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Vous avez déjà eu l’impression de porter le poids du monde sur vos épaules ? Cette boule au ventre dès le réveil, ces centaines de petits soucis qui courent dans votre tête du matin au soir ? Ce n’est pas "juste l’habitude", ni du "stress ordinaire". On appelle ça la charge mentale. Elle s’immisce partout, et plus encore dans la vie des managers, des dirigeants, des cadres, des entrepreneurs. En Belgique, la charge mentale explose : elle s’invite en réunion, dans nos boîtes mail, jusque dans notre sommeil. Lisons ensemble comment y voir plus clair et, surtout, découvrir comment un psychologue spécialisé peut aider à la faire baisser—pour de bon.
Un entrepreneur me disait un jour : "Ma tête, c’est comme un moteur qui tourne sans arrêt. Impossible de couper, même quand je ferme la porte du bureau."
Ça vous parle ? Pas étonnant. La charge mentale au travail, c’est cette quantité invraisemblable de pensées, de micro-tâches à gérer, de décisions à prendre. Un planning à finaliser, un client qui relance, un salarié qui doute. Et derrière tout ça, votre vie personnelle continue. On se retrouve à jongler avec mille balles, sans jamais baisser les bras… jusqu’à ce qu’une se casse la figure.
Le cerveau travaille en coulisses, tout le temps. Les psychologues spécialisés en psychologie du travail le confirment : ce n’est pas une question de "force" ou de "volonté". Même les profils les plus motivés finissent par s’épuiser devant cette avalanche de tâches mentales.
Quelques chiffres parlent d’eux-mêmes. Selon une enquête nationale par l'INRS, 83% des cadres déclarent penser à leur travail... même en dehors du bureau. 64% déclarent ne jamais réussir à se "couper" vraiment lors de leurs congés. Le risque ? Glisser vers le burn-out ou vers l’anxiété chronique. À force d’accumuler pensées et responsabilités, c’est toute la machine qui s'essouffle.
Qu’est-ce qui favorise cette charge mentale ? Plusieurs sources :
Cela ne veut pas dire que tout manager va craquer. Mais le rythme est rude. Parfois, on sent grandir une tension. Le cerveau n’arrête plus de tourner, même la nuit. Certains développent des stratagèmes pour se souvenir de tout — listes, post-it, alertes — mais on finit par avoir la tête pleine à craquer.
Et puis, avec le contexte économique actuel, de nouvelles pressions s’ajoutent : incertitudes, nécessité de se réinventer, crises à gérer… Tout porte à amplifier la fameuse charge mentale !
La surcharge mentale, c’est un peu comme une application qui tourne en fond sur votre téléphone. Elle consomme votre énergie, souvent sans que vous vous en rendiez compte. Mais, à force, la batterie s’épuise. Ce n’est pas qu’une image.
À Liège et ailleurs, psychologues du travail observent chaque semaine des professionnels épuisés, à bout de souffle. Les signaux d’alerte ne trompent pas :
Mais aussi... des douleurs physiques. Le dos, le ventre, la tête. Car le corps finit toujours par parler quand la tête ne peut plus tout porter. Vous vous levez fatigué, même après huit heures de sommeil ? Vous avez le sentiment de ne plus "avancer" malgré toutes vos to-do lists ? C'est le signe que votre cerveau, comme une batterie, arrive au bout.
Dans la sphère professionnelle, la surcharge mentale grignote la performance. Quand vous jonglez sans cesse, la concentration chute. L’angoisse vient insidieusement ralentir la prise de décision. Paradoxal, non ? On travaille plus… mais on est moins efficace.
Et à la maison, l’équilibre fragile saute rapidement. Vous rentrez épuisé, la tête ailleurs. Les proches s’en rendent compte, parfois avant vous. Petit à petit, la culpabilité ajoute une couche : "Je devrais être plus présent. Je ne fais pas assez." Cercle vicieux, jusqu’à parfois envahir votre estime personnelle.
Pour ceux qui, comme vous, jonglent en permanence entre exigences, deadlines, visions stratégiques et imprévus, c’est la double peine : tout paraît urgent. Les imprévus prennent le dessus sur l’essentiel. Certains adoptent alors la stratégie du "fire fighter" permanent (on éteint les incendies et on fait l’essentiel à la dernière minute) — sauf que le cerveau n’a, lui, pas de bouton pause.
À force, la charge mentale excessive peut alimenter anxiété, insomnie, voire dépression ou burn-out. Un cycle dangereux qui, sans accompagnement, ne fait que se répéter.
Concrètement, agir pour alléger la charge mentale, c’est éviter d'arriver à la panne sèche. C’est essentiel pour préserver votre engagement, votre leadership, et surtout... votre santé !
Découvrez un article complet sur le burn-out professionnel sur le site Esneux Médical.
Peut-être vous dites-vous : "Quand même, un psychologue du travail, c’est pour les cas graves !" C’est un vieux cliché. De plus en plus de dirigeants et managers franchissent la porte d'un psychologue… non pas parce qu’ils "craquent", mais parce qu’ils veulent anticiper.
Pour beaucoup, la première étape, c’est de poser des mots. Oui, mettre des mots sur ce qui coince vraiment. Un psychologue spécialisé sait questionner le quotidien :
Ce dialogue ne se limite pas aux symptômes. Avec un psychologue du travail spécialisé pour cadres, dirigeants, managers, il s’agit d’explorer ensemble les origines de la surcharge :
Le rôle du psychologue ? Offrir un espace neutre, confidentiel. Un lieu où vous pouvez tout dire sans crainte d’être jugé. Cela paraît simple, mais c'est souvent l’étape déclencheur. Puis viennent ensuite, selon chaque personnalité, des stratégies personnalisées de gestion de la charge mentale.
Voici comment une consultation spécialisée peut vous aider :
1. Prendre du recul sur la machine mentaleEn consultation, le psychologue aide à décortiquer votre "check-list" mentale. Ensemble, on démêle : qu’est-ce qui vous appartient vraiment ? Qu’est-ce que vous pouvez déléguer ? Parfois, c’est un détail qui change tout : apprendre à dire non, à planifier autrement, à se détacher du superflu.
2. Développer des outils ancrés dans la réalité professionnellePas de recette miracle, mais des outils concrets. Par exemple, la technique du "cerveau externalisé" : déposer chaque soir ses pensées, ses tâches, sur papier. Ou encore, revisiter les routines au bureau pour y glisser quelques minutes "sans sollicitation".
3. Travailler sur le mode de penséeLe psychologue aide à repérer les croyances limitantes : "Je dois tout contrôler", "je n'ai pas le droit à l'erreur". Il propose alors des exercices (issus des TCC, ACT, pleine conscience…) pour faire le tri et alléger ce qui pèse inutilement.
4. Rétablir l’équilibre vie pro / vie persoC’est souvent plus subtil qu’un simple "temps de coupure". Le travail porte aussi sur la place du travail dans votre identité. Entreprendre ou manager, c’est parfois s’oublier au nom de la réussite. La consultation permet de revisiter ce rapport au travail, sans injonction ni culpabilité.
5. Rompre l’isolement du décideurUn manager, un dirigeant, porte parfois un silence : il/elle ne peut pas tout partager dans l’équipe. Face au psychologue, ce silence tombe. C'est un souffle qui empêche justement la surcharge de prendre toute la place.
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Aux alentours de Liège, Mme Delphine Gilman accompagne de nombreux dirigeants, responsables et entrepreneurs dans la réduction de leur charge mentale. Son approche est directement reliée à la réalité du terrain. On ne parle pas de déposer la chemise et s’allonger sur un canapé pour se "vider la tête". On parle d’outils adaptés à VOTRE quotidien.
En résumé :
Des exemples ? Vraiment ? En voici :
Un dirigeant, habitué à gérer toutes les urgences, a appris en consultation à identifier en amont sa zone de "surstimulus". Résultat ? Moins de dispersion, une meilleure sérénité et, surtout, moins de migraines. Un autre, entrepreneur à Liège, a travaillé l’art de la délégation, véritable révolution dans son entreprise. En gagnant en confiance, il a retrouvé sa créativité. Oui, la créativité revient quand la charge mentale redescend.
Le plus marquant, c’est souvent ce regain d’énergie le matin. Le plaisir, perdu depuis longtemps, qu’on retrouve à travailler. Parce que la charge mentale, telle une pluie fine mais constante, finit par délaver toutes nos envies. En la réduisant, on voit ressortir les couleurs.
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Tout ne se joue pas en cabinet. Le plus important, c’est ce que l’on fait dans "l’intervalle". La consultation n’est pas une baguette magique, mais un tremplin. Une fois les mécanismes compris, il s’agit de les appliquer au quotidien.
1. Nommer ce qui pèseCela paraît trivial mais c’est la base. Posez-vous la question : "Qu’est-ce qui me prend le plus de temps en dehors du temps visible ? Quels soucis me réveillent la nuit ?" Perso, pro, mélange des deux. Rien qu’en les énumérant, on remet souvent de l’ordre. Faites-en une liste chaque semaine.
2. Prioriser et faire des choixListez chaque tâche. En face, demandez-vous si elle est essentielle ou si elle peut être faite plus tard, différemment, ou pas du tout. La méthode Eisenhower parle de "distinction entre important et urgent". À utiliser sans modération !
3. Externaliser la mémoireL’esprit est fait pour penser, pas pour stocker en permanence. Investissez dans des outils de gestion simples : agendas partagés, tableaux de bord visuels, listes de tâches digitalisées. La clé ? Tout regrouper, pas s’éparpiller avec mille post-it !
4. S’accorder des pauses mentalesPas seulement à midi, ni que pendant les vacances. Quelques minutes de respiration, une marche, une micro-méditation. Cela réinitialise le cerveau. Oui, en dix minutes, la charge mentale descend d’un cran. Et c’est prouvé scientifiquement !
5. Revoir l’équilibre collaboratifLa charge mentale explose souvent parce qu’on veut tout garder sous contrôle. La délégation intelligente, ce n’est pas lâcher-prise sur le fond, mais planifier qui fait quoi. Imposez-vous au moins une tâche par semaine à transmettre.
6. Oser demander de l’aideEt pourquoi pas un échange régulier avec un coach ou un pair ? On a trop souvent peur de paraître "fragile". Or, parler, c’est anticiper le naufrage.
7. Prendre soin du corps pour soulager la têteL’activité physique, le sommeil, la nutrition : tout joue. Un professionnel fatigué, carencé, ou trop sédentaire arrive moins à "vider la tête". Le cerveau carbure mieux dans un corps reposé !
En Belgique, de nombreux dirigeants ont vu leur charge mentale baisser grâce à ces leviers simples… avec un accompagnement professionnel pour accélérer le processus. Parce que seul, on retombe vite dans ses travers.
Petit aparté : si ces conseils font écho chez vous, consultez rapidement. Mieux vaut prévenir que réparer. Le psychologue spécialisé vous aide à faire votre propre diagnostic, à trouver des rituels adaptés à votre contexte. Chez Esneux Médical, chaque accompagnement est unique. Mme Gilman reçoit également en ligne, pour ceux dont l’emploi du temps est serré.
Les progrès ? Parfois étonnants. Un cadre supérieur, assisté en cabinet, a pu passer de 100 mails quotidiens à… 30, sans sacrifier la performance. Juste en revoyant la priorisation et la délégation. Comme quoi, alléger la tête, c'est aussi retrouver sa productivité… et son sourire.
💡 Bon à savoir : la charge mentale ne disparaît jamais totalement. Mais elle peut redevenir un moteur, plutôt qu’un frein. Tout est dans l’équilibre.
Comment savoir si ma charge mentale au travail est trop élevée ?
Des signes comme la fatigue persistante, la perte de concentration, l’irritabilité ou l’impression de ne plus "avancer" malgré vos efforts, sont des alertes classiques. C’est souvent le moment idéal pour consulter un psychologue spécialisé. N’attendez pas l’épuisement total pour agir.
Pourquoi consulter un psychologue du travail spécialisé dans la charge mentale ?
Le psychologue du travail apporte un éclairage extérieur, confidentiel et bienveillant. Il vous aide à comprendre ce qui pèse vraiment, à prioriser et déléguer, tout en vous offrant des outils pour alléger la charge mentale durablement dans votre environnement professionnel.
Quand demander de l’aide pour réduire la surcharge mentale ?
Mieux vaut consulter dès l’apparition de symptômes comme la fatigue chronique, les troubles du sommeil ou l’irritabilité. Agir tôt permet d’anticiper l’épuisement et de retrouver rapidement un fonctionnement serein au travail.
Faut-il forcément un problème grave pour prendre rendez-vous avec un psychologue spécialisé en charge mentale pro ?
Pas du tout ! L’accompagnement psychologique concerne aussi la prévention. De nombreux dirigeants consultent pour rester efficaces, éviter de saturer et garder le plaisir au travail. Un psychologue spécialisé travaille sur mesure, même avant que "ça dérape".
1. Leroy, N., & Laurent, A., « La Charge Mentale au Travail », Psychologie du Travail et des Organisations, 2016.
Résumé : L’article met en lumière le poids des exigences mentales chez les cadres, ses conséquences et les facteurs de prévention.
2. Lejeune, C., « Expliquer le burn-out : entre charge cognitive et épuisement émotionnel », Cahiers de psychologie clinique, 2019.
Résumé: Analyse des aspects spécifiques de la surcharge mentale dans le burn-out des managers et entrepreneurs.
3. Jacquet, L. & Vanhée, D., « Les stratégies de coping face à la charge mentale chez les dirigeants », Revue francophone de santé et société, 2018.
Résumé : Revue des stratégies individuelles et collectives favorisant la régulation de la charge mentale à haut niveau de responsabilité.
4. Mary, Q., « L’efficacité des interventions psychologiques dans la réduction de la charge mentale », Journal de Thérapie Comportementale et Cognitive, 2022.
Résumé: Passe en revue l’impact positif de l’accompagnement psychologique spécialisé pour la régulation et la prévention de la surcharge cognitive au travail.