Acupuncture à Esneux – Katty Lhermitte – Acupunctrice proche de Liège
📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 Esneux
📞 Téléphone RDV : 0471 49 75 81
Ménopause et troubles du sommeil sont deux sujets intimement liés chez une très grande majorité de femmes à partir de 45-50 ans. Alors que la ménopause représente un bouleversement physiologique normal, elle est fréquemment accompagnée de symptômes perturbateurs : bouffées de chaleur, sueurs nocturnes, anxiété, irritabilité… et surtout, des troubles du sommeil parfois très invalidants. Du fait de ce lien, de plus en plus de femmes se tournent vers l’acupuncture pour un soutien naturel et durable. Mais quelle est l’efficacité réelle de l’acupuncture dans le traitement des troubles du sommeil liés à la ménopause ? Quels mécanismes sont en jeu ? Que dit la science ? Dans cet article inédit, nous allons explorer en détail la place de l’acupuncture dans la lutte contre l’insomnie ménopausique, les techniques praticiennes spécifiques utilisées et les fondements physiologiques solides qui soutiennent cette médecine millénaire, encore peu explorée et pourtant si prometteuse.
La ménopause correspond à l’arrêt définitif du fonctionnement ovarien et du cycle menstruel. Ce bouleversement hormonal, marqué principalement par la chute brutale des œstrogènes et de la progestérone, a des répercussions directes et souvent sévères sur la qualité du sommeil. En effet, on estime que plus de 60% des femmes ménopausées souffrent de troubles du sommeil : difficultés d’endormissement, réveils nocturnes répétés, insomnies d’entretien, fatigue matinale sans récupération.
Outre les désordres hormonaux, la ménopause s’accompagne fréquemment de bouffées de chaleur nocturnes (sueurs nocturnes) et d’une hyperactivité du système nerveux sympathique. Ce cercle vicieux – sueur, réveil, anxiété, anticipation – finit par avoir un impact profond sur la sphère psychique et le bien-être général.
Le déficit de sommeil chronique chez la femme ménopausée n’a rien de bénin : il contribue à la majoration des troubles anxieux, de la dépression, du surpoids, mais aussi à l’apparition de maladies cardio-métaboliques. D’où, aussi, l’intérêt de proposer des solutions efficaces, non-médicamenteuses, pour restaurer un sommeil réparateur.
L’acupuncture, issue de la médecine traditionnelle chinoise (MTC), postule que le corps humain est parcouru de méridiens énergétiques. La santé résulte d’une circulation harmonieuse du Qi (énergie vitale) et du Sang. La ménopause serait liée à une "déficience du Yin du Rein", responsable d’un "vent interne" entraînant chaleur, sueurs et agitation nocturne.
L’acupunctrice va ainsi choisir des points correcteurs sur des méridiens clés – souvent les méridiens du Rein, du Cœur, du Foie et de la Rate – visant à tonifier le Yin, calmer le Shen (l’esprit), apaiser la chaleur et harmoniser la circulation énergétique.
Contrairement aux hypnotiques ou aux traitements hormonaux substitutifs, l’acupuncture offre une prise en charge globale, sur-mesure et dénuée d’effets secondaires majeurs. La patientèle apprécie particulièrement :
Acupuncture à Esneux – Katty Lhermitte – Acupunctrice proche de Liège propose régulièrement des séances spécifiques pour le sommeil, adaptées à l’étape particulière de la ménopause.
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De nombreuses recherches publiées ces quinze dernières années valident l’effet de l’acupuncture sur les symptômes de la ménopause, et tout particulièrement sur les insomnies et le sommeil perturbé. Parmi les études de référence, citons :
À chaque fois, la qualité du sommeil mesurée objectivement (actimétrie) et subjectivement (questionnaires) montre une amélioration persistante au moins trois mois, avec une baisse de l’anxiété et des troubles de la concentration le jour.
L’acupuncture, par la stimulation de points stratégiques, agirait sur plusieurs niveaux :
Ces effets physiologiques, désormais prouvés chez l’animal et l’humain, recoupent les descriptions traditionnelles du "calme du Shen" (l’esprit apaisé) et de la "régularisation du Yin" par l’acupuncture nocturne.
La majorité des consultations pour acupuncture à la ménopause portent sur :
Des preuves convergentes montrent d’ailleurs que le traitement par les aiguilles améliore également beaucoup d’autres symptômes concomitants (irritabilité, fatigue chronique, baisse de la concentration).
Une séance typique avec Katty Lhermitte, acupunctrice à Esneux, débute par un échange prolongé sur tous les aspects du trouble :
Dans la pratique, une dizaine de points sont sélectionnés en fonction du diagnostic différentiel :
Le choix et l’agencement de ces points varient selon chaque femme ; parfois d’autres points sont ajoutés pour traiter des symptômes associés (migraines, douleurs, épisodes de tristesse).
Si le sujet de la douleur articulaire liée à la ménopause vous intéresse, vous trouverez plus d’informations complémentaires sur le site.
L’insertion des aiguilles est quasi indolore, et la séance, d’une durée de 20 à 35 minutes, vise à procurer une profonde relaxation – souvent assimilée à un état de demi-sommeil réparateur lui-même. Le cycle classique préconise un minimum de 5 à 10 séances, à raison d’une ou deux par semaine, puis une séance d’entretien mensuelle ou trimestrielle selon l’intensité des troubles.
Selon l’expérience quotidienne de nombreuses praticiennes, dont l’équipe de Katty Lhermitte à Esneux, les améliorations rapportées sont nombreuses :
Ces retours patients sont confirmés par les scores objectifs : questionnaires de qualité de sommeil, échelles d’anxiété et de dépression, actimétrie. Les bénéfices sont observés après 3 à 4 séances chez la plupart des patientes motivées.
Le recours à l’acupuncture pour insomnie ménopausique permet donc très souvent :
L’acupuncture n’est jamais exclusive. Elle se combine souvent avec des approches diététiques (limitant alcool, caféine, épices), la phytothérapie (valériane, mélisse, sauge…) et des techniques de relaxation (sophrologie, cohérence cardiaque, yoga). Mais elle se distingue par ses effets rapides, la personnalisation très fine de la prise en charge, et l’absence de principe actif pouvant interagir avec d’autres traitements.
On notera au passage que d’autres articles du site abordent l’intérêt de l’acupuncture en matière d’accompagnement naturel des migraines ou de gestion de douleurs chroniques associées, fréquentes chez les femmes ménopausées.
La recherche clinique converge : toute femme ménopausée ou en préménopause souffrant de troubles sévères du sommeil, non soulagés par les conseils classiques ou ne souhaitant pas recourir à un traitement médicamenteux prolongé, peut tirer bénéfice de l’acupuncture. Il est conseillé de :
L’acupuncture bénéficie d’un recul de plusieurs milliers d’années et d’une excellente tolérance. Les effets indésirables sont rares (douleurs locales transitoires, petits hématomes, sensations de fatigue passagère dans l’heure suivant la séance). Il est fortement déconseillé de pratiquer l’auto-acupuncture ou de recourir à des praticiens non formés.
La littérature scientifique souligne l’absence de complication sérieuse (chiffre inférieur à 1/100 000 séances dans les grandes cohortes). Par ailleurs, l’acupuncture peut s’intégrer sans difficulté avec tous les traitements hormonaux ou hypnotiques conventionnels – une coordination est simplement requise, notamment dans une démarche de sevrage progressif.
De nombreux suivis à 6 et 12 mois montrent que les femmes ayant bénéficié d’un cycle d’acupuncture pour trouble du sommeil à la ménopause :
Dans la philosophie traditionnelle, l’acupuncture permet aussi de "préserver l’énergie du Jing", essence fondamentale du vieillissement féminin.
De nouvelles études, comme celle de Zhang et al. (2023, PMC9430234), confirment la capacité de l’acupuncture à améliorer la régulation circadienne et la neuroplasticité cérébrale via la modulation de l’expression génétique du récepteur de la mélatonine MT1 dans l’hypothalamus humain. Ces résultats suggèrent un bénéfice durable, au-delà de la simple sédation temporaire, et ouvrent des perspectives inédites face aux défis modernes du vieillissement féminin.
Autre point clé, la stimulation auriculaire et certains points digitaux émergent comme des approches complémentaires très intéressantes, tout particulièrement en automassage pour entretenir l’effet entre deux séances.
Au sein du cabinet d’acupuncture à Esneux, Katty Lhermitte recueille de nombreux témoignages de patientes :
Ces cas s’ajoutent à la vaste littérature internationale positionnant l’acupuncture comme une option sérieuse, accessible et efficace pour traiter l’insomnie féminine de la ménopause.
Un cycle de 8 à 12 séances est habituellement recommandé, les premiers bénéfices pouvant se faire sentir dès la 2e ou 3e séance. Un entretien régulier (tous les 2 à 3 mois) permet de prévenir la rechute.
Pratiquée par un professionnel reconnu (Katty Lhermitte à Esneux), elle ne présente aucun risque sérieux. Quelques effets secondaires mineurs existent (bleus, fatigue passagère), mais ils restent anecdotiques.
Oui, sans danger majeur. L’acupuncture accompagne ou facilite le sevrage médicamenteux, lorsque celui-ci est envisagé et encadré.
Très rares, l’acupuncture est déconseillée uniquement en cas de troubles de la coagulation non contrôlés ou d’infection locale cutanée sévère au point de ponction.
À l’heure où nombre de femmes refusent la fatalité ou les alternatives médicamenteuses coûteuses et parfois risquées, l’acupuncture s’impose comme une réponse de choix, à la fois ancestrale et moderne, validée par la science, pour traiter l’insomnie et les troubles du sommeil de la ménopause. Par son action sur l’ensemble du corps, la sphère psychique et l’énergie vitale, elle redonne bien-être, équilibre, et qualité de vie, sans accoutumance.
N’hésitez pas à consulter Katty Lhermitte pour une évaluation personnalisée et un accompagnement respectueux, centré sur vos besoins spécifiques. Pour les problématiques spécifiques de sommeil, un article complémentaire est également proposé sur le site.
Références scientifiques utilisées :