fatalité. Petit à petit, jour après jour, il est possible de mettre ce vieux réflexe au repos. Comment ? C’est là que le travail d’un psychologue intégratif entre en scène.

Psychologue intégratif à Liège : une approche sur-mesure pour fractures invisibles

Quoi de plus difficile, parfois, que d’admettre que l’on a besoin d’aide ? "Est-ce que ma souffrance est assez valable pour consulter ?" "Ne suis-je pas trop fragile ?" Questions classiques. Pourtant, demander un coup de main, c'est commencer déjà à s'en sortir.

Mais pourquoi le choix d’un psychologue intégratif à Liège ? Parce que la peur de l’abandon, c’est un puzzle fait de pièces différentes : blessures anciennes, souvenirs, schémas familiaux, réactions actuelles… L’approche intégrative ne regarde pas seulement une pièce, elle cherche à comprendre l’ensemble du tableau.

Concrètement, un psychologue intégratif s’inspire de plusieurs courants (cognitivo-comportemental, systémique, humaniste, émotionnel…). C’est un peu comme un chef d’orchestre qui choisit l’instrument qui convient à la mélodie de votre problème. Que vous soyez un adulte en plein changement de vie, en deuil, en crise de couple, ou anxieux(se) pour l’avenir, l’intégratif s’adapte à la personne. Pas de recettes toutes faites. Pas de jugement. On avance à votre rythme.

À Esneux, Mme Diane Perrot, psychologue agréée par la Commission des Psychologues, reçoit des adultes, des adolescents, souvent en pleine transition (nouveau travail, divorce, deuil, maladie d’un proche…). Sa spécialité : comprendre la mosaïque de nos émotions et aider chacun à remettre les morceaux en place. Parler, oui, mais aussi écouter le corps, explorer les croyances, travailler sur les liens avec les proches. L’alliance thérapeutique est la clé.

Pourquoi parler avec un psychologue et pas seulement avec ses amis, sa famille ? Parce qu’un professionnel offre un espace neutre, où l’on n’est pas jugé, où il n’y a aucun risque de retomber dans les mêmes vieux débats ou de faire du tort à quelqu’un sans le vouloir. Et puis, il ou elle dispose d’outils, de techniques validées, et sait accompagner sans bousculer. Un exemple simple : la peur de l’abandon, çà peut mener à s’accrocher, à se dévaloriser, ou à tester l’autre sans s’en rendre compte. Le thérapeute saura repérer ces jeux et inviter à les mettre à distance, doucement.

Chez Mme Diane Perrot, la posture est bienveillante et concrète. On ne reste pas bloqué sur les problèmes, on avance avec des exercices, parfois des jeux de rôle, ou même des métaphores pour dédramatiser : “Imaginez que la peur de l’abandon, c’est une de ces alertes sur votre smartphone. Elle peut être utile (alerte d’une vraie rupture), mais trop fréquente (plusieurs notifications par heure), elle devient envahissante. Et si on la remettait en mode silencieux ?”.

Il n’y a pas de honte à vouloir se comprendre. Au contraire. Prendre rendez-vous, c’est ouvrir la porte d’un cabinet chaleureux, loin des jugements. C’est accepter de regarder en soi, mais sans se noyer dans le passé. Le travail avec un psychologue intégratif ressemble plus à une randonnée : parfois, on gravit des pentes raides, mais la vue d’en haut en vaut la peine.

Psychologue – Mme Diane Perrot

📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 Esneux

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💻 RDV en Ligne : l’estime de soi. La peur de l’abandon, souvent, pousse à se rabaisser (“C’est sûrement moi qui ai fait quelque chose de mal”). Renforcer la confiance en soi, c’est comme mettre du béton sous les fondations : indispensable, et ça change vraiment la vie. Ça passe par de petites victoires, des compliments acceptés sans détour, des objectifs atteints un par un.

Le psychologue intégratif peut aussi proposer des exercices, comme écrire une lettre à son “moi” enfant, ou lister tout ce que l’on apprécie chez soi. Cela peut paraître simple – voire enfantin – mais c’est redoutablement efficace. Pas à pas, on apprend à se voir au-delà de ses failles.

Et pour ceux qui vivent aux alentours de Liège, l’accès à ce type de suivi est facilité par un réseau de professionnels bien implantés, à la croisée des disciplines médicales et psychologiques.

2. Se reconnecter à ses émotions et apprendre à les exprimer

On l’a tous fait, non ? Faire comme si de rien n’était, serrer les dents, ou au contraire, exploser sans comprendre pourquoi. La psychologie intégrative invite à renouer avec ses ressentis, sans se juger. On ne guérit pas ce qu’on ignore. Mettre des mots sur l’émotion – tristesse, colère, peur – c’est comme allumer la lumière dans une pièce sombre. Ça fait moins peur, et on voit enfin où l’on va.

Parfois, il s’agit d’exprimer ce qui n’a jamais été dit : “Ça m’a blessé quand tu m’as laissé sans nouvelles”, par exemple. Cela s’apprend. Oser dire, sans accuser ni quémander, c’est retrouver une forme de pouvoir sur sa vie. Le psychologue, en séance, peut organiser des jeux de rôle, tester de nouveaux comportements, encourager à sortir de ses automatismes.

Les outils sont variés : la relaxation pour apaiser les tempêtes intérieures, l’écriture, l’imagerie mentale… On pioche ce qui nous aide, on laisse ce qui ne convient pas. On n’est pas obligé de tout faire parfaitement. Le but ? Se donner le droit d’exister avec ses fragilités.

Une anecdote : Isabelle, 37 ans, raconte avoir longtemps eu honte de demander à son conjoint de la rassurer. Grâce à quelques séances, elle a osé lui parler de ses besoins, sans dramatiser ni réclamer en boucle. Résultat ? Moins de conflits, plus de sérénité. Petit pas, grand effet.

3. Sortir des “jeux relationnels” et s’ouvrir à des liens authentiques

Quand la peur de l’abandon prend le dessus, on finit souvent par tomber dans des pièges répétitifs. Par exemple : tester sans cesse l'amour ou la loyauté de son entourage (“Est-ce qu’il partira si je fais ça ?”). Ou, au contraire, éviter tout lien profond, par peur que cela se termine mal (“Mieux vaut rester en surface, je serai moins déçu”). C’est usant. Pour soi, et pour les autres.

Le psychologue intégratif va aider à repérer ces scénarios, comme on détecte les ronces sur un sentier. Puis à les nommer, les comprendre. On retrouve alors la liberté de choisir – entrer en relation pour ce que l’on est, pas pour être rassuré à tout prix.

Le travail ensemble permet aussi de revisiter les attentes : “Qu’est-ce que j’attends d’une relation ?”. “Quels sont mes besoins réels ?”. Parfois, on découvre que l’on réclame à l’autre ce que l’on ne s’accorde pas à soi-même (protection, reconnaissance, réassurance…). Ce détour, certes déstabilisant, offre au fil du temps une paix durable.

Et à Liège, la diversité culturelle enrichit cette question : l’attachement, la famille, les rôles hommes-femmes, tout cela joue un rôle. Chacun doit trouver sa propre forme d’équilibre, parfois loin des modèles transmis, mais toujours respecté par le thérapeute.

4. Prendre conscience de ce qui déclenche la peur : les “signaux d’alerte”

Petit exercice typique : “Notez, chaque fois que la peur semble surgir, ce qui s’est passé avant”. Un appel manqué ? Un mot de travers ? Une situation qui rappelle une vieille blessure ? Cette observation, en apparence banale, permet de désamorcer bien des crises avant qu’elles n’enflent.

Prenons l’exemple de Marc, père séparé, qui craint toujours que ses enfants « l’oublient » chez leur mère. Avec sa psychologue, il apprend à distinguer les faits (un message reçu en retard) de l’interprétation (“ils ne m’aiment plus”). Petit à petit, il rééquilibre ses réactions. Il retrouve du souffle.

C'est toute la beauté de l'approche intégrative : elle propose d’observer, d’essayer, sans jamais forcer. Loin de la pression ou du jugement!

Guérir une peur, retrouver son élan : comment se déroule l’accompagnement ?

Vous hésitez à franchir le pas ? C’est normal. L’image du psychologue, parfois, fait peur. On imagine un divan, des questions sans fin, des silences pesants. Mais la réalité, surtout avec une approche humaine et intégrative, c’est tout autre chose.

Un rendez-vous chez Mme Diane Perrot, c’est avant tout un accueil vrai : pas de blouse blanche, mais une écoute attentive. La première séance, souvent, consiste à poser le contexte, à parler de ce qui vous amène. On ne va pas “fouiller” par plaisir, mais parce que comprendre l’histoire permet de bâtir la suite.

Ensuite ? On définit les objectifs au fur et à mesure. Vous rêvez d’apaiser vos peurs dans le couple ? De ne plus être hanté par la solitude ? De retrouver une relation apaisée avec vos enfants ? Tout cela est légitime. Le plan d’action se décide ensemble, à votre rythme.

La régularité, elle, varie beaucoup. Certaines personnes tirent profit d’une seule séance par mois, d’autres préfèrent un suivi hebdomadaire au début. L’important, c’est d’avancer, même lentement. Comme une blessure physique, il est illusoire de croire à la guérison en une fois. Le mental, lui aussi, a son temps de cicatrisation.

Au fil des rencontres, on apprend à anticiper les crises, à demander de l’aide, à accueillir ses peurs. On ne change pas de personnalité, on s’offre juste de nouveaux outils auxquels se raccrocher en cas de tempête. Et souvent, après quelques semaines ou mois, on observe : moins de réactions excessives, plus de confiance, un cercle relationnel assaini.

Envie d’en savoir plus sur la psychologie au féminin et les clés d’un accompagnement spécifique ? D’autres articles sont à votre disposition pour aller plus loin sur le site.

L'accompagnement ne s'arrête pas à la porte du cabinet. Beaucoup de patients repartent avec des petits exercices à tester entre chaque séance. Parfois un journal de bord, parfois une phrase “mantra” : “Je mérite d’être aimé sans condition” ou “Mon passé n’écrit pas mon avenir”.

Rappelez-vous, traverser la peur de l’abandon, ce n’est pas “devenir fort” au sens classique du terme, c’est apprendre à se faire confiance, à accueillir ses émotions, à oser demander de l’aide. Et en Belgique, il existe des réseaux, des groupes de parole, des ateliers complémentaires pour renforcer ce travail personnel.
Pour les femmes qui vivent un sentiment d’épuisement émotionnel à force de porter la charge de toute la famille, les conseils d’une psychologue spécialisée peuvent aussi remettre en perspective la façon dont s’articule l’attachement et la crainte du rejet.

Enfin, n’oubliez pas : même si le chemin peut sembler long, chaque étape validée, aussi modeste soit-elle, signifie une victoire sur ce vieux réflexe de survie qui n’a plus toujours lieu d’être.

FAQ – Questions fréquentes

Comment savoir si ma peur de l’abandon doit me pousser à consulter ?
Si votre peur de l’abandon nuit à votre bien-être quotidien, à votre couple, ou à votre estime de vous, il est temps d’en parler à un professionnel. Ce sentiment n’est jamais “trop banal” – un psychologue intégratif pourra évaluer et vous proposer une aide adaptée.

Pourquoi choisir une approche intégrative pour traiter la peur de l’abandon à Liège ?
L’approche intégrative permet de personnaliser les outils en fonction de votre vécu, combinant plusieurs techniques reconnues. À Liège, cette méthode enveloppe l’émotion, l’histoire, le corps et l’esprit, pour un travail global sur vos angoisses.

Quand voit-on vraiment les progrès une fois le suivi débuté ?
Les premiers effets se manifestent souvent après quelques séances, avec une meilleure compréhension de ses émotions et une diminution de l’anxiété. Un suivi de plusieurs semaines, parfois mois, consolide ces avancées et permet d’ancrer de nouveaux réflexes plus sains.

Faut-il absolument avoir vécu une rupture ou un deuil pour ressentir la peur de l’abandon ?
Non, ce sentiment peut surgir sans événement “grave”, il arrive même parfois très jeune ou dans des familles sans grands conflits. L’important est de reconnaître sa souffrance et d’oser demander de l’aide si le poids devient trop lourd à porter seul.

Références scientifiques

1. Mikulincer, M., & Shaver, P. R. "Attachment in adulthood: Structure, dynamics, and change." Guilford Press, 2007.
Résumé : Ouvrage de référence sur la théorie de l’attachement, ses répercussions sur la gestion de l’abandon et l’adaptation adulte.

2. Liotti, G. "Attachment and dissociation" in "Attachment & Human Development", 8(2), 207-219, 2006.
Résumé : Étudie le lien entre troubles de l’attachement et difficulté à gérer la peur de l’abandon à l’âge adulte.

3. Holmes, J. "John Bowlby and Attachment Theory", Routledge, 2014.
Résumé : Présente les fondements de la théorie de l’attachement, offrant un éclairage essentiel pour travailler sur la peur de l’abandon.

4. Levine, P.A., & Heller, L. "Attached: The New Science of Adult Attachment and How It Can Help You Find—and Keep—Love", TarcherPerigee, 2010.
Résumé : Vulgarise l’impact de l’attachement sur les relations adultes et propose des pistes concrètes pour dépasser la peur de l’abandon.

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