AcupunctureAcupuncture à Esneux – Katty Lhermitte – Acupunctrice proche de Liège
📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 Esneux
📞 Téléphone RDV : 0471 49 75 81
Vous en avez marre de ce marteau-piqueur dans vos tempes ? Vertiges soudains, coup de fatigue, et cette barre au front qui refuse de vous lâcher même un dimanche matin. Les céphalées chroniques sont un vrai fléau. Elles squattent le quotidien, se glissent dans la routine… Rares sont ceux qui n’en ont jamais souffert. Pourtant, derrière le simple terme de "maux de tête", se cachent mille visages différents : migraine pulsatile, céphalée de tension, ou névralgie persistante. À Liège, mais aussi partout ailleurs, des milliers de personnes jonglent avec ces symptômes handicapants.
En Belgique, on estime que près de 3% de la population adulte souffre de maux de tête au moins 15 jours par mois. C’est vertigineux : cela veut dire que, dans un open-space d’entreprise, au moins une personne sur trente subit la routine infernale de la douleur récurrente. Parfois, cela commence tout doucement : un soir de stress, un lendemain de fête, puis la gêne devient habitude. Bientôt, les antalgiques ne font plus d'effet. La spirale de la dépendance médicamenteuse guette. Un vrai cercle vicieux, avec en prime une baisse sensible du moral.
Pourquoi est-ce si compliqué à traiter ? La réponse est simple et désarmante : chaque patient vit sa douleur à sa manière. Un médicament miracle ? Cela n’existe pas. L’efficacité variable des traitements classiques (anti-inflammatoires, triptans, bêtabloquants…) laisse beaucoup d’entre nous sur le bord de la route. Ajouter à cela la peur des effets secondaires, et on comprend vite pourquoi tant de patients cherchent une solution plus naturelle, plus globale, plus "humaine". Et c’est ici que l’acupuncture, parfois regardée avec scepticisme, entre réellement en scène.
Le propre des céphalées chroniques, c’est leur persévérance. Même après avoir rayé le chocolat, le fromage ou le vin rouge de l’alimentation… Même en ayant testé la méditation ou l’ergonomie de bureau… Pourquoi certains continuent-ils de subir la douleur ? Parce que l’origine de la céphalée est multifactorielle. Enchevêtrement de surcharge psychique, tension musculaire et déséquilibre du système nerveux. La médecine occidentale reconnaît que certains cas résistent à tout traitement. Prendre un médicament, parfois, c’est comme coller du sparadrap sur une fuite d’eau sous pression : cela ne tient pas longtemps.
L’acupuncture regarde le problème autrement. Plutôt qu’attaquer la douleur de front, elle cherche à rééquilibrer l’ensemble de l’organisme. Cela vous étonne ? Pourtant, la notion d’équilibre entre les énergies (le fameux Qi, que l’on écrit aussi "chi") structure toute l’approche orientale. On resitue la migraine dans l’histoire du patient, son mode de vie, son quotidien, son alimentation. Et vous savez quoi ? Beaucoup y trouvent un soulagement durable, surtout quand les autres solutions ont échoué. Envie d’en savoir plus ? On plonge au cœur de la méthode.
Acupuncture à Esneux – Katty Lhermitte – Acupunctrice proche de Liège
📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 Esneux
📞 Téléphone RDV : 0471 49 75 81
L’acupuncture, la fameuse technique des aiguilles fines posées à des points stratégiques du corps, intrigue et fascine. Mais comment ça marche exactement, lorsque le crâne bourdonne de douleur ? Est-ce une illusion ou une réalité physiologique ? La réponse surprend souvent : l’efficacité de l’acupuncture sur les céphalées chroniques est aujourd’hui de mieux en mieux documentée, et commence à convaincre même les médecins les plus cartésiens.
Commençons par une image simple. Imaginez vos réseaux de nerfs, de vaisseaux et de tissus comme une grande ville. Parfois, dans la circulation générale, il y a embouteillage… ou panne de signalisation. Le Qi, cette énergie selon la médecine chinoise, circule moins bien, et les maux de tête émergent sur ce terrain miné. En posant les aiguilles, l’acupuncteur cherche à désengorger ces zones stratégiques, à relancer la circulation… comme un chef d’orchestre qui remet de l’harmonie dans la partition.
Mais ce n’est pas qu’une vision poétique. Les recherches modernes montrent que l’acupuncture stimule la libération de substances-clefs dans le cerveau : endorphines (nos antidouleurs naturels), sérotonine (alliée de la bonne humeur et du sommeil) et modulateurs du stress. À chaque piqûre précise, le système nerveux réagit en activant ses propres mécanismes de réparation. Des IRM ont démontré une activité augmentée dans certaines zones cérébrales après une séance, avec une décroissance nette de la perception douloureuse.
L’acupuncture possède aussi des effets sur le système immunitaire et la microcirculation autour du crâne et des tempes. En cas de céphalées de tension (les plus courantes), elle "détend" littéralement les petits muscles responsables de la douleur, tout en apaisant l’esprit. En cas de migraine, les aiguilles peuvent réguler la vasodilatation, cette ouverture anormale des vaisseaux cérébraux à l'origine des crises. Une étude a montré une réduction de la fréquence et de l’intensité des crises après dix séances régulières. Rien de magique, mais une action progressive et entière du corps, cerveau compris.
Et dans la pratique, comment se passe une vraie séance ? À Liège et aux alentours de Liège, les patients sont accueillis en toute simplicité. Katty Lhermitte, acupunctrice formée, commence toujours par un dialogue approfondi sur la nature des douleurs, leur rythme, leur déclencheur. Elle observe la langue, prend le pouls, évalue les tensions. Le choix des points varie selon que la douleur serre comme un bandeau, tapote comme des gouttes d’eau ou irradie jusqu’à la nuque. Chaque séance dure entre 30 et 50 minutes. Les patients repartent souvent avec une sensation étrange : le crâne "allégé", les tempes relâchées.
Au fil des semaines, nombre de patients notent des changements subtils : des douleurs moins fréquentes, des épisodes moins violents, et un seuil de tolérance au stress qui s’améliore. Étonnant ? Pas tant que ça. Si l’on compare à la prise systématique de médicaments, l’acupuncture n’endort pas le symptôme, elle apprend littéralement au corps à moins réagir. Elle réapprend l’harmonie globale, redonne latitude aux tissus et aux nerfs. C’est pourquoi tant de ceux qui consultent pour céphalées découvrent aussi, au passage, une amélioration du bien-être global (sommeil, digestion, humeur…).
Important : il arrive que les premiers résultats n’apparaissent qu’après quelques séances. C’est normal. Le corps a parfois besoin d’un temps de "réapprentissage". Un peu comme lorsque le soleil revient après des mois de grisaille, il faut un petit moment avant de ranger définitivement parapluies et doudounes.
Vous voulez plonger dans l'expérience ? Commencez par ce témoignage de migraineux soulagé à Esneux, ou par un premier entretien découverte. Une façon sereine d’aborder la question, sans pression ni dogme… mais avec le sérieux d’une médecine éprouvée.
Pour ceux qui veulent lire d’autres exemples, découvrez comment l’acupuncture influe aussi sur les symptômes de stress chronique ou encore sur les troubles du sommeil liés à la douleur.
L’acupuncture ne promet pas des miracles à tout le monde, et aucun spécialiste sérieux ne vous dira le contraire. Mais alors, comment savoir si c’est pour vous ? Premier indice : vous souffrez de maux de tête persistants (plus de 4 par mois), malgré un suivi médical classique, et vous souhaitez limiter la prise de médicaments. C’est le profil type qui consulte de plus en plus chez l’acupuncteur, à Esneux comme partout ailleurs.
Profil type n°2 : Vous avez déjà tout essayé (massages, ostéopathie, changements alimentaires, traitements de fond…) et rien n’a réellement soulagé vos céphalées. Profil n°3 : Vous êtes sensible aux effets secondaires des analgésiques, ou ne voulez pas risquer la spirale des traitements de fond, parfois lourds à porter au quotidien. En clair : l’acupuncture s’adresse à tous ceux qui cherchent un effet durable, sans accoutumance, et qui acceptent l’idée d’un traitement progressif.
Cas particulier : les migraines hormonales de la femme. Là encore, l’acupuncture prouve régulièrement ses effets : meilleure tolérance du cycle, réduction des crises, équilibre retrouvé durant la période du syndrome prémenstruel. Pour approfondir ce sujet, voyez l’article dédié sur l’acupuncture et SPM à Esneux.
Attention : l’acupuncture ne remplace jamais un bilan neurologique ou médical classique. En cas de maux de tête soudains, violents, inhabituels ou accompagnés de troubles visuels, consultez toujours à l’hôpital en priorité. En revanche, après avoir été rassuré sur l’absence de cause grave (AVC, tumeur, infection…), il n’y a pas d’obstacle à se tourner vers cette solution complémentaire.
Comment expliquer l’adaptation de l’acupuncture à chaque cas ? L’acupunctrice choisit ses points en fonction de la localisation exacte de la douleur, de sa durée, de son intensité et des facteurs aggravants. Chez certains, la problématique est dominée par la tension musculaire (travail sur écran, stress intense…) : on cible alors les points du cou, des épaules, du dos. Chez d’autres, la gestion émotionnelle, l’épuisement ou le "trop plein mental" prennent le dessus : ici, le traitement s’oriente vers la régulation du Qi du foie ou du cœur, organes symboliquement liés dans la tradition orientale.
Il existe même des cas où le sommeil, le transit intestinal ou la qualité de l’alimentation jouent un rôle majeur. Pourquoi cela importe-t-il ? Car, en travaillant sur l’ensemble du terrain (ce que l’on appelle la "personne dans sa globalité"), on maximise les chances de voir disparaître non seulement la douleur, mais aussi ses déclencheurs silencieux.
Et pour les sceptiques, sachez que de nombreux sportifs ont adopté l’acupuncture pour améliorer leur récupération et limiter les douleurs récurrentes. Pour aller plus loin, dans la perspective du soin naturel au quotidien, lisez cet article : Pourquoi les sportifs de haut niveau utilisent l’acupuncture ?.
Enfin, les patients souvent étonnés du "bonus" ressenti lors du traitement des céphalées : un lâcher-prise général, une faculté retrouvée à mieux gérer la pression, et une résilience accrue face au tumulte du quotidien. C’est un effet secondaire plutôt envié, non ?
Passons aux coulisses d’une consultation d’acupuncture à Liège. Le premier contact, chez Katty Lhermitte, démarre avec une discussion fouillée. L’objectif ? Comprendre la chronologie et le contexte des céphalées : apparition, fréquence, intensité, facteurs déclenchant et soulageant. Le mode de vie importe tout autant que la fréquence des prises médicamenteuses. Vous n’êtes pas juste "un cerveau douloureux", vous êtes un être global avec fatigue, stress et petites habitudes alimentaires parfois insoupçonnées.
Vient ensuite le diagnostic de médecine chinoise : prise de pouls (plusieurs endroits !), analyse de la langue, palpation du cuir chevelu et du visage pour détecter des points de tension. L’acupunctrice recherche aussi les zones dites "ashi", où la douleur est nichée (comme un minuscule caillou dans la chaussure). Elle interroge : Comment dormez-vous ? Et la digestion ? L’énergie est-elle au beau fixe ? Car cette photographie globale va orienter le choix des points et l’approche du traitement.
L’installation sur la table de soins demande peu de préparation. Vous restez habillé(e) – seuls le crâne, les mains, les bras et, parfois, les jambes sont mis à nu. Les aiguilles sont stériles, ultra-fines : leur pose provoque rarement plus qu’un chatouillement, puis l’impression d’un petit courant. Rien à voir avec les piqûres médicales ! C’est souvent le moment où un peu de stress tombe… Un temps de pause suit, entre 20 et 40 minutes. Certains patients dorment quasi instantanément ! D’autres ressentent une chaleur diffuse ou des picotements doux, voire des vagues de détente qui montent dans la colonne vertébrale puis se diffusent au crâne.
À la fin, l’acupunctrice enlève doucement les aiguilles, réévalue brièvement l’état de détente et planifie la suite. Plusieurs séances sont généralement nécessaires : le rythme dépend de la chronicité et de la sévérité des troubles. Comptez, en général, 1 à 2 séances par semaine au départ, puis un espacement progressif dès que la fréquence des crises diminue. En accompagnement, des conseils personnalisés sont souvent prodigués : hydratation, hygiène de vie, exercices de respiration, voire adaptation diététique selon le diagnostic chinois.
Le saviez-vous ? Les effets secondaires immédiats de l’acupuncture sont rares : parfois une petite marque là où l’aiguille a été posée, rarement un bleu. Les contre-indications existent (troubles graves de la coagulation, phobie extrême des aiguilles…), mais restent l’exception. La grande force de l’acupuncture ? Son innocuité sur le long terme, son absence de toxicité. À l’inverse, les patients en retirent parfois, par surprise, un bénéfice global : meilleur sommeil, concentration accrue, apaisement digestif. Vous avez dit effet domino ?
Dans la prise en charge des migraines et céphalées, la médecine traditionnelle chinoise adapte son protocole : « dissiper le vent interne », « calmer le Yang du Foie » ou « dynamiser l’énergie du Rein ». Ces expressions poétiques se traduisent, pragmatiquement, par la stimulation de points précis : sur les tempes, le sommet du crâne, la nuque, parfois les poignets et chevilles (points "maîtres" des grandes fonctions cérébrales). Ce travail de chef d’orchestre invisible peut, par moment, amorcer une libération émotionnelle ou mentale. Il n’est pas rare que certains patients verbalisent, après la séance, avoir "lâché un poids" ou gagné en lucidité. C’est ça aussi, le miracle discret des médecines complémentaires.
Pour compléter votre vision, découvrez sur cette analyse sur l’acupuncture et les douleurs articulaires une autre facette du "soin global" possible grâce aux aiguilles.
À noter enfin que chaque acupuncteur, fort de son expérience, affine son protocole de séance avec le temps. Katty Lhermitte, proche de Liège, a intégré bon nombre de techniques modernes (aiguilles électriques, moxibustion…) pour personnaliser encore davantage chaque protocole. Résultat ? Une prise en charge loin de la "routine", qui laisse place à l’intuition, à l’écoute et à l’accompagnement humain.
Pensez-y : si le cerveau a la faculté d’engendrer la douleur, il peut aussi en orchestrer la disparition. L’acupuncture agit un peu comme un "reset" doux du système nerveux. C’est la promesse de cette approche millénaire, aujourd’hui validée par la science.
Pour ceux que le lien entre qualité de sommeil et migraines intrigue, consultez également cet article sur le sommeil – souvent, améliorer l’un soulage l’autre !
Comment l’acupuncture peut-elle réduire la fréquence des céphalées chroniques ?
L’acupuncture agit en stimulant certains points du corps qui relancent la circulation de l’énergie et modulent la perception de la douleur par le cerveau. De nombreuses études montrent une baisse significative de la fréquence des céphalées après quelques séances régulières, sans risque d’accoutumance ou d’effet secondaire lourd.
Pourquoi consulter une acupunctrice à Liège plutôt qu’un autre professionnel de santé pour des migraines récurrentes ?
Parce qu’une acupunctrice spécialisée, comme Katty Lhermitte, propose une démarche globale qui va au-delà du simple soulagement du symptôme. Le bilan complet (alimentation, sommeil, stress) permet d’identifier d’éventuelles causes profondes souvent négligées lors de consultations "classiques".
Quand faut-il envisager une prise en charge naturelle des céphalées avec l’acupuncture ?
Dès que les traitements médicamenteux n’apportent plus de soulagement, ou en cas d’effets secondaires gênants, il est recommandé d’envisager un suivi par acupuncture. La méthode complète très bien la prise en charge médicale, surtout pour prévenir les rechutes et réduire l’intensité des épisodes douloureux.
Faut-il obligatoirement arrêter les médicaments lors d’un traitement d’acupuncture pour les maux de tête ?
Non, l’acupuncture s’intègre en complément de votre traitement si besoin. Une adaptation progressive, sous contrôle médical, permet de réduire la prise de médicaments au fil du temps, à mesure que les douleurs s’espacent et s’atténuent.
Linde K. et al., Acupuncture for the prevention of tension-type headache, Cochrane Database Syst Rev, 2016.
Synthèse de 12 essais contrôlés montrant une réduction significative de la fréquence des céphalées de tension avec l’acupuncture par rapport à des traitements "sham".
Vickers AJ. et al., Acupuncture for chronic pain: Update of an individual patient data meta-analysis, J Pain, 2018.
Cette méta-analyse d’envergure montre des effets durables de l’acupuncture sur la douleur chronique, dont les céphalées, avec un effet supérieur au placebo.
Yang Y. et al., Efficacy of acupuncture in migraine prophylaxis: A single-blinded randomized controlled study, Am J Chin Med, 2021.
Étude contrôlée démontrant que l’acupuncture réduit la fréquence, la durée et l’intensité des migraines après 10 séances de traitement.
Posadzki P., Ernst E., Systematic reviews of acupuncture for migraine: An overview, J Headache Pain, 2011.
Analyse de 17 revues systématiques qui confirme une réelle efficacité de l’acupuncture pour la prévention des migraines chroniques.