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Apprendre la continence diurne chez les enfants - Kinésithérapie urinaire à LiègeKinésithérapeute Urinaire Périnéale pour ENFANTS

Kinésithérapeute Périnéale Pédiatrique - Troubles urinaires chez l'enfant et l'adolescent – Mme Lisa MOENS

📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 à Esneux

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Apprendre la continence diurne grâce à la kinésithérapie urinaire : la clé d’un quotidien apaisé pour enfants et ados

Votre enfant ne parvient pas à rester sec la journée ? Encore des petites fuites d’urine à l’école, des pantalons mouillés, et ce regard un peu gêné, parfois accablé ? S’il y a bien un sujet tabou chez les familles, c’est celui du contrôle du pipi en grandissant. Pourtant, les troubles de la continence diurne touchent entre 3 et 7% des enfants scolarisés. Ce n’est pas rare, c’est même bien plus fréquent qu’on ne le croit.

Dans cet article, cap sur un sujet précis : l’accompagnement en kinésithérapie urinaire des troubles de l’acquisition de la continence diurne, en cabinet ou à domicile, chez les enfants et adolescents.

On en parle peu, trop peu... Alors qu’il existe des solutions concrètes, personnalisées, humaines ! Ici, pas question de mélanger mille thèmes. On se penche sur ce moment précis où, chez certains, la vessie semble faire de la résistance. Comment l’enfant apprend (ou pas) à devenir continent le jour ? En quoi la kinésithérapie périnéale spécialisée change-t-elle la donne ?

Suivez le guide. Bousculons quelques idées reçues, prenons un peu de recul. Et surtout : explorons tout ce que, concrètement, la prise en charge par un(e) kinésithérapeute urinaire pour enfant conventionné(e) INAMI peut débloquer.

Pourquoi certains enfants ont-ils du mal à apprendre la continence diurne ?

Posons la question franchement : pourquoi le “pipi au pantalon” prolonge-t-il son histoire bien après la maternelle chez certains ? Il y a mille nuances. Pour comprendre, imaginez la commande du pipi comme un orchestre.

Chaque violon — cerveau, nerfs, vessie, muscles du périnée — doit jouer sa bonne note, au bon moment. Si l’un dérape, la mélodie se complique. Chez l’adulte, ce contrôle semble automatique. Chez l’enfant, pas du tout : c’est une acquisition, comme apprendre à faire du vélo. Chacun avance à son rythme… Parfois avec des obstacles invisibles.

Les causes des troubles de la continence diurne sont multiples :

  • Retards de maturation neurologique. Un peu comme si le “câblage” entre cerveau et vessie n’était pas complètement branché… encore !
  • Mauvais apprentissages : si, petit, on a pris l’habitude de se retenir trop longtemps à la crèche, de courir aux toilettes à la va-vite, ou si on a connu des infections urinaires à répétition… le message corporel se brouille.
  • Problèmes musculaires du périnée ou du sphincter, souvent discrets, mais réels.
  • Stress, anxiété — eh oui, le ventre et la tête font rarement bande à part. À l’école, la peur de demander la permission, la honte, ou l’excitation, suffisent à bloquer ou précipiter tout le système.
  • Antécédents familiaux : il n’est pas rare que plusieurs membres d’une même fratrie soient touchés.
  • Parfois… rien de tout ça. Juste une singularité dans le processus d’apprentissage, naturelle, qui mettra un peu plus de temps à s’ajuster.

À retenir : un enfant qui ne devient pas continent le jour, n’est ni “fainéant”, ni “étourdi”. Il lui manque tout simplement des clés. La bonne nouvelle ? Le corps est incroyablement plastique à cet âge. Avec une prise en charge adaptée, la rééducation urinaire peut, littéralement, tout changer.

Par exemple, Lisa MOENS, Kinésithérapeute urinaire chez l’enfant (conventionnée INAMI), basée à Esneux, accompagne de nombreuses familles qui pensaient ne plus trouver de solution. Son expertise en cabinet, associée à une approche multidisciplinaire (kiné périnéale, liens avec pédiatres et psychologues, soutien éducatif...) ouvre la voie à une évolution douce, respectueuse du rythme de l’enfant.

Et non, ce n’est pas seulement une « méthode », c’est un parcours, sur mesure. La prévention des troubles urinaires chroniques commence souvent bien plus tôt qu’on ne le croit… et passe par l’acquisition sereine de la continence diurne.

Quels sont les signaux d’alerte et quand consulter ?

Vous vous demandez peut-être : à partir de quand faut-il s’inquiéter ? Où placer le curseur entre “patience” et besoin d’aide extérieure ?

En Belgique, la plupart des enfants deviennent “secs” le jour entre 2 ans ½ et 4 ans. Mais chez certains, la maîtrise reste incomplète, bien après l’entrée en primaire. Parfois, la propreté semblait acquise… et soudain, retour en arrière, fuites ou oublis. Là, pas de panique : ça arrive. Mais quand le phénomène persiste ou s’accompagne de gêne, il est temps d’agir.

Concrètement, voici les signaux qui doivent alerter :

  • Des incidents quotidiens plusieurs mois après 5 ans.
  • L’enfant évite les activités sportives par peur de la fuite.
  • Au niveau social : solitude, repli, moqueries à l’école, voire refus d’aller en classe.
  • Des urines toujours malodorantes, signes d’éventuelles infections associées (à ne pas négliger).
  • Associé à d’autres manifestations (énurésie nocturne, constipation chronique…).

Le piège : minimiser, penser que “ça passera”, ou, pire, gronder. Au contraire, valoriser la parole de l’enfant, écouter son ressenti corporel, c’est ce qui compte le plus. Et si la gêne persiste, ne pas hésiter à consulter un kinésithérapeute urinaire pédiatrique conventionné, déjà formé à ces enjeux si spécifiques.

“Encore aujourd’hui, on me téléphone parfois en pleurs, à bout. Un ado qui refuse le sport, un enfant qui ne veut plus aller chez les copains. La souffrance derrière, elle est réelle ! Or, ce n’est jamais trop tard pour commencer à réapprendre la maîtrise de sa vessie.” confie Lisa MOENS, spécialiste à Esneux et engagée dans l’approche de rééducation fonctionnelle du périnée chez l’enfant.

Parfois, un diagnostic médical complémentaire est utile (rare, mais possible : malformations, troubles neurologiques, infections urinaires). Mais dans la plupart des cas, le travail mené avec le ou la kiné urinaire, en lien avec la famille et le corps médical, suffit à relancer la machine. Proche de Liège, les réseaux de spécialistes communiquent étroitement, ce qui optimise la prise en charge sans perdre de temps.

Et si la difficulté de votre enfant était simplement la dernière pièce manquante de son petit puzzle de grandissement ?

Comment la kinésithérapie aide-t-elle à (ré-)apprendre la continence diurne ?

Oubliez la caricature de la “vieille rééducation à l’ancienne” : tout, ici, est adapté à l’enfant ! C’est du sur-mesure, presque du cousu main. Parmi les points clefs, citons :

  • Une évaluation globale, bienveillante, jamais intrusive : le kiné va retracer l’histoire des mictions, repérer les habitudes, identifier ce qui cloche.
  • L’éducation à la perception corporelle : apprendre à repérer les premiers signes de besoin, comprendre comment fonctionne la vessie et, surtout, le périnée.
  • Des exercices ludiques ciblés : contraction et relâchement des muscles du plancher pelvien, “jeux” de maintien, respiration, activités en mouvement... Les séances ressemblent à un entraînement sportif, version fun, où l’enfant gagne petit à petit en maîtrise — comme sur un vélo, on ajuste, on retente, on progresse, on rigole.
  • Des outils concrets : tableaux des mictions, carnets de victoire, auto-observation… Pour beaucoup, c’est la première fois que “le pipi” prend une place pensée, réfléchie, positive.
  • Une implication familiale dosée : il ne s’agit ni de harceler l’enfant, ni de le surprotéger. Mais d’être présent, soutenant, en relais bienveillant à la maison comme à l’école. Le dialogue, la déculpabilisation, c’est déjà 50% du chemin.

Lisa MOENS, conventionnée INAMI, propose des suivis en cabinet, à Esneux, mais aussi à domicile si nécessaire. Elle travaille toujours avec une équipe, parfois en réseau avec le pédiatre, l’enseignant, l’infirmier(ère) scolaire. Par exemple, l’intégration d’une implication parentale structurée permet d’améliorer l’efficacité, tout en limitant la pression négative sur l’enfant.

Un exemple courant ? Hugo, 7 ans, scolarisé aux alentours de Liège, se retenait toute la journée, et n’arrivait plus à “se lâcher” même chez lui. Quelques séances de prise de conscience, le jeu du “muscle du pipi” (on contracte, on relâche), puis des habitudes douces mises en place à la maison… Résultat, trois mois après : plus d’incident, et surtout, une fierté retrouvée.

Et vous savez quoi ? Ce sont souvent ces petites victoires qui comptent le plus.

Zoom sur une séance type : décrypter les secrets d’un suivi réussi

Voici comment se déroule concrètement une prise en charge en rééducation périnéale de la continence diurne :

  1. Accueil et entretien : écoute sans jugement, prise en compte de l’histoire complète de l’enfant (fuites, contexte émotionnel, habitudes alimentaires, rythme de vie, histoire familiale...). Le but : identifier tous les leviers.
  2. Bilan fonctionnel : parfois, sous forme de jeux ou de mises en situation ludiques, on évalue la manière dont l’enfant contracte ou relâche ses muscles périnéaux, observe la régularité des allers-retours aux toilettes, la quantité de boisson absorbée, les épisodes de constipation éventuels.
  3. Mise en place d’un programme d’exercices adaptés : là, place à la créativité ! On sollicite le corps de manière douce : serrage-relâchement sur ballon, souffle, grimaces, postures rigolotes. Inutile de chercher la performance, on encourage, on réessaye, l’enfant avance à son rythme. Selon l'âge et la maturité, on adapte : certains se prennent au jeu, d’autres auront besoin d’une motivation plus... discrète !
  4. Renforcement positif : jamais de sanction. Au contraire, mini-challenges, un carnet des “victoires”, des encouragements. On mise sur le plaisir d’apprendre à contrôler son corps.
  5. Travail avec la famille : conseils sur la posture aux toilettes, ajustement des routines, gestion de la boisson et du pipi avant les sorties. La famille devient co-équipière, jamais contrôlante.
  6. Suivi et adaptation : chaque semaine, on réajuste. Parfois, tout s’améliore en quelques semaines, parfois il faut des mois. Chacun son rythme !

Voilà comment, petit à petit, on voit l’enfant reprendre confiance, célébrer ses propres avancées. On gomme peu à peu la honte, les peurs, pour leur donner des outils durables... Et ça, ce n’est pas du rêve : c’est du concret, chaque semaine au cabinet.

Souvent, la question de l’intégration sociale revient sur la table. Les enfants concernés ont tendance à se replier, à se sentir “bizarres”. Les premiers matchs de foot, les camps scouts, tout devient source d’angoisse… Il faut parfois du temps et, surtout, beaucoup d’écoute. Le rôle du kinésithérapeute périnéale pédiatrique, c’est aussi de remettre un peu de légèreté là où la honte faisait son nid.

Des astuces du quotidien ? Par exemple, organiser (avec l’enseignant) autant que possible un accès facilité aux toilettes. Ou encore opter pour des vêtements faciles à enlever. Tout un écosystème bienveillant s’installe — c’est capital pour soutenir l'enfant sur la durée.

Quelles différences avec la prise en charge nocturne ? Pourquoi c’est essentiel d’agir de jour ?

Bonne question. Beaucoup de parents viennent en pensant résoudre l’énurésie nocturne (le pipi au lit)… Et découvrent en fait que la clé, souvent, c’est d’abord le contrôle diurne !

Le jour, l’enfant doit apprendre à repérer ses sensations, à anticiper le besoin, à “négocier” avec sa vessie, à mieux comprendre la mécanique fine du périnée — qui n’est pas si instinctive qu’on veut bien le croire. La nuit, le contrôle est plus “automatique”, hormonal. Or, en journée : tout est apprentissage, adaptation, patience aussi… et beaucoup de coaching bienveillant !

La kinésithérapie périnéale pour les troubles urinaires diurnes porte ses fruits non seulement pour stopper les incidents, mais aussi pour prévenir la chronicisation du problème sur le long terme. Car oui, un enfant non continent de jour risque plus souvent d’avoir des soucis la nuit, à l’adolescence, et même à l’âge adulte, si rien n’est fait.

Une étude récente montre que 30% des enfants souffrant de fuites persistantes de jour, non traitées, deviennent des adolescents (voire jeunes adultes) toujours gênés lors des cours de sport ou des sorties. L’impact sur la confiance en soi, le développement social et même le parcours scolaire est loin d’être anodin !

La rééducation diurne permet donc à l’enfant de devenir acteur de son corps, autonome, fier de ses progrès. Et la famille respire — oui, vraiment. C’est souvent un premier domino, qui fait tomber bien d’autres difficultés demeurées dans l’ombre.

Vous êtes parent, enseignant, ou professionnel de la santé ? Ne sous-estimez jamais l’impact d’un accompagnement adapté, ni le bénéfice d’une prise en charge multidisciplinaire (kiné, pédiatre, parfois pédopsy, orthophoniste…). C’est tout le sens de l’activité de Lisa Moens, spécialisée notamment dans la rééducation périnéale chez l’enfant, à Esneux, à proximité de Liège.

Kinésithérapeute Périnéale Pédiatrique - Troubles urinaires chez l'enfant et l'adolescent – Mme Lisa MOENS

📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 à Esneux

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Quels sont les atouts d’une kinésithérapie urinaire spécialisée pour l’enfant ?

Le rôle du kinésithérapeute périnéale pédiatrique s’apparente à celui d’un chef d’orchestre. Il ou elle coordonne (en douceur) le travail autour du corps de l’enfant. Distinction essentielle : il ne s’agit pas d’une “kiné banale”, mais d’une spécialité précise, basée sur les données scientifiques les plus récentes, actualisées chaque année.

Voici pourquoi l’accompagnement par un(e) expert(e) comme Lisa MOENS, conventionnée INAMI et basée à Esneux, fait toute la différence :

  • Approche 100% personnalisée : pas de recette miracle, chaque enfant a sa propre carte à jouer. Il doit être considéré comme un acteur à part entière — ses mots, ses doutes, ses fiertés, tout compte.
  • Liaison multidisciplinaire : la kinésithérapeute travaille main dans la main avec pédiatres, psychologues, enseignants, parents. L’objectif ? Lever, ensemble, tous les freins (physiques, éducatifs, émotionnels).
  • Âge adapté, langage adapté : la pédagogie est ludique, jamais infantilisante. On explique, on montre, on fait toucher, sentir, essayer… Les outils évoluent en fonction des attentes et des capacités de chaque enfant, du tout-petit au grand adolescent.
  • Sécurisation des progrès : chaque progrès est valorisé, tout échec relativisé. Les enfants repartent souvent du cabinet grands, grands comme trois pommes, mais fiers “d’avoir réussi à parler de son corps sans honte”.
  • Intégration du quotidien familial : parce que l’enfant n’est pas seul, la famille s’implique, l’école aussi. Chacun trouve sa place, apprend à ajuster au bon moment, simplement.
  • Prévention sur le long terme : agir sur la continence diurne, c’est éviter l’engrenage des troubles secondaires (énurésie, constipation, mésestime de soi, repli social…).

À noter : la dimension ludique et décomplexée de la prise en charge. Succès garanti pour casser l’ambiance trop “médicale” : ici, on rit, on bouge, on (ré-)apprend la confiance !

Un mot au sujet de la kinésithérapie périnéale nocturne : il s’agit d’une prolongation possible, mais la priorité reste la continence diurne. Plus elle est consolidée, plus l’enfant se rapproche de la “vraie” autonomie.

Pensez-y : combien d’adultes auraient aimé, enfants, avoir accès à ce genre d’information ? Ce n’est pas un simple “plus” de confort, c’est un gage de santé globale sur toute une vie.

“Quand on me demande ce qui me touche le plus dans ce métier, c’est de voir le soulagement des familles. Un papa m’a dit un jour : ‘On avait l’impression de tourner en rond depuis des années, de tout essayer sans succès. Grâce à la kiné, notre fils a retrouvé sa joie de vivre’ ». La kiné périnéale pour la continence diurne, c’est parfois ce petit caillou dans la chaussure qui, enfin, disparaît, et laisse la route à de nouveaux horizons.

La rééducation peut se faire au cabinet à Esneux, parfois à domicile pour plus de confort. Proche de Liège et aux alentours, le réseau reste ouvert, souple et humain.

Besoin de conseils ciblés ? Lisa MOENS, conventionnée INAMI, vous accueille, écoute, adapte chaque suivi. Un accompagnement, pas à pas. Parce que personne ne devrait avancer dans la honte ou la solitude face aux troubles de la continence.

FAQ – Questions fréquentes

Comment savoir si mon enfant a besoin d’une kinésithérapie urinaire pour l’apprentissage de la continence diurne ?

Si votre enfant a plus de 5 ans et présente encore des fuites urinaires la journée, ou peine à exprimer ses besoins, il peut bénéficier d’une évaluation. Un(e) kinésithérapeute périnéale pédiatrique spécialisée pourra vous aider à détecter rapidement les éventuelles difficultés et proposer des outils adaptés pour y remédier.

Quand consulter un kinésithérapeute urinaire chez l’enfant proche de Liège ?

Dès que vous constatez que les incidents deviennent source de gêne, d’évitement social ou durent depuis plusieurs mois, il est conseillé de consulter. Un accompagnement rapide permet de limiter les répercussions sur la confiance de l’enfant et d’initier une prise en charge globale et bienveillante.

Pourquoi passer par la kinésithérapie urinaire plutôt que de simplement attendre ?

Attendre peut être bénéfique lorsque l’enfant est encore tout-petit, mais persister dans le temps expose à des troubles chroniques et à une perte de confiance. La kinésithérapie spécialisée offre un travail sur mesure, validé scientifiquement, pour réapprendre les bons réflexes et permettre à l’enfant d’accéder à une meilleure autonomie, tout en étant soutenu et compris.

Faut-il impliquer la famille dans la rééducation périnéale chez l’enfant ?

Oui, l’implication familiale est souvent essentielle pour instaurer des routines positives et accompagner le progrès au quotidien. Le rôle des proches est d’encourager, sans pression, et de soutenir la dynamique mise en place avec le professionnel, afin d’ancrer durablement les acquis et faciliter le retour de la confiance chez l’enfant.

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