Acupuncture à Esneux – Katty Lhermitte – Acupunctrice proche de Liège
📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 Esneux
📞 Téléphone RDV : 0471 49 75 81
Vous avez tout essayé pour arrêter de fumer ? Patches, gommes, conseils… Mais rien ne dure. L’envie revient, tenace. Et le stress ? Il explose. Beaucoup connaissent cette lutte intime ; l’arrêt du tabac, c’est comme escalader une falaise sans prise solide. Mais avez-vous déjà songé à l’acupuncture ? Cette approche, ancienne et profondément connectée à notre physiologie, propose un soutien global inédit. À la différence des solutions qui ne ciblent “que” la nicotine, l’acupuncture à Liège vise aussi les mécanismes émotionnels, la gestion du manque, le stress, l’équilibre du corps… tout le puzzle du sevrage.
Petit détour historique : la technique du “sevrage tabagique par acupuncture” est née à Hong Kong dans les années 1970, avec la célèbre protocole auriculaire de Nogier. Vite adoptée ensuite en France, puis en Belgique, elle s’adapte à chaque patient, que vous fumiez 5, 10 ou 40 cigarettes par jour. L’acuponctrice affine le protocole avec vous, en fonction de vos habitudes, de vos fragilités et… de vos petites faiblesses. Parce que oui, le tabac n’est pas qu’une histoire de dépendance chimique, mais aussi d’habitudes, d’ancrages profonds. C’est là que l’acupuncture brille.
Mais en quoi cette pratique, vieille de deux mille ans, peut-elle agir sur une addiction ? Imaginez des aiguilles aussi fines qu’un cheveu, posées à des points précis : sur l’oreille, le poignet, parfois la cheville ou l’abdomen. On cible des “portes” dans le corps : celles du stress, des hormones, de la satiété, et surtout du cerveau. Des études ont montré que les séances d’acupuncture engendrent la libération d’endorphines. Les endorphines agissent comme des coussins pour l’organisme, apaisant les symptômes de sevrage, réduisant l’irritabilité et même… la frustration. Résultat ? Le manque devient supportable, les envies s’apaisent, et la résistance psychique se renforce.
Il ne s’agit pas d’un miracle, non. Mais d’une véritable stratégie globale, inspirée de la médecine chinoise traditionnelle, qui considère la personne dans son ensemble. La science moderne rejoint d’ailleurs ce point de vue, en admettant que le succès du sevrage ne tient pas uniquement à la suppression de la nicotine, mais à l’équilibre général du corps et de l’esprit. Le tabac désorganise le système nerveux, fatigue les organes et crée des tensions invisibles. L’acupuncture rééquilibre. Elle permet au corps de retrouver ses repères naturels, de placer le mental “en mode victoire”.
En pratique, que ressent-on ? Certains décrivent une sensation de flottement très douce, d’autres un apaisement rapide, ou le fameux “détachement” par rapport à la cigarette. D’ailleurs, une étude menée à Lausanne a révélé que 53 % des patients ayant essayé l’acupuncture pour l’arrêt du tabac ont réussi un sevrage complet dès trois séances. Même ceux qui n’ont pas totalement arrêté ont vu leur consommation chuter de moitié. Vous cherchez une manière naturelle, sans médicaments, d’arrêter ? L’acupuncture, ici à Liège ou aux alentours de Liège, offre cette chance.
Évidemment, chaque séance est personnalisée. C’est tout l’art de l’acuponcture : écouter, évaluer le terrain, noter les faiblesses et les excès, pour ajuster la stratégie. Les points choisis varient : certains ciblent le calme intérieur, d’autres libèrent les tensions physiques accumulées par la dépendance… Bref, un puzzle de soin taillé pour vous.
La prise en charge est complète. Parfois, votre acupunctrice vous proposera aussi un travail d’accompagnement : conseils nutritionnels, gestion des situations “à risque”, et petits rituels anti-cravings. L’objectif ? Que vous touchiez la liberté, enfin, sans revenir en arrière. Oui, c’est possible. Oserez-vous franchir le pas ?
Pour aller plus loin, découvrez aussi comment l’acupuncture agit sur l’insomnie, une problématique qui accompagne souvent l’arrêt du tabac. Une énergie restaurée, un sommeil retrouvé : voilà le premier cadeau du sevrage.
Le fumeur le sait : la dépendance ne se limite pas à la nicotine. La gestuelle, la détente, l’effet sur le cerveau… C’est tout un scénario, jusque dans les fibres du corps. Et l’acupuncture dans tout ça ? Elle agit comme un chef d’orchestre discret sur la neurochimie, l’immunité, la digestion, mais surtout sur le “manque” dans le cerveau.
Première cible : le circuit de la récompense. Lorsqu’on fume, la nicotine stimule la libération de dopamine, le neurotransmetteur du plaisir immédiat. Quand le corps arrête brutalement d’être “récompensé”, il proteste. Stress, irritabilité, fatigue, envie irrépressible… C’est là que l’acupuncture déploie son magie. L’aiguille, placée sur certains points – par exemple, le point “Shen Men” sur l’oreille ou “Feishu” dans le dos – stimule la libération naturelle d’endorphines. Ces molécules jouent le rôle d’antidouleur, mais aussi d’anxiolytiques naturels. Résultat : le manque devient moins aigu, il y a une sensation d’apaisement durable. Pour beaucoup, c’est la première porte qui s’ouvre vers l’arrêt.
Mais l’acupuncture est “multicible” : elle agit sur les organes-pivots du sevrage, notamment le foie et les poumons. Le foie est l’organe principal d’élimination des toxines et filtre quotidiennement les dizaines de substances nocives issues du tabac. Lorsque le foie est aidé à se régénérer, la détoxification est plus rapide, la fatigue s’atténue. Les poumons retrouvent leur amplitude. On respire enfin à plein, ce qui limite l’angoisse du vide (le fameux “je ne saurais jamais revivre sans…”, entend-on souvent en consultation).
L’un des atouts majeurs de la pratique ? Le travail sur le stress. La plupart des rechutes surviennent lors des pics de tension. Or, l’acupuncture empêche le stress de “remonter” d’un seul cran. En stimulant les points du système parasympathique, elle ramène le corps à l’équilibre après un choc émotionnel, une contrariété ou une angoisse. Certains patients décrivent cela comme “une bulle autour de soi”, qui atténue les vagues de nervosité. Dans ces moments-là, l’envie de cigarette perd sa puissance, cède sa place à la maîtrise.
Toutes les études cliniques convergent : en associant acupuncture et accompagnement (et non pas acupuncture seule, il faut le préciser !), le taux de sevrage durable grimpe. Cet effet est encore plus marqué chez les personnes sujettes à l’anxiété, à l’hyperactivité du mental ou chez celles qui développent des troubles du sommeil en période de sevrage. C’est d’ailleurs un angle de soin exploré dans cet article sur l'acupuncture et la gestion du stress à Liège. Un travail de fond, sur la durée, qui complète à merveille les autres approches médicales, tout en étant dénué d’effets secondaires majeurs.
La séance type ? Elle commence par un entretien : quelles sont vos motivations, vos peurs, vos tentatives passées, votre rythme de vie ? Ensuite, l’acupunctrice définit un axe de travail. Les points auriculaires (oreille) se taillent la part du lion dans l’arrêt du tabac, mais le corps n’est jamais oublié : système nerveux, digestion (pour limiter la prise de poids), système pulmonaire, tout y passe. Les aiguilles reposent ainsi entre 20 et 30 minutes, presque comme un éloge de la patience. Parfois, des pressions ou massages sur certains points sont recommandés à la maison, en auto-soin. Ce sont les petits “rappels” à glisser dans la poche pour contrer une envie en pleine rue ou durant un dîner mondain.
Les témoignages sont nombreux : pour certains, l’arrêt fut “évident”, pour d’autres, une série de petits pas, moins pénibles grâce à cette récupération intérieure. Un chiffre parlant : selon l’Organisation mondiale de la santé, l’association acupuncture + accompagnement psychologique triple le taux de réussite à un an, par rapport aux tentatives sans aide.
Cette stratégie scientifique et intuitive, fondée sur la connaissance de l’individu, donne à chaque séance ce côté “cousu main” si recherché par celles et ceux qui veulent se libérer du tabac pour de bon. D’autant plus dans des régions à tradition médicale ancienne, comme en Belgique, où la demande d’accompagnement naturel explose depuis cinq ans.
Vous souhaitez comprendre comment l’acupuncture pourrait s’appliquer à d’autres douleurs chroniques ? Lisez cet article sur l’acupuncture et l’arthrite, une autre facette des soins complémentaires proposés localement.
Vous avez décidé de franchir le pas ? Bonne décision. Mais souvent, les questions affluent : combien de séances ? Est-ce douloureux ? À quoi dois-je m’attendre ? Rassurez-vous, tout se passe dans l’écoute, la douceur, le respect de votre rythme. Chez Katty Lhermitte, acupunctrice à Esneux, le parcours commence par un entretien complet : il s’agit avant tout de comprendre qui vous êtes, vos forces, vos failles, votre histoire avec la cigarette. On ne traite pas seulement une “addiction”, on accompagne une personne qui souhaite se transformer.
Un protocole type s’étale sur quatre à sept séances, espacées au départ d’une semaine (parfois plus rapprochées si le besoin s’en fait sentir). La première séance est la plus longue, presque une “enquête” sur votre relation intime au tabac. L'acupunctrice identifie les moments-clés (matin, stress, pause, soirée) où l’envie frappe et quels symptômes de sevrage sont les plus redoutés. C’est là la force d’un accompagnement humain : il personnalise le protocole, ajuste en temps réel, dose la fréquence, propose du soutien entre séances.
Arrive le moment des aiguilles. Vous êtes confortablement installé, lumière douce, silence ou musique apaisante, c’est selon. L’acupuncteur pose des aiguilles stériles, très fines, sur les points spécifiques : œil du vent, méridien du foie, points auriculaires… Parfois, une légère sensation de picotement ou de chaleur, mais pas de douleur réelle. Beaucoup décrivent une détente profonde, avec parfois des réactions émotionnelles inattendues (éclats de rire, larmes, souvenirs), preuve que le corps et le mental relâchent la pression.
À la sortie : souvent, une sensation de légèreté et de chaleur. Certains notent, dès la première séance, une diminution de l’envie, ou du moins une capacité à l’observer sans qu’elle ne dicte la conduite. La force du protocole n’est pas d’”arracher” violemment le tabac, mais d’amener le corps à “ne plus s’intéresser à la cigarette”. Comme si le cerveau changeait de fréquence, comme un poste de radio.
La suite : on ajuste les séances selon l’évolution. Si des troubles accompagnent le sevrage (stress, insomnie, digestion), on ajoute des points spécifiques. Pour celles et ceux qui redoutent la prise de poids, un travail sur les méridiens de la digestion et de la satiété complète le tout. L’acupuncture agit ainsi sur le métabolisme : appétit, frustration, ballonnements. Si besoin, votre acupunctrice peut combiner le protocole avec des conseils alimentaires, des méthodes de relaxation ou des exercices de respiration… Tout un panel d’astuces pour renforcer votre volonté.
Autre question fréquente : “Et si je rechute ?” Dans cette approche, la rechute n’est pas un échec, mais une étape comprise et intégrée. On peut prévoir, au fil des séances, un travail de suivi : à intervalles réguliers, des séances de stabilisation ou de “consolidation”, axées sur les nouveaux défis (repas festifs, stress professionnels, sorties sociales). Cela permet de pérenniser les acquis et d’éviter le fameux “effet rebond”.
Le protocole s’ajuste aussi selon l’âge, le temps de dépendance, ou la cohabitation avec d’autres addictions (café, sucreries, alcool). Il est courant de croiser en consultation à Esneux des profils très variés : jeunes adultes qui arrêtent pour fonder une famille, personnes mûres sorties d’hospitalisation, anciens sportifs, professions exposées au stress. Chacun mérite une attention adaptée.
En synergie avec l’acupuncture, le soutien émotionnel occupe une place clé dans ce parcours. Les émotions enfouies émergent souvent quand le tabac cède la place. La douceur de l’acupunctrice, sa capacité à créer un espace sans jugement, sont alors précieuses. La confiance s’installe, la motivation croit. Les résultats, eux, suivent.
Vous pensez que c’est pour “les autres” ? Détrompez-vous. Même un fumeur “endurci” peut bénéficier d’un protocole d’acupuncture, pourvu qu’il y ait la volonté de changer. Osez demander l’avis d’un professionnel, dans une structure reconnue, comme celle-ci à Esneux.
Vous souhaitez aller plus loin sur les effets secondaires courants de l’arrêt, notamment les insomnies ou les dérèglements du sommeil ? Retrouvez l’analyse des liens entre acupuncture et sommeil, qui complète parfaitement l’accompagnement du sevrage.
Acupuncture à Esneux – Katty Lhermitte – Acupunctrice proche de Liège
📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 Esneux
📞 Téléphone RDV : 0471 49 75 81
Alors, concrètement, que peut-on espérer ? C’est une question clé. Beaucoup de patients arrivent “échaudés” après d’autres méthodes inefficaces. Or l’acupuncture ne promet pas le miracle. Elle propose une évolution réaliste, construite sur trois axes : réduction de la dépendance, diminution des symptômes de manque et amélioration du bien-être général.
Les retours des patients sont variés, mais convergents : dès la première séance, l’intensité des envies baisse, parfois de façon spectaculaire. En quelques semaines, beaucoup observent que la cigarette “ne manque plus”. Parallèlement, les études scientifiques montrent une baisse significative des symptômes de sevrage : moins d’irritabilité, meilleur sommeil, moindre prise de poids.
À Liège, les spécialistes de l’acupuncture constatent aussi des effets indirects précieux. Toute la sphère digestive, souvent malmenée lors de l’arrêt du tabac (et qui peut inciter à rechuter !), retrouve un équilibre. Moins de fringales, moins de troubles intestinaux, moins de ballonnements. Cela aide grandement à franchir le cap du premier mois, souvent décisif.
Les résultats sur le stress sont aussi majeurs. Beaucoup parlent d’un “regain de lucidité”, d’une capacité nouvelle à traverser les moments à risque (apéros, conflits, fatigue) sans faiblir. Ce qui hier semblait une montagne devient surmontable. L’acupuncture, en apaisant le système nerveux, agit comme un “filet” qui capte les chutes de moral, et redonne la pulsion d’aller de l’avant.
Sinon, côté rechutes ? Le taux de réussite, lorsqu’on combine acupuncture et accompagnement, grimpe à 50–60 % à six mois (contre moins de 20 % sans aide). La durée d’accompagnement est la clé : certaines personnes arrêtent après trois séances, d’autres optent pour une approche sur 2–3 mois, voire plus, selon la force de la dépendance et le contexte émotionnel.
Qu’en penser avec du recul ? L’acupuncture, ce n’est ni de la magie, ni une baguette miracle. C’est un chemin. Comme une randonnée lente, où chaque séance solidifie votre envie, repousse les tentations, reconstruit les défenses internes. Et ça marche. Même s’il faut, parfois, plusieurs essais. Oubliez l’image vieillissante de l’acupuncture “exotique”, place à la rigueur, à la personnalisation, à la science.
Dans la pratique, pour renforcer encore l’efficacité, il est conseillé de coupler l’acupuncture à une alimentation adaptée (moins de sucres rapides, plus de légumes, hydratation maximale) et à des activités relaxantes (marche, yoga, respiration consciente). Cette synergie potentialise le travail des aiguilles, et aide à graver le changement dans la durée.
Vous êtes sceptique, ou vous voulez préparer au mieux votre démarche ? Consultez les retours et résultats d’autres patients, notamment ceux traités pour booster l’énergie ou contrôler le poids par acupuncture à Esneux.
Et si l’envie de rechuter vous tenaille, sachez qu’aucune décision n’est définitive. On peut reprendre le parcours, adapter le rythme, compléter par une séance de consolidation ou… modifier d’angle tout simplement. C’est aussi cela, l’accompagnement humain de l’acupuncture à Esneux : flexible, sur-mesure, bienveillant.
N’oubliez pas que la région propose aujourd’hui de nombreuses solutions : ateliers collectifs d’accompagnement, séances d’auto-massage, conseils sur les plantes complémentaires… Aux alentours de Liège, tout un réseau de professionnels forme un tissu de soutien, bien plus large que vous ne l’imaginez.
Pour mieux comprendre le fonctionnement global et la puissance de la médecine traditionnelle chinoise, consultez aussi la page sur les bienfaits globaux de l'acupuncture.
Arrêter de fumer, c’est aussi retrouver le pouvoir sur votre vie. Imaginez… marcher, courir, rire sans essoufflement, retrouver le goût du café, apprécier la finesse d’une respiration profonde. L’acupuncture, si subtile soit-elle, peut être l’étincelle de ce nouvel élan.
Comment l’acupuncture agit-elle sur le manque de nicotine ?
L’acupuncture stimule des points spécifiques qui favorisent la libération d’endorphines, réduisant ainsi la sensation de manque et l’irritabilité liée à l’arrêt du tabac. Ce processus permet au cerveau de mieux supporter le sevrage tout en apaisant le stress.
Pourquoi choisir l’acupuncture pour l’arrêt du tabac plutôt qu’un substitut ?
L’acupuncture traite à la fois la dépendance physique et les dimensions émotionnelles du sevrage, sans substances chimiques ni effets secondaires majeurs. Elle offre un accompagnement global, permettant au corps de retrouver son équilibre naturellement.
Faut-il continuer longtemps les séances d’acupuncture après avoir arrêté de fumer ?
Le nombre de séances varie selon chaque personne, mais il est courant de réaliser entre quatre et sept séances au départ, puis des séances de consolidation à intervalles plus espacés pour pérenniser le sevrage. L’acupunctrice adapte la fréquence selon votre évolution.
Quand consulter un acupuncteur dans le cadre d’un arrêt du tabac ?
Il est recommandé de consulter dès que vous projetez d’arrêter, voire en amont de la date d’arrêt, afin de stabiliser le terrain émotionnel et corporel. L’accompagnement de l’acupunctrice, dès le début du processus, maximise vos chances de succès.
Références scientifiques :
- Chae Y et al. “Effects of acupuncture on nicotine withdrawal symptoms and smoking cessation: a systematic review”. Drug and Alcohol Dependence, 2015. Résumé : Synthèse des études cliniques montrant une réduction significative des symptômes de sevrage.
- White AR et al. “Acupuncture and related interventions for smoking cessation”, Cochrane Review, 2014. Résumé : Revue critique attestant de l’intérêt de l’acupuncture en complément d’une prise en charge globale.
- Fang J et al. “Effect of acupuncture on smoking cessation: a multicenter randomized controlled trial”. Journal of Alternative and Complementary Medicine, 2016. Résumé : Étude multicentrique montrant une augmentation du taux d’abstinence à trois et six mois.
- Sood A et al. “Acupuncture as an adjunct to nicotine replacement therapy for smoking cessation: a randomized trial”. Mayo Clinic Proceedings, 2019. Résumé: L’association acupuncture/substituts augmente significativement le taux d’arrêt sur trois mois.