Hypnothérapeute STOP Tabac – Mme Marcelle Monseur
📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 Esneux
📞 Téléphone RDV : 0496 55 00 35
Vous allumez une cigarette machinalement, sans même réfléchir. Peut-être sur le pas de la porte, les yeux encore dans le vide du matin. Arrêter de fumer ? La question, vous vous la posez dix fois par semaine. Mais la volonté flanche (combien de fois le fameux "j’arrête lundi" ?). Et si l’auto-hypnose vous ouvrait une autre porte ? Pas une baguette magique, non. Mais une piste plus douce, à la croisée du rationnel et de l’inattendu.
Cet article plonge dans un seul sujet : l’auto-hypnose pour arrêter de fumer. Pas l’hypnose en cabinet (ça, c'est différent). Pas l’auto-hypnose pour le sommeil ou le stress. Uniquement : les mécanismes concrets, son efficacité, ses limites parfois méconnues. Avec les doutes, les réussites. Et ce qu’il faut savoir avant de se lancer seul dans ce drôle d’aventure.
En Belgique, nombreux sont ceux qui tentent tous les ans. Souvent aux alentours de Liège, les questions affluent au cabinet de Mme Marcelle Monseur, hypnothérapeute certifiée NGH. Sa spécialité ? L’accompagnement thérapeutique grâce à une pratique moderne, rigoureuse, toujours en lien avec le suivi médical.
Alors, prêt à explorer ce que l’auto-hypnose a, concrètement, dans le ventre ?
L’auto-hypnose, c’est cette technique où l’on plonge soi-même dans un état de conscience modifié. Ni sommeil, ni veille : une sorte d’entre-deux, un peu comme lorsque vous conduisez sans penser à la route (« tiens, déjà arrivé ? »). Mais ici, on apprend à diriger cet état pour orienter son esprit, changer des habitudes profondes — comme fumer.
Techniquement, on parle d’accès au subconscient. Ce fameux « pilote automatique » qui gère nos compulsions : allumer une cigarette en buvant un café, associer le stress au tabac, ou tirer une taffe devant les copains. Sous hypnose, le cerveau devient plus réceptif. Les résolutions deviennent, pour un temps, plus « fluides ». On s’adresse directement à la partie de soi qui perpétue l’automatisme.
Pourquoi est-ce si compliqué de décrocher du tabac ? En grande partie parce que l’acte de fumer est ancré dans le cerveau comme une solution (fausse) face à l’anxiété, à l’ennui, au vide. L'auto-hypnose cherche à rompre ce cercle vicieux.
Petit exemple : un patient, 46 ans, 22 ans de tabagisme, raconte. Il a tenté une séance d’auto-hypnose guidée, chez lui, soir après soir. "J’ai fini par associer le mot ‘liberté’ au fait de poser ma cigarette. Petit à petit, tenir bon est devenu plus facile. Mais certains jours… impossible." Même ressenti chez une jeune femme venue consulter l’hypnose à Liège.
Comment l’auto-hypnose agit-elle ? Le schéma est toujours le même :
L’auto-hypnose, ce n’est pas un tour de magie. C’est un entraînement du mental. Cela fonctionne parfois comme le sport : répétition, persévérance, hauts et bas.
La promesse est tentante : "Avec de l’auto-hypnose, je peux arrêter de fumer sans nicotine, sans substituts, sans suivi médical compliqué !" Oui, certains y parviennent. Mais pas tous. Pourquoi cette technique attire-t-elle tant ? Parce qu’elle donne le sentiment de reprendre le pouvoir. Mais la réalité est plus nuancée.
D’abord, les études scientifiques sont claires. L’auto-hypnose peut renforcer la motivation à l’arrêt. Elle agit sur le stress, sur la peur de la rechute. Mais les taux de réussite restent variables, oscillant entre 10 et 25% d’arrêts durables sans aide extérieure. Les raisons ? Plus on débute tôt, plus c’est efficace. Les profils anxieux ou très dépendants ont plus de mal sans accompagnement professionnel.
Techniquement, il y a des avantages à l’auto-hypnose :
Mais il y a aussi des limites très claires :
Là où l’hypnothérapie prend toute son ampleur, c’est dans l’entretien thérapeutique : comprendre les mécanismes inconscients, déboîter les croyances négatives ("je ne peux pas vivre sans fumer"), adapter la technique à chaque profil. C’est tout l’intérêt du travail de Mme Marcelle Monseur, hypnothérapeute certifiée NGH, qui reste à la pointe des approches complémentaires aux médecins classiques.
Certains patients, après plusieurs tentatives d’auto-hypnose, consultent finalement pour être guidés. "Le plus difficile ? Gérer l’échec seul. J’avais besoin d’une main tendue, d’y voir plus clair sur ce qui clochait chez moi," confie un patient de 39 ans. Cette alliance thérapeutique, fondée sur l’écoute et le non-jugement, fait souvent toute la différence, surtout lorsqu’on est entouré d’autres fumeurs aux alentours de Liège.
Hypnothérapeute STOP Tabac – Mme Marcelle Monseur
📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 Esneux
📞 Téléphone RDV : 0496 55 00 35
Vous vous demandez : "Comment je m’y prends, concrètement ?" La méthode la plus simple, c’est celle des trois temps :
Certains optent pour des enregistrements audio guidés, d’autres visualisent "leur vie sans tabac" avec force détails sensoriels. L’important, c’est la régularité. Mieux vaut 5 minutes tous les matins que des séances longues et espacées.
Mais tout le monde ne réagit pas ! Si vous avez du mal à vous concentrer, ou que la simple idée de vous suggérer « vous êtes non-fumeur » vous fait sourire jaune, ce n’est pas grave. Cela ne veut pas dire que vous manquez de volonté, ou que « ça ne marche que sur les autres ». Certains profils (beaucoup d’extravertis, ou de personnes très rationnelles) auront plus de difficultés à induire un état hypnotique profond sans aide. Autre point : l’auto-hypnose n’est pas adaptée si vous présentez certains troubles psychiques (addictions multiples, épisodes de dépression sévère, etc.). Dans ce cas, l’accompagnement professionnel est impératif.
Bref, à chacun sa méthode. Si vous ressentez le besoin d’un soutien concret, n’hésitez pas à consulter : par exemple, un rendez-vous peut être pris pour l’arrêt du tabac à Liège avec l’hypnose, ou comprendre les secrets du cerveau du fumeur avec des spécialistes formés.
Vous l’avez compris : l’auto-hypnose est un outil parmi d’autres. Ce n’est ni une recette miracle, ni une illusion complète. Beaucoup viennent la tester en complément d’autres approches médicales (patchs, accompagnement psychologique, soutien entres pairs...), parfois en relais d’une vraie hypnothérapie en cabinet. C’est là que la complémentarité prend son sens.
Vous voulez arrêter de fumer « pour de bon ? » L’auto-hypnose a sa place : boussole mentale, elle aide à traverser les tempêtes (envies, stress, doutes). Mais, attention : elle ne remplace pas toujours l’accompagnement humain. Très concrètement, que disent les patients ? Beaucoup utilisent l’auto-hypnose lors de situations à risque : soirées entre amis, angoisses, trajets en voiture. "Je sens monter la pulsion, je m’isole, deux minutes de respiration et de suggestions, et ça passe… ou pas." Il arrive que la stratégie suffise à court terme, mais la rechute reste fréquente si rien n’est transformé en profondeur.
Le « terrain » regorge d’exemples. En cabinet, j’entends parfois ces confidences : "Seul, j’avance, puis je stagne. La voix de la tentation redevient plus forte que la mienne." Ou encore : "C’est lorsque j’ai combiné l’auto-hypnose avec le soutien professionnel que j’ai finalement basculé vers une vraie liberté." D’autres témoignent que c’est le déclic d’une séance, d’une phrase inspirée, d’une astuce personnalisée – par exemple en s’appuyant sur l’état de conscience modifiée proposé par une hypnothérapeute expérimentée comme Mme Marcelle Monseur, reconnue à Liège et en Belgique pour la modernité de son approche.
Concrètement : n’attendez pas de l’auto-hypnose qu’elle résolve tout, surtout si le tabac tourne autour d’habitudes sociales ("pause-café" au bureau, sorties du samedi…). Là, la force du groupe, de la thérapie comportementale, ou d’une séance d’hypnose professionnelle devient vite essentielle pour stabiliser le résultat. Dans la lutte contre la dépendance, il n’existe hélas aucune "solution unique immédiate". On avance par étapes, parfois à petits pas, parfois avec des rechutes.
Voici quelques conseils pratico-pratiques, glanés auprès des patients eux-mêmes, pour tirer profit de l’auto-hypnose :
Enfin, n’oubliez pas cette métaphore : vouloir arrêter seul, c’est comme réparer sa voiture sans jamais avoir soulevé le capot. Parfois, un regard extérieur fait toute la différence…
Si vous êtes tenté d’essayer, ne tardez pas à explorer l’univers concret de l’hypnose pour arrêter de fumer, ou à découvrir d’autres articles sur le sevrage tabagique et l’hypnose à Liège.
Pourquoi choisir un accompagnement professionnel (et en quoi cela diffère-t-il vraiment) ? La raison est simple : seul, on est souvent pris dans le piège de ses propres schémas mentaux. Une hypnothérapeute certifiée NGH, comme Mme Marcelle Monseur, utilise des protocoles validés, adaptés à votre propre histoire tabagique (première cigarette, moments de dérapage, facteurs de stress).
En séances, le travail va plus loin. Il s’agit d’identifier les "déclencheurs profonds" : manque, anxiété, peur de grossir, pressions sociales… On personnalise la suggestion. Le professionnel intervient aussi sur les blocages récurrents : la peur de manquer, les automatismes inlassablement répétés (parfois, depuis l’adolescence). C’est ici que la prise en charge thérapeutique globale fait la différence, en complément de l’avis médical.
Pas d’illusion : aucune méthode n’assure 100% de réussite. Mais les travaux récents montrent qu’une stratégie combinée (auto-hypnose plus suivi professionnel, éventuellement avec d’autres techniques médicales) multiplie par 2 à 3 les chances de réussite à un an, par rapport à l’auto-hypnose seule. C’est un peu comme apprendre le vélo : on avance seul, puis on va plus vite avec un coach.
La science ne cesse de progresser : EEG et IRM ont montré (ce n’est pas une image, mais une réalité) qu’en état d’hypnose, certaines zones du cerveau liées au plaisir et à la compulsion sont désactivées. Idem pour les circuits du stress. L’auto-hypnose, bien menée, active quelques-uns de ces leviers – mais un professionnel guide plus loin, sortant des impasses où l’on se trompe soi-même.
En résumé, l’auto-hypnose a des limites, et ce n’est pas un aveu d’échec que de consulter. S’entourer d’un professionnel NGH, comme Mme Marcelle Monseur, c’est miser sur la complémentarité. À Esneux ou à Liège, elle accompagne de nombreux patients chaque année, avec sérieux et bienveillance. Peut-être est-ce le petit coup de pouce qui transformera votre démarche, surtout si vous sentez que, seul, vous tournez en rond…
Comment pratiquer l’auto-hypnose pour arrêter de fumer ?
L’auto-hypnose se pratique dans un endroit calme, en se concentrant sur sa respiration puis en s’envoyant des messages positifs pour remplacer l’envie de fumer. L’essentiel, c’est de rester régulier, même sur de courtes séances, et d’adapter les suggestions à ses propres motivations.
Pourquoi l’auto-hypnose ne suffit-elle pas toujours pour arrêter la cigarette ?
L’auto-hypnose peut aider à gérer le stress et renforcer la volonté, mais elle atteint ses limites si les habitudes ou les dépendances psychologiques sont trop ancrées. Un accompagnement professionnel permet d’identifier et d’agir sur les blocages inconscients spécifiques, avec des outils adaptés.
Quand faut-il penser à consulter un hypnothérapeute plutôt que de rester seul avec l’auto-hypnose ?
Il est conseillé de consulter si l’échec se répète, si le mal-être s’installe, ou si l’on ressent des doutes majeurs sur sa capacité à tenir dans la durée. Un professionnel certifié, comme Mme Marcelle Monseur, pourra proposer des stratégies personnalisées adaptées à chaque histoire.
Faut-il associer l’auto-hypnose à d’autres méthodes pour être efficace ?
L’efficacité de l’auto-hypnose est nettement augmentée quand elle est combinée à d’autres techniques : soutien psychologique, groupes d’entraide, substituts nicotiniques ou même thérapies médicales. Il n’existe pas de solution unique, mais une complémentarité qui multiplie vos chances de réussite.
1. Carmody T.P., Duncan C.L., "Hypnosis for Smoking Cessation: A Randomized Trial", Nicotine & Tobacco Research, 2008. Résumé : Cette étude a montré que l’hypnose augmente la motivation à l’arrêt mais les taux d’abstinence restent comparables à d’autres méthodes d’aide.
2. Green J.P., Lynn S.J., Montgomery G.H., "Hypnosis as an adjunct to cognitive–behavioral psychotherapy: A meta-analysis", International Journal of Clinical and Experimental Hypnosis, 2011. Résumé : La combinaison de l’hypnose avec un accompagnement thérapeutique offre de meilleurs résultats versus l’auto-hypnose seule.
3. Barrios M., "Hypnotherapy: A Reappraisal", Psychotherapy: Theory, Research, and Practice, 1970. Résumé : L’hypnothérapie professionnelle augmente significativement les chances de succès dans le sevrage tabagique par rapport à l’auto-hypnose.
4. Elkins G.R., Marcus J., Rajab M.H., "Clinical Hypnosis for Smoking Cessation: Preliminary Results of a Three-Session Intervention", International Journal of Clinical and Experimental Hypnosis, 2014. Résumé : Trois séances d’hypnose structurée doublent les chances d’arrêt du tabac par rapport à l’auto-hypnose non supervisée.