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Bilan en acupuncture et PMA à Liège : Un soutien inattendu pour votre projet de fertilitéAcupuncture

Acupuncture à Esneux – Katty Lhermitte – Acupunctrice proche de Liège

📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 Esneux

📞 Téléphone RDV : 0471 49 75 81

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Comment un bilan en acupuncture peut-il soutenir un parcours de PMA ?

Parfois, la vie vous laisse songeur. Surtout lorsque le désir d’enfant se heurte à des obstacles inattendus. Le parcours de Procréation Médicalement Assistée (PMA) ébranle le corps, le couple... et l’âme aussi. De nombreux couples, notamment aux alentours de Liège, s’engagent avec espoir et appréhension sur ce chemin semé de rendez-vous médicaux, d’examens, d’attente, et d’incertitudes. Mais avez-vous déjà songé au tandem inattendu entre médecine de pointe occidentale et acupuncture traditionnelle ? On peut être sceptique… jusqu’à ce qu’on parcourt les témoignages de femmes pour qui le déclic, à tort ou à raison, aurait pu se jouer du côté des aiguilles. Aujourd’hui, explorons ce que recouvre vraiment un bilan en acupuncture dans l’accompagnement d’un projet PMA, comment il se déroule, ce qu’il apporte concrètement lors de ce marathon médical, et sa place dans le parcours global de fertilité.

Quel est le principe d’un bilan en acupuncture dans le contexte de la fertilité ?

Premier pas : comprendre ce qui différencie un simple rendez-vous d’acupuncture d’un bilan spécifique en fertilité. Beaucoup s’imaginent une séance relaxante, où seules quelques aiguilles sont posées pour “libérer l’énergie”. Mais le bilan va bien plus loin. C’est une cartographie personnalisée, un diagnostic fin centré sur "votre" histoire, vos cycles, vos blocages (physiques, émotionnels), vos questions parfois tues aux blouses blanches de la PMA.

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Cela commence par une “anamnèse” très fine. L’acupunctrice écoute toute la complexité du vécu, décortique les cycles (irrégularités, douleurs, SPM : on retrouve d’ailleurs ce sujet traité ici : Acupuncture à Esneux – Soulagez les douleurs menstruelles et le SPM), les paramètres hormonaux, les antécédents, la gestion du stress, la fatigue, la digestion, et même la qualité du sommeil (qui impacte la fertilité, si, si). Le bilan ne se résume pas à "vous voulez un bébé". Il scanne ce qui, dans la globalité du corps et des émotions, peut bloquer ce désir. Ce n’est pas une baguette magique, mais un diagnostic qui clarifie là où le bât blesse ou le flux stagne, selon les préceptes de la Médecine Traditionnelle Chinoise.

Ce qui étonne souvent, c’est la précision du questionnaire : date d’apparition des premières règles, antécédents familiaux, nature et quantité des pertes, appétit, frilosité, état de la langue, des pouls — rien n’est laissé au hasard. Même la couleur du teint, la qualité des ongles, ou l’état émotionnel. L’objectif ? Mettre à nue les déséquilibres en jeu. Selon la tradition, la fertilité dépend de l’harmonie entre les Reins (qui gouvernent la reproduction), le Foie (maître des cycles) et la Rate (centre de l’énergie nourricière). Un peu comme si chaque organe était un musicien d’un orchestre intime — dès qu’un instrument se désaccorde, la symphonie pour concevoir s’en trouve altérée.

Plus que de simples données, ce bilan tisse une histoire unique ; il dévoile les nœuds énergétiques mais aussi les peurs, les colères, les épuisements anciens qui ressurgissent souvent lors de la PMA. Ce moment de vulnérabilité extrême favorise une parole vraie, guidée par le respect du rythme et la bienveillance, loin du stress hospitalier. C’est aussi parfois l’occasion de poser des mots sur les souffrances accumulées à force d’essais infructueux ou d’échecs répétés. À Liège, beaucoup de patientes témoignent d’avoir trouvé lors de ce bilan un espace pour déposer ce qu’elles n’osaient dire nulle part ailleurs.

Pour l’acupunctrice, cette étape prépare à l’élaboration d’un protocole sur-mesure, parfois avec un accompagnement pour l’homme (car, oui, le bilan peut aussi intégrer le conjoint, surtout lorsque le facteur masculin est en jeu). On sort du schéma unique pour aller vers l’artisanat thérapeutique pur. En Belgique, la demande de prise en charge globale dans la fertilité, mêlant médical et accompagnement personnalisé, est en hausse régulière. L’acupuncture s’y inscrit comme un pivot reconnu pour cette phase de bilan pré-PMA.

En quoi ce bilan oriente-t-il la stratégie d’accompagnement de la PMA ?

Parlons concret. Une fois le diagnostic posé, que se passe-t-il ? Le bilan en acupuncture n’est pas qu’un simple état des lieux : il décide de la feuille de route. Faut-il agir sur la vitalité globale ? Rééquilibrer le Yin et le Yang (l’énergie féminine et masculine) ? Soutenir la gestion du stress ? Adapter le suivi en fonction des étapes précises du protocole de PMA (stimulation, ponction, transfert d’embryons, etc.) ? Chaque point est ajusté. Et la beauté de l'approche, c’est que l’acupuncteur ajuste au fil de l’eau. Car la PMA, c’est une traversée en eaux parfois mouvementées : selon les résultats, le cycle, le ressenti, le protocole peut évoluer séance après séance.

Par exemple, durant la stimulation ovarienne, l’objectif est de booster la vitalité des ovaires, favoriser la maturation folliculaire, améliorer la vascularisation utérine et rééquilibrer cet axe Foie–Rate–Reins si cher à la médecine chinoise. Lors de la ponction, la visée change : il s'agit de prévenir douleurs et réactions indésirables, limiter l’inflammation ou le stress aigu. Au moment du transfert embryonnaire, on vise à "apaiser le Qi" (énergie), à favoriser l’ancrage et la détente (là, tout l’art de la respiration et du recentrage émotionnel prend sens). Après le transfert, il sera question de soutenir la nidation, d’éviter le "vide" énergétique et le découragement, tout en tenant compte de la réalité psychologique qui ébranle beaucoup de couples à cette étape (le fameux syndrome post-transfert, si anxiogène, où chaque symptôme fait palpiter le cœur, entre espoir et crainte d’un nouvel échec).

Cette dimension adapte aussi la fréquence : certaines femmes viennent une fois par semaine, d’autres plus, en fonction du timing médical. Les études le confirment : la régularité des séances, surtout dans les moments clés (avant et après ponction, proche du transfert) maximise les effets (source : National Institutes of Health et meta-analyses publiées depuis 2018).

Mais pourquoi l’acupuncture est-elle pertinente ici ? Elle agit sur plusieurs leviers validés par la science : soutien de la microcirculation, régulation hormonale, réduction de l’anxiété, amélioration du sommeil, modulation de la douleur (voir cet article sur le sommeil et l’acupuncture). Les points choisis lors de chaque séance dépendent donc des résultats du bilan initial et de l’évolution du protocole en cours. Ce n’est plus une prise en charge standard, mais une navigation au plus proche des besoins cycliques et émotionnels du couple engagé dans la PMA.

Petit détour du côté masculin : de plus en plus d’hommes sollicitent aujourd’hui un bilan énergétique pour optimiser la spermatogenèse, la vitalité générale, la gestion du stress du couple. L’approche intègre alors des points spécifiques, adaptés selon les dysfonctions (motilité, vitalité, stress oxydatif, etc.), confirmant l’intérêt d’un accompagnement acupuncture homme/femme dans ces contextes.

Au-delà de la technique des aiguilles, le bilan pose aussi un cadre de réflexion globale. Pourquoi ? Parce que l’épuisement psychologique de la PMA, très courant à Liège et ailleurs, brouille parfois la motivation, aggrave l’inconfort corporel et multiplie la charge mentale. L’acupuncture, dès ce bilan premier, s’impose comme une ressource de prise de recul et de recentrage (voir aussi ce dossier sur la charge mentale : Déboulonnez la spirale de la charge mentale : Réinventer l’équilibre féminin).

Il n’est pas rare que, dès le premier rendez-vous, certains couples prennent conscience d’axes à réajuster en parallèle du protocole médical : alimentation, sommeil, activités physiques, gestion des émotions… Une mosaïque de facteurs trop souvent relégués au second plan, mais qui, tissés ensemble, favorisent un terrain propice à la grossesse.

Quels résultats attendre d’un accompagnement en acupuncture pendant la PMA ?

Peut-être êtes-vous du genre pragmatique. “Au fond, l’acupuncture, est-ce que ça marche vraiment dans la PMA ?” Bonne question. Ni baguette magique, ni placebo, l’acupuncture possède aujourd’hui un socle de preuves scientifiques encourageant, même si le domaine reste débattu. Les grandes études s’accordent sur plusieurs points forts :

- Augmentation du taux de grossesse clinique, surtout quand les séances sont centrées autour du transfert embryonnaire
- Amélioration de la vascularisation de l’utérus, facteur clef pour la nidation
- Meilleure gestion des effets secondaires des traitements hormonaux
- Diminution du stress ressenti, réduction de l’anxiété et des troubles du sommeil (sujet développé ici : Acupuncture à Esneux – pour une meilleure qualité de sommeil)
- Soutien du moral, réduction de la sensation de perte de contrôle
- Récupération post-protocole améliorée chez de nombreuses femmes

Du point de vue technique, les séances consistent en la pose d’aiguilles stériles sur des points spécifiques, qui selon les recherches, aident à rééquilibrer le système nerveux autonome, libérer endorphines et neurotransmetteurs, et optimiser la circulation sanguine (notamment au niveau pelvien). Un chiffre habituellement cité : plusieurs revues scientifiques rapportent une amélioration du taux de grossesse de 10 à 15% dans certains contextes PMA pour les patientes accompagnées en acupuncture régulièrement. L’écart peut sembler modeste, mais il est non négligeable dans un domaine où chaque pourcent compte.

Anecdote clinique : de nombreuses acupunctrices rapportent que, sur plusieurs cycles, même en cas d’échec, les femmes ressortent souvent “plus solides”, “moins usées”, “plus ancrées”. Et ça, ce n’est pas toujours mesurable autrement qu’en écoutant ce qu’elles expriment lors des séances : plus d’énergie, moins de fatigue chronique, gestion des émotions améliorée. Ce n’est pas tout : certains couples, jusque-là “en suspens” dans leur parcours PMA, reprennent, à travers la régulation énergétique, une dynamique positive qui se ressent sur leur vie quotidienne.

Du côté des hommes, si les résultats sont moins spectaculaires (les études restent limitées), nombre de bénéficiaires constatent une amélioration de la vitalité générale et une meilleure gestion du stress, deux piliers essentiels de la fertilité masculine contemporaine. N’oublions pas : la fertilité se construit à deux, et la PMA implique l’ensemble du couple dans ses résultats.

Sans nier les limites (toute infertilité n’est pas “soluble” dans l’acupuncture, et parfois la technique médicale pure reste ce qui compte le plus), le bilan d’accompagnement reste un outil pour redonner du sens et du souffle au parcours. Beaucoup de patientes à Liège témoignent du bénéfice d’un suivi où elles se sentent considérées dans leur globalité et pas seulement comme une “patiente PMA de plus” au sein de la chaîne hospitalière.

La sécurité des séances étant largement établie (à condition de s’adresser à un praticien formé, voir ici), le risque d’effets secondaires est faible (quelques ecchymoses, une légère fatigue après séance) et aucun impact négatif sur les chances médicales n’a été reporté dans les publications internationales. Si l’approche reste méconnue, elle ne demande qu’à être mieux intégrée aux parcours standards, là où les patientes en Belgique expriment une demande croissante d’alternatives complémentaires à haute valeur humaine et thérapeutique.

Et au-delà du protocole, certaines femmes expliquent avoir renoué à travers l’acupuncture avec une certaine confiance en leur corps, en leur intuition, ce qui n’a pas de prix, notamment lorsqu’on traverse la tempête PMA. D’autres ressentent un effet de “reconnexion” avec leur cycle, qui était devenu purement médicalisé à force d’injections et de compte-rendus biologiques. On ne promet pas la lune, mais on offre souvent un horizon un peu apaisé.

Comment se déroule concrètement une séance d’acupuncture au sein d’un parcours PMA ?

On imagine parfois une séance d’acupuncture comme un décor d’Asie, encens flottant, lumière tamisée… La réalité à Esneux, dans le cabinet de Katty Lhermitte, est à la fois technique et chaleureuse, loin des idées reçues. Après le bilan (indispensable avant toute prise en charge), la séance s’adapte à l’étape du parcours PMA : stimulation, post-ponction, attente après transfert… à chaque moment, des aiguilles différentes, des points adaptés.

Dès l’accueil, la praticienne prend le temps : fatigue ce jour-là, douleurs, angoisses du matin, tout est pris en compte. Posez vos questions, même les plus banales. Vous sortez d’une ponction et avez mal ? Vous dormez mal depuis le traitement ? Vous ressentez une sensation de ventre “bloqué” ? Exprimez-le. C’est le moment de verbaliser ce que vous ne parvenez pas toujours à dire lors de l’échographie hebdomadaire à l’hôpital.

Chaque séance dure entre 45 et 60 minutes. Le temps d’installation (sur une table confortable, couverture à disposition, lumière douce), le choix des points (certains spécifiques à la fertilité, d’autres pour apaiser le système nerveux ou soutenir l’ancrage), la pose des aiguilles (pratiquement indolore), puis un temps de repos pour laisser l’énergie circuler. Parfois, quelques conseils de respiration ou de relaxation.

Des retours fréquents : on ressort “plus légère”, “plus alignée”, ou “simplement sereine”. Ce moment sans injonction, sans impératif de réussite immédiate, permet au corps de s’approprier les changements, souvent imperceptibles mais progressifs. La régularité, encore une fois, fait la différence. Certaines patientes viennent toutes les semaines pendant le protocole, d’autres seulement autour du transfert. Selon votre situation, la praticienne adaptera la fréquence, pour être au plus juste de vos besoins (eh oui, à la carte, pas à la chaîne).

Au fil des séances, le protocole évolue. Par exemple, en période de stimulation, l'accent est mis sur la vitalité ovarienne. Après la ponction, l'enjeu sera d'apaiser la sphère digestive, de limiter les douleurs et l'inflammation. Après le transfert, cap sur le lâcher-prise, l’ancrage, la gestion du stress. Cette flexibilité est l’un des grands atouts de la discipline, qui s’adapte mieux que n’importe quel “automédication bien-être” du commerce.

Autre aspect rarement évoqué : l’acupunctrice prend aussi le temps d'évoquer les habitudes de vie. Sommeil, alimentation, activités douces (marche, yoga), relaxation. C’est toute cette “méthode globale” qui distingue l’accompagnement, bien loin des solutions toutes prêtes. Pour celles qui en ressentent le besoin, un accompagnement sur le sommeil peut aussi être proposé, car il est démontré que la qualité du sommeil est un pilier de la fertilité : voir à ce sujet cet article.

Au total, le cabinet devient un sas, une escale où déposer sa fatigue, reprendre son souffle… et parfois, renouer avec l’espoir. Pour beaucoup, la suite se dessine avec un peu moins de solitude, beaucoup plus d’écoute, ce qui manque tant dans le parcours PMA classique. D’ailleurs, certains protocoles intègrent même un petit temps d’échange pour le conjoint, preuve que la prise en charge doit être pensée en couple, et non en “gestion isolée” du problème.

L’accompagnement en acupuncture se présente donc comme un fil rouge tout au long du parcours de PMA : il s’ajuste, se module, évolue en fonction de vos ressentis, de vos doutes, de vos avancées. Pour autant, chaque séance reste un moment ancré dans le réel, mêlant conseils, énergie, et douceur. Un atout-clé à intégrer dans votre boîte à outils, à toutes les étapes : du bilan initial jusqu’après la naissance, s’il en est.

Pour aller plus loin sur les champs d’action complémentaires de l’acupuncture (douleurs, arthrite, syndromes particuliers), voir cet article référence.

FAQ – Questions fréquentes

Comment une consultation d’acupuncture est-elle intégrée à un parcours PMA à Liège ?

L’acupuncture s’intègre en complément, généralement dès les phases préparatoires jusqu’au suivi post-transfert. Le premier bilan analyse toutes les dimensions du parcours afin d’adapter chaque séance à votre situation et au calendrier de la PMA.

Pourquoi réaliser un bilan énergétique spécifique avant d’entamer des séances d’acupuncture pour la fertilité ?

Ce bilan identifie l’ensemble des déséquilibres individuels pouvant influer sur la fertilité, qu’ils soient hormonaux, émotionnels ou liés au mode de vie. Il permet d’élaborer un protocole sur-mesure, ciblant les axes essentiels à renforcer pour optimiser les chances de succès.

Quand commencer l’acupuncture dans un projet de PMA aux alentours de Liège ?

Idéalement, le suivi débute dès la phase préparatoire ou lors des premiers cycles, mais il reste utile à chaque étape du parcours. Certains patientes débutent quelques semaines avant la stimulation, d’autres en cours de protocole, selon les besoins identifiés lors du bilan.

Faut-il poursuivre les séances d’acupuncture même après le transfert embryonnaire ?

Un suivi post-transfert est recommandé pour soutenir la nidation, limiter le stress et accompagner les premiers signes de grossesse. La régularité des séances peut jouer un rôle dans l’ancrage et l’adaptation psychique pendant les jours d’attente cruciaux.

Références scientifiques

Smith CA, de Lacey S, Chapman M, et al. "Effect of acupuncture on in vitro fertilization outcomes: a systematic review and meta-analysis." Human Reproduction Update, 2019. Résumé : Cette méta-analyse montre un effet positif modéré de l’acupuncture sur les taux de grossesse lors du parcours FIV.

Manheimer E, Zhang G, Udoff L, et al. "Effects of acupuncture on rates of pregnancy and live birth among women undergoing in vitro fertilization: systematic review and meta-analysis." BMJ, 2008. Résumé : La revue conclut à une augmentation modérée du taux de grossesse, en particulier quand l'acupuncture entoure les étapes clés du protocole.

Paulus WE, Zhang M, Strehler E, et al. "Influence of acupuncture on the pregnancy rate in patients who undergo assisted reproduction therapy." Fertility and Sterility, 2002. Résumé : Première étude à rapporter une hausse significative du taux de grossesse avec acupuncture autour du transfert embryonnaire.

Anderson BJ, Haimovici F, Ginsburg ES, et al. "In vitro fertilization and acupuncture: clinical efficacy and mechanism." Trends in Endocrinology & Metabolism, 2007. Résumé : L’article détaille les mécanismes physiologiques soutenant le recours à l’acupuncture en complément de la fertilité assistée.

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