📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 à Esneux
📞 Téléphone RDV : 0486 18 72 25
Une question que beaucoup de parents se posent, parfois en silence, après avoir remarqué que leur enfant a du mal à aller à la selle ou présente des accidents urinaires en journée (voire la nuit). Il y a de quoi s’arracher les cheveux : pourquoi ces deux problèmes, souvent tabous, semblent-ils jouer main dans la main ? Et pourquoi les pédiatres, mais aussi les pédopsychiatres, kinés, ou même enseignants, tirent la sonnette d’alarme ?
Posez la question à un kinésithérapeute urinaire chez l’enfant (spécialisé en rééducation périnéale et en troubles urinaires chez l’adolescent) conventionné INAMI, qui consulte au cabinet à Esneux, comme Lisa MOENS, et vous entendrez souvent la même réponse : c’est tout simplement parce que l’intestin et la vessie, chez le jeune, partagent un “câblage” nerveux commun !
Imaginez deux routes parallèles. Une pour la digestion, l’autre pour les urines. Mais, sur certains tronçons, ces routes se confondent. Un bouchon sur la première (constipation) ralentit inévitablement la circulation sur la seconde (vidange de la vessie). Résultat ? Les petits bouts accumulent l’inconfort, “oublient” d’aller aux toilettes, ou vivent de vrais accidents gênants. Fréquent, mais rarement avoué à la récré ou à table.
Les chiffres ? On estime que jusqu’à 10% des enfants d’âge scolaire présentent des symptômes de troubles urinaires fonctionnels (fuites, urgence, envies fréquentes). La constipation, elle, touche plus de 20% des enfants vers 5-7 ans, parfois sous-estimée. Les deux se croisent bien souvent. Ajoutez à cela l’aspect multifactoriel : alimentation, rythme de vie, stress, apprentissage… C’est le cocktail parfait pour le pipi au lit, les accidents en pleine classe ou les gros mots comm’ “encoprésie”.
Un constat évident dans toutes les écoles des aux alentours de Liège, de la maternelle à la fin du primaire : les enfants cachent, les parents s’inquiètent, mais les solutions existent. Encore faut-il les connaître !
Vous remarquez que votre enfant va très souvent aux toilettes, ou, au contraire, s’enferme de longues minutes sans rien dire ? Vous retrouvez régulièrement des traces dans les slips ou culottes, ou votre ado vous dit : “je n’y arrive pas…” Les signaux sont là. Mais la première étape, c’est d’en parler – en famille, puis avec des professionnels qui comprennent ces difficultés.
Ce n’est pas une question de malpropreté ou de caprices ! La plupart du temps, derrière ces symptômes se cache un dysfonctionnement du périnée ou du plancher pelvien, souvent lié à des mauvaises habitudes depuis tout petit. La constipation chronique, par exemple, entraîne au fil des semaines une stagnation des selles, qui comprime en douceur… la vessie ! Bonjour les “mini-fuites” qui ruinent la confiance en soi des enfants actifs, ou l’apparition d’infections urinaires à répétition.
Certaines habitudes sont trompeuses : se retenir “pour finir son jeu vidéo”, boire trop peu, vivre des stress émotionnels (entrée en primaire, séparation…). Résultat : la musculature périnéale se désorganise, la sensation de “besoin d’aller” se dérègle, et tout le système perd ses repères.
Côté diagnostic, les professionnels établissent une véritable enquête : carnet mictionnel (registres d’urines et de selles), questionnaires adaptés à l’âge, examen clinique indolore, recherche de fuites invisibles… C’est tout un art d’observation, un peu comme un détective qui relie les indices pour comprendre où le système s’enraye.
Un détail : la fréquence “normale” pour un enfant de 6-8 ans, c’est d’aller à la selle une fois par jour, et d’uriner entre 5 et 7 fois sur 24h. En dehors, il peut être utile de consulter. Mais, important : chaque enfant est unique !
Pour avoir de l’aide, demandez conseil à une équipe spécialisée. Comme Lisa MOENS (kinésithérapeute pédiatrique, conventionnée INAMI, spécialiste de la rééducation fonctionnelle du périnée) qui intervient en étroite collaboration avec votre médecin traitant, un pédiatre, et bien d’autres spécialistes.
Parce qu’on oublie souvent que derrière chaque “pipi au lit” ou chaque “incident” en classe se cache une histoire humaine. À force d’être témoin de scènes de honte ou de discours découragés (“ça va passer quand il grandira”), les enfants intègrent la culpabilité. Mais, avec la bonne approche, il est possible de retourner la situation ! Dans la région proche de Liège, de nombreux enfants guérissent ou voient leur quotidien nettement amélioré – à condition d’être entendus ET bien encadrés.
Anecdote vraie : un petit garçon arrivé dans un cabinet de kinésithérapie périnéale à Esneux refusait carrément de partir en classe verte à cause de ses accidents urinaires. En 4 mois, après un accompagnement sur-mesure (kiné, adaptation alimentaire, conseils à la famille), tous les accidents avaient disparu. Preuve que la clé, c’est aussi l’écoute… et une équipe soudée.
Ne pas sous-estimer le poids psychologique : au collège, les accidents sont moqués. Être accompagné, c’est accepter de “faire la paix” avec son corps et de retrouver confiance en ses sensations. Un processus parfois long, mais jamais impossible.
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Si vous vous interrogez sur ce que peut réellement apporter un suivi chez un kinésithérapeute urinaire pédiatrique, parlons pratiquement. La kinésithérapie périnéale médicale pour enfants ne se limite pas à “apprendre à serrer les muscles” du périnée, ni à faire des exercices “comme les grands”.
Non, c’est bien plus large : il s’agit d’une approche holistique, multidisciplinaire, complètement adaptée à l’univers des jeunes. Le but ? Rééduquer en douceur, via le jeu, la respiration, la conscience corporelle. Mais aussi désacraliser le dialogue sur ce qui se passe “en bas”, enlever la honte et redonner le pouvoir : “Mon corps, c’est moi !”
Le premier volet, c’est l’apprentissage du fonctionnement normal de la vessie et des intestins. En langage simple, via des schémas, des analogies : “La vessie, c’est un réservoir ; quand elle est pleine, il faut la vider pour qu’elle ne se fatigue pas !” On apprend à reconnaître les envies, à aller aux toilettes avant d’être pressé (et donc éviter les “urgences dodo” ou dodo dans les draps...), à boire “juste ce qu’il faut” mais régulièrement.
Ensuite viennent les exercices adaptés : assouplissements, jeux de souffle (pour activer le diaphragme…), visualisations, postures sur les toilettes. Avez-vous déjà essayé de demander à un enfant de faire “comme si tu soufflais sur une bougie… très lentement” ? C’est plus efficace qu’on ne le pense : cela détend, favorise l’ouverture du sphincter et aide l’élimination naturelle.
Pour ce qui est de la constipation, le travail est double : rééducation musculaire (périnée, postures, respiration), mais aussi conseils pratiques d’alimentation et astuces du quotidien pour éviter que tout se bloque… Un enfant constipé aura du mal à sentir les contractions de sa vessie, repoussant d’autant le moment d’aller uriner. Cercle vicieux à briser !
Mais tout ne s’arrête pas à la séance. À la maison, les outils donnés par le kiné sont à réutiliser : fiches, conseils visuels, petits jeux. Le but : rendre l’enfant acteur, pas simple patient passif. Et accompagner la famille ! Après tout, qui ne s’est jamais retrouvé désemparé devant une énième fuite alors que tout paraissait bien ? Pas de secret : la constance, l’humour (oui oui) et la patience sont les véritables alliés.
La Belgique est un pays où l’on a la chance de pouvoir bénéficier d'une prise en charge de pointe, parfois même au sein de secteurs trop peu connus du grand public. Le kinésithérapeute urinaire chez l’enfant conventionné INAMI, tel que Lisa MOENS, assure une prise en charge adaptée et remboursée pour de nombreux troubles, sans frais excessifs. Mais surtout, c’est un gage de sérieux, d’écoute et d’expertise spécifique à la sphère des enfants et des adolescents.
À Esneux, chaque jour, des familles localisées en Belgique ou venues de villes comme Tilff, Sprimont ou Chaudfontaine, prennent rendez-vous pour des soucis de pipi au lit, de constipation rebelle, ou de fuites urinaires inopinées. L’intérêt ? On est loin des “solutions miracles” ou des fausses promesses. Mais l'approche globale, centrée sur l’humain, place vraiment la confiance de l’enfant au centre du processus.
Le travail en lien avec d’autres disciplines (pédiatres, psychologues, nutritionnistes, enseignants…) permet de ne rien laisser au hasard. Un exemple concret ? Un adolescent, suivi pour énurésie nocturne isolée, découvre via le bilan que son sommeil est ultra-fragmenté suite à une anxiété non détectée. Le dialogue entre kiné, médecin et psychologue, permet de remettre toutes les briques du mur, et de retrouver un sommeil… sec !
L’un des leitmotivs de la démarche : tout expliquer, prendre le temps, ne rien forcer. Et redonner à l’enfant le plaisir “d’aller bien dans son ventre et son pipi”. La multidisciplinarité, ce n’est pas qu’un mot : c’est une vraie équipe autour de chaque famille, au rythme qui leur convient.
Consulter en cabinet, c’est pouvoir bénéficier de matériel dédié (chaise, jeux, biofeedback, tableaux), d’un espace bienveillant. Mais, pour ceux qui ne peuvent se déplacer (maladie, handicap, difficulté familiale…), la prise en charge à domicile existe aussi, sur prescription.
Important à savoir : la kinésithérapie urinaire pédiatrique n’est pas douloureuse. Tout au contraire. L’idée est d’apprendre à “écouter son corps” plutôt qu’à le brider, puis tout rendre ludique. Qui a dit que la guérison devait être triste ?
Avis à tous les parents des alentours de Liège : si vous sentez que votre enfant cache ou minimise ces petits “malheurs”, un bilan chez un professionnel conventionné est l’étape décisive. Parfois, quelques séances suffisent pour débloquer des mois de frustration… et changer le cours d’une scolarité. Mieux qu’une cape de superhéros !
Comment savoir si mon enfant souffre de constipation et de troubles urinaires en même temps ?
Si votre enfant a moins d'une selle par jour, se plaint de douleurs au ventre et présente des accidents urinaires (fuites, urgences soudaines), il est possible qu’il combine ces deux problèmes. Un professionnel qualifié peut réaliser un bilan complet, souvent avec un carnet de suivi à domicile, pour détecter l'origine exacte des symptômes.
Pourquoi la rééducation périnéale est-elle efficace chez l’enfant ?
La rééducation périnéale, menée chez un kinésithérapeute pédiatrique spécialisé, aide l’enfant à comprendre et réentraîner ses muscles du périnée de façon ludique. Cela brise les mauvaises habitudes, renforce la confiance corporelle et diminue nettement les accidents urinaires ou la constipation.
Quand consulter un kinésithérapeute urinaire pour enfant à Esneux ?
Dès que surviennent des fuites urinaires régulières, une constipation persistante ou des gênes liées à l’apprentissage de la propreté, il est conseillé de consulter un professionnel spécialisé, comme Lisa MOENS. Plus le suivi débute tôt, plus les troubles peuvent se régler rapidement et durablement.
Faut-il obligatoirement un diagnostic médical avant de commencer la rééducation urinaire pédiatrique ?
Il est recommandé de consulter d’abord son pédiatre ou médecin généraliste pour écarter une cause organique. Ensuite, celui-ci peut adresser votre enfant à un kinésithérapeute urinaire conventionné INAMI, avec une prescription, pour une prise en charge adaptée et efficace des troubles fonctionnels.