Hypnothérapeute STOP Tabac – Mme Marcelle Monseur
📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 Esneux
📞 Téléphone RDV : 0496 55 00 35
La plupart des fumeurs développent leur consommation de tabac sur un mode répétitif, automatique, souvent bien plus enraciné dans l’habitude que dans le besoin réel de nicotine. Si la dépendance physique est indéniable, l’aspect comportemental de la cigarette — ce fameux « réflexe » — s’avère être un des plus grands obstacles à l’arrêt durable. À Liège, comme partout en Belgique, cette question fait partie des motifs fréquents de consultation en hypnose. À travers cet article, nous décryptons comment cette habitude s’installe, et surtout comment la déconstruire efficacement grâce à l’apport d’une hypnose clinique moderne et professionnelle, complémentaire à la prise en charge médicale conventionnelle.
Les premiers temps, la cigarette semble répondre à un « besoin », parfois pour gérer le stress, trouver un rituel social ou tout simplement par mimétisme. Rapidement pourtant, un automatisme s’installe. Il ne s’agit plus seulement d’une envie chimique ou d’une recherche de plaisir, mais d’un engrenage psychologique lié à des moments, des lieux, des émotions précises. Allumer sa cigarette après le repas, en sortant du travail ou lors d’une pause café devient un réflexe conditionné du cerveau. C’est là qu’intervient le concept-clé de l’habitude, analysée par les neurosciences comme le résultat d’un apprentissage répétitif et inconscient.
Là où la dépendance au tabac s’inscrit dans le cerveau émotionnel et la chimie du plaisir, l’habitude, elle, relève du cerveau reptilien et du cortex préfrontal, zones responsables de l’automatisation des tâches. De nombreuses études scientifiques (Heatherton, TF, et al., 2011; Redish, AD, et al., 2008) montrent la part prépondérante du réflexe—souvent plus difficile à défaire que l’addiction physique elle-même. Voilà pourquoi, même après avoir « tenu » quelques jours sans fumer, la moindre situation déclenchante (café, stress, vue d’un briquet) fait replonger dans le geste de fumer.
Le sevrage tabagique est souvent vécu comme une lutte contre cette dimension « machinale ». Certains se sentent prisonniers d’un enchaînement de gestes, d’un besoin impulsif, de ces fameuses « envies subites » qui sont en réalité des réponses automatiques à des stimuli. On parle alors de craving comportemental. Les rituels du fumeur s’inscrivent dans des contextes spécifiques (pause, stress, convivialité), ce qui renforce la mémoire associative et la pérennité de cette mauvaise habitude.
Hypnothérapie à la périphérie liégeoise s’adresse justement à cette dimension subconsciente, là où se logent les automatismes tenaces.
L’imagerie cérébrale a révolutionné notre compréhension du « cerveau du fumeur ». Au-delà du circuit de la dopamine impliqué dans l’addiction pharmacologique, les neurosciences ont mis en évidence l’implication du striatum (centre de l’habitude) dans la récurrence du geste tabagique. Selon Redish, AD, et al. (2008), la création d’un automatisme implique un renforcement neural via la répétition, créant ainsi des « autoroutes neuronales ». Plus l’action est répétée dans un contexte identique, plus elle devient difficile à désancrer sans intervention profonde.
Dans la région liégeoise, nombreux sont les fumeurs qui identifient très clairement certains moments de la journée où la cigarette devient « incontournable ». Chez beaucoup, en consultation, l’association fumer-après-repas, ou fumer-en-voiture, apparaît comme un schéma stable. Il s’agit de la fameuse routine tabagique, guidée presque à l’insu du fumeur par son inconscient.
Ce phénomène est accentué par ce qu’on appelle le « cue-induced craving » (envie suscitée par le contexte), étudié par Heatherton, TF, et al. (2011), qui démontre que la simple exposition à des indices liés à la cigarette – odeur, vue, ambiance – réactive la chaîne automatisée du geste.
Il est courant de constater que le manque physique passe souvent avant l’habitude. De nombreux patients, proche de Liège, relatent que la sensation de « manque » s’atténue après quelques jours, mais que le geste demeure intempestivement. Ce détachement progressif du besoin corporel fait apparaître au grand jour la force du réflexe, et constitue souvent la barrière principale au succès du sevrage à long terme.
C’est là toute la spécificité de la prise en charge thérapeutique par l’hypnose à Liège : agir directement sur le circuit des habitudes, via l’accès aux structures profondes de la mémoire conditionnée.
Hypnothérapeute STOP Tabac – Mme Marcelle Monseur
📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 Esneux
📞 Téléphone RDV : 0496 55 00 35
Si la volonté seule suffisait, bien des fumeurs auraient arrêté du premier coup ! Mais s’attaquer au réflexe de fumer nécessite une approche multisensorielle, centrée sur le fonctionnement subconscient, là où naissent la plupart des déclencheurs. C’est précisément ce que propose l’hypnose clinique moderne, telle que pratiquée par une hypnothérapeute certifiée NGH et expérimentée comme Mme Marcelle Monseur.
Son approche se distingue par plusieurs axes :
L’hypnose permet d’accéder à l’inconscient où résident les automatismes, pour proposer une « reprogrammation » des associations gestuelles. Le praticien accompagne ainsi le patient à « désapprendre » le réflexe de fumer, y compris face aux situations déclenchantes (stress, café, convivialité).
Les résultats scientifiques sont clairs : l’hypnose, utilisée de façon professionnelle et centrée sur la réduction des automatismes, apparaît comme un levier puissant dans l’arrêt du tabac. Un article de Barnes, J, et al., publié sur PubMed, met en avant la réduction significative de l’intensité des envies automatiques chez les patients accompagnés par hypnose, comparativement à ceux utilisant uniquement des patchs nicotiniques. Les sujets rapportent une diminution de la fréquence des « moments réflexes » où le geste de fumer s’imposait à eux sans réflexion.
Un autre travail de Spiegel, D, et al., dans le Journal of the National Cancer Institute, révèle que l’hypnose joue un rôle non négligeable dans la modification des routines comportementales, avec des effets notables sur la persistance de l’abstinence au fil des mois, notamment en province de Liège et aux alentours de Liège, où l’accompagnement thérapeutique personnalisé favorise la réussite.
Pour bien cibler le travail hypnotique, un premier temps d’accompagnement consiste à repérer finement, avec le patient, toutes les situations, émotions ou moments du quotidien où l’automatisme de la cigarette est le plus prégnant. C’est ce qu’on appelle la « cartographie » des habitudes fumeuses. En se concentrant sur les schémas individuels, le praticien certifié identifie les principales « ruptures de routine » sur lesquelles agir prioritairement.
Par exemple : fumer le matin au réveil, pendant le trajet vers le travail à la périphérie liégeoise, en fin de repas ou en buvant un café. Cette « analyse situative » permet de faire émerger les conditions réflexes internes, souvent oubliées du patient.
Lire : Gérer l’exposition au tabac grâce à l’hypnose
L’intérêt de ce travail d’investigation personnalisée est double :
L’hypnose thérapeutique offre plusieurs outils pour neutraliser le réflexe de fumer. Sous hypnose, le patient accède à un état de conscience modifiée, où l’esprit devient plus perméable à la suggestion. À ce moment, le thérapeute peut :
Cette « reprogrammation » ne consiste pas à éradiquer la volonté du geste, mais bien à remplacer un automatisme nocif par une réaction plus saine. L’expression imagée de la pratique hypnotique est de « dérouiller l’habitude », de la « désactiver » dans l’inconscient pour que le réflexe de fumer s’affaiblisse au profit de nouveaux comportements.
La réussite passe par la réitération des séances et l’application de mini-exercices quotidiens, construits avec l’hypnothérapeute. Mme Marcelle Monseur, hypnothérapeute certifiée NGH à Esneux, proche de Liège, met l’accent sur l’autonomisation du patient, qui repart avec des outils pour renforcer chaque jour le nouveau conditionnement.
Le nombre de séances dépend de l’ancienneté de l’habitude : plus l’automatisme est ancien, plus l’ancrage peut être profond. Mais très souvent, dès deux ou trois séances, de premiers changements sont observés : la routine se craquelle, le geste réflexe ne vient plus ou moins souvent, et l’ex-fumeur retrouve une sensation de liberté par rapport à son ancienne habitude.
Mme Marcelle Monseur exerce en tant que hypnothérapeute certifiée NGH (National Guild of Hypnotists), le plus grand organisme mondial de formation et de certification en hypnose professionnelle. Son approche à la fois rigoureuse et bienveillante combine la connaissance des mécanismes neuroscientifiques, une écoute individualisée et des outils de reprogrammation subconsciente adaptés à chaque patient.
Son cabinet situé à Esneux, en province de Liège, accueille quotidiennement des patients désireux de sortir du cercle vicieux de l’habitude tabagique. La pratique de l’hypnose y est reconnue pour son efficacité, notamment en complément d’un accompagnement médical classique, que ce soit chez le médecin traitant ou auprès du tabacologue.
Ce travail thérapeutique place le patient dans une dynamique active, où l’objectif n’est pas seulement d’arrêter de fumer, mais surtout de retrouver la maîtrise de ses automatismes, de sa liberté et de sa santé.
De nombreux fumeurs arrivent en consultation persuadés qu’après des années de tabagisme les automatismes sont gravés à vie. Les études scientifiques (Spiegel, D, et al.) prouvent pourtant la plasticité du cerveau adulte : il est tout à fait possible de modifier, voire d’effacer, des schémas comportementaux anciens grâce à l’hypnose, pourvu que la démarche soit structurée et centrée sur les vrais déclencheurs de l’habitude.
Démystifier les idées reçues sur l’hypnose
Pour reprendre la main sur sa vie après le tabac, il ne suffit pas de briser la dépendance physique, mais bien de déconstruire, une à une, les briques de l’habitude. Grâce à un accompagnement personnalisé en région liégeoise, dispensé par une professionnelle certifiée, le fumeur apprend à :
L’hypnose clinique devient ainsi un « anti-réflexe » maîtrisé, remplacé par de nouveaux comportements, signes d’un renouveau de vie sans tabac.
En province de Liège, les patients accompagnés rapportent souvent le même soulagement : « Je n’y pense plus… », « Mon geste automatique a disparu… », « Même avec un café ou dans une soirée, la cigarette ne me fait plus d’effet… ». Ces évolutions illustrent à quel point, avec l’aide d’une hypnothérapeute expérimentée et certifiée, le réflexe de fumer peut être durablement neutralisé. Les rechutes, lorsque le travail est bien mené, sont de moins en moins fréquentes, et la récupération du contrôle personnel devient un puissant facteur de maintien.
Outre la sécurité et l’efficacité, le choix d’un praticien certifié NGH garantit une approche éthique et rigoureuse. Loin des promesses magiques, l’hypnose professionnelle est aujourd’hui reconnue pour son impact positif dans le changement d’habitudes tenaces, notamment la routine tabagique. Ce mode de pratique, intégré au parcours médical, prend en compte toute la personne, ses besoins, ses craintes, ses ressources et ses leviers de motivation propres.
Hypnothérapeute STOP Tabac – Mme Marcelle Monseur
📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 Esneux
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L’habitude de fumer, loin d’être une fatalité, peut être déconstruite grâce à une intervention ciblée sur les mécanismes de l’automatisme. L’hypnose clinique offre une voie rapide, efficace et douce pour déprogrammer ce réflexe, à condition d’être encadré par un professionnel formé et certifié. À Esneux et dans l’agglomération liégeoise, Mme Marcelle Monseur œuvre chaque jour à redonner à ses patients le contrôle sur leur quotidien, leur santé, et leur liberté retrouvée.
Si vous reconnaissez dans votre propre expérience les descriptions de l’habitude, du geste automatique ou du « craving sans raison », n’hésitez pas à explorer cette approche thérapeutique, complémentaire à votre démarche médicale. Proche de chez vous, une écoute professionnelle et empathique vous permettra de franchir le cap avec sérénité.
— Références :
Pour aller plus loin, informez-vous également sur les comparaisons entre hypnose et substituts nicotiniques, ou découvrez la spécificité de l’hypnose à Esneux.