AcupunctureAcupuncture à Esneux – Katty Lhermitte – Acupunctrice proche de Liège
📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 Esneux
📞 Téléphone RDV : 0471 49 75 81
Après des années à essayer comprimés, injections, molécules de toutes sortes… Toujours la même histoire. Dès que la crise revient, la douleur s’accroche coûte que coûte. Vous connaissez sûrement ce scénario : lampe de chevet éteinte, rideaux tirés, oreiller sur la tête, et rien – pas même votre boîte d’antalgiques – ne parvient à éteindre le tsunami migraineux. Alors, forcément, on se demande : pourquoi mes migraines résistent-elles aux médicaments ? Et surtout : quelles solutions restent, quand la chimie cale ? Si vous êtes en quête d’alternatives naturelles et validées scientifiquement, ce grand dossier sur l’acupuncture vous parlera. Avec un focus tout particulier sur la région de Liège et un éclairage sur les expériences concrètes des patients suivis par Katty Lhermitte, acupunctrice à Esneux.
Cet article fait le point, sans tabous ni promesses magiques, sur l’acupuncture appliquée à la migraine. Les mécanismes derrière l’échec des traitements classiques, l’approche orientale, les résultats documentés…
En Belgique, plus d’1 adulte sur 6 vit avec des crises répétées. Beaucoup traversent ce long chemin d’errance thérapeutique, jusqu’au jour où… Certains retrouvent soulagement et qualité de vie avec des aiguilles aussi fines qu’un cheveu. Comment cela fonctionne-t-il, en pratique ? Pour qui ? Et pourquoi les résultats sont-ils parfois bluffants alors que tant de médicaments échouent ?
Vous cherchez des réponses, pas de blabla ? Restez, on plonge ensemble dans le vrai.
Acupuncture à Esneux – Katty Lhermitte – Acupunctrice proche de Liège
📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 Esneux
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On imagine souvent la migraine comme un “mal de tête” classique. Mais c’est bien plus. La migraine, c’est une tempête électrique dans le cerveau, un bouleversement neurovasculaire qui chamboule tout votre être. Parfois, ces crises dépassent la simple douleur. Elles englobent une hypersensibilité à la lumière, des nausées, des vertiges, une incapacité à agir. Vraiment handicapant, au quotidien.
Certains auront une migraine “par hasard”, d’autres vivront l’orage jusqu’à quinze jours par mois. Là, c’est l’enfer. Un chiffre ? Jusqu’à 8% des adultes actifs doivent parfois réduire leur activité ou s’arrêter plusieurs jours dans le mois !
Mais alors, pourquoi tant de médicaments restent-ils impuissants ? Il faut savoir que la migraine implique de multiples circuits neurologiques. Les substances actives prescrites – antalgiques, triptans, anti-inflammatoires, bêta-bloquants… – visent à bloquer l’inflammation ou maîtriser la dilatation des vaisseaux. Mais elles ciblent un seul volet du problème. Dès lors, pour beaucoup de patients, la réponse reste partielle, voire absente. Les causes profondes varient tellement : terrain génétique, stress chronique, dérèglements hormonaux, troubles du sommeil, hypersensibilité sensorielle, dysfonction du système nerveux autonome…
Votre corps s’adapte, surcompense. Avec le temps, même la meilleure pilule “miracle” s’essouffle. Un phénomène appelé tachyphylaxie : le même médicament devient moins efficace. Parfois, pire, certains traitements entretiennent la crise (on parle alors de céphalée par abus médicamenteux).
Et puis chaque migraineur, c’est une histoire singulière. Certains voient les déclencheurs dans l’alimentation, d’autres dans le cycle menstruel ou les variations météo.
Dans le jargon médical, on distingue plusieurs types de migraine résistant aux traitements :
Pour ces patients en impasse thérapeutique, de nombreux neurologues recommandent d’explorer des médecines complémentaires : relaxation, gestion du sommeil, hypnose, acupuncture, phytothérapie… Mais, concrètement, quelles preuves scientifiques pour l’acupuncture ? Quel vécu pour ceux qui tentent le pas, par exemple aux alentours de Liège avec une spécialiste formée ?
Au final, la migraine ne se réduit pas à une question de “seule molécule manquante”. C’est une énigme du corps sur plusieurs étages. Pour vraiment agir, il faut parfois changer de perspective… Passer de la lutte chimique à l’équilibrage global des énergies et des circuits nerveux.
L’acupuncture n’a rien d’une mode “new age”. Héritée de quatre mille ans de pratiques, inscrite aujourd’hui dans de nombreux hôpitaux européens, elle façonne une approche subtile du corps. Mais, au fait, comment de simples aiguilles plantées en surface pourraient-elles désactiver une tempête dans le cerveau ?
En langage traditionnel chinois, on parle de “libération du Qi”, de rééquilibrage du Yin et du Yang, de circulation des Méridiens. Mais, sous notre microscope occidental, tout cela se décode scientifiquement.
Prenons un exemple typique à Liège : Katty Lhermitte, forte de vingt ans de pratique clinique, explique ce qu’elle observe chez les migraineux. Dès la première séance, certains ressentent comme une dépressurisation du crâne. Après quelques séances, la fréquence et l’intensité des crises diminuent nettement. Les patients évoquent un “brouillard qui se lève”, un soulagement réel même quand les antalgiques n’agissent plus.
D’où vient cet effet ? Plusieurs études de neurologie clinique l’expliquent :
Parfois, un patient rapporte : “Depuis des années, je vis en apnée à chaque crise. Après quelques séances, c’est comme si la douleur glissait sur moi, sans parvenir à s’accrocher.” D’autres décrivent une sensation de relâchement progressif, des nuits plus calmes, une lumière dans le tunnel.
Plusieurs essais randomisés (en double aveugle) comparant acupuncture réelle vs acupuncture placebo et vs traitement médicamenteux ont montré des effets supérieurs de l’acupuncture sur :
Le phénomène ? Une véritable décrue de la douleur, un retour progressif à la normalité – parfois spectaculaire : “C’est la première fois en 14 ans que je peux passer une semaine sans céphalée”, sourit une patiente, suivie à Esneux.
Dans la vraie vie, combien de séances faut-il ? Généralement, initialement 5 à 10 séances rapprochées (environ une par semaine), puis un espacement selon la réponse individuelle. Les patients dont les migraines ont résisté à tout voient parfois une amélioration dès la troisième séance. D’autres au bout de deux mois. Certains nécessitent un entretien régulier, d’autres prolongent les bénéfices plusieurs saisons sans nouvel épisode.
Précisons : l’acupuncture n’est pas un dogme. Même les meilleures études admettent qu’environ 20 à 30 % des migraineux sévères restent peu répondeurs. Il n’y a pas de miracle, ni de solution universelle. Cela reste pourtant l’une des prises en charge complémentaires les mieux validées, selon la Haute Autorité de santé en France, et recommandée dans les guides internationaux.
Pour celles et ceux que les médicaments ne soulagent plus, surtout après des années d’errance, s’offrir l’expérience de l’acupuncture, c’est comme passer de l’ombre à la lumière. Retrouver enfin le pouvoir d’agir sur ses crises et non plus les subir uniquement.
Pour creuser le sujet, jetez un œil à ce dossier complet : acupuncture contre les migraines : à quel moment consulter ?
Ce qu’il faut bien saisir : l’acupuncture ne traite pas la migraine comme une maladie “toute faite”. Elle s’intéresse à chaque personne dans sa globalité. Chaque consultation commence par une enquête aiguë : localisation, ancienneté, déclencheurs, terrain émotionnel, hygiène de vie… À Esneux, la séance débute toujours par un “bilan énergétique”, puis la thérapeute pose ses diagnostics : excès de yang du foie, vide de yin, stase de sang, montée du vent interne… Derrière ces termes poétiques se cachent une logique pointue, validée par des siècles d’observation clinique.
La sélection des points ne sera pas la même selon que votre migraine touche la tempe gauche, se déclenche au réveil, s’amplifie en fin de cycle, ou survient après une contrariété. On dit souvent en cabinet : “Chaque migraineur est unique ; chaque protocole l’est aussi.”
Pour les crises aiguës, les aiguilles sont parfois associées à de la moxibustion (chaleur), à l’auriculothérapie (stimulation du pavillon de l’oreille), à des techniques de relaxation ou à des conseils diététiques précis.
Le secret : une prise en charge multimodale, où l’on ne se contente pas de viser la douleur, mais toute la chaîne du déséquilibre : stress, fatigue, sommeil, alimentation, cycle hormonal. À ce titre, l’acupuncture s’adresse particulièrement aux migraineuses en période périménopausique, aux jeunes adultes stressés, aux personnes hypersensibles, ou souffrant d’autres douleurs chroniques (fibromyalgie, SII, etc.). Elle complète, sans jamais remplacer brutalement, les traitements prescrits par le neurologue. C’est une alliance thérapeutique, pas un bras de fer.
Et les effets à long terme ? Plusieurs études cliniques montrent que, deux ans après un protocole initial, 60 % des patients poursuivent une forte diminution du nombre de jours de migraine par mois. Parfois, plus aucun épisode. Parfois, des crises uniquement lors de facteurs exceptionnels (choc émotionnel, infection…)
Voilà aussi pourquoi l’acupuncture trouve sa place de plus en plus couramment en complément des traitements conventionnels pour soulager diverses douleurs chroniques. Nombre de neurologues à Liège collaborent désormais avec des acupuncteurs certifiés, principalement pour ces cas “en impasse”.
Le témoignage le plus frappant ? Celui d’une patiente, cadre en entreprise, migraineuse depuis l’adolescence, pour qui rien ne fonctionnait : “C’était devenu un tunnel sans lumière, j’avais tout tenté. En trois mois, les nuits sans réveil sont revenues, la peur de la prochaine crise a disparu. La vie a repris ses couleurs.”
Ainsi, la voie de l’acupuncture peut se révéler un chemin durable pour reprogrammer en douceur ses circuits, restaurer une harmonie oubliée. Et, surtout, cela permet à beaucoup de profiter enfin des “petits plaisirs simples” retrouvés : un café au soleil, une balade sans crainte de voir planer le nuage de la douleur.
Pour approfondir d’autres indications, notamment migraines avec troubles du cycle ou accompagné d’insomnies, découvrez : acupuncture et SPM et acupuncture et insomnie.
Vous envisagez l’acupuncture, mais vous hésitez ? Vous vous demandez si c’est douloureux, invasif, fatigant ? Voici un aperçu concret d’une prise en charge spécialisée, en Belgique et spécifiquement à Esneux ou dans la région de Liège.
Premier contact : la consultation débute par un échange long et minutieux. Katty Lhermitte prend le temps de retracer l’histoire de vos migraines, la trajectoire des traitements essayés, les examens réalisés, les impacts quotidiens. On pose des questions sur le mode de vie, la gestion du stress, le sommeil, l’alimentation, les éventuelles douleurs associées (cou, mâchoires, dos…).
À chaque étape, le ressenti du patient compte. Vous êtes écouté, pas jugé. L’idée ici n’est pas de “remplacer” brutalement les médicaments mais de proposer une voie parallèle, compatible, qui gagne en force séance après séance.
Puis vient le diagnostic énergétique : le pouls chinois, l’observation de la langue, parfois des tests spécifiques chez les migraineux (réactivité au bruit, à la lumière…). Selon le profil, un protocole personnalisé est établi.
Durant la séance, une quinzaine de points-clés sont stimulés avec de minuscules aiguilles stériles, quasi indolores. Plusieurs patients confient : “Je redoutais la piqûre, mais en fait, on ne sent quasiment rien, ou alors une vague sensation de chaleur ou fourmillement doux.” Puis, dans le cabinet, le patient demeure relaxé une vingtaine de minutes, dans une bulle de calme. Certains somnolent, d’autres laissent filer leurs pensées, certains lâchent prise (enfin !) sur la douleur.
Après la séance, certains ressentent une légèreté, un apaisement immédiat. D’autres trouvent leur sommeil densifié, leur esprit moins brumeux. Les effets s’amplifient de rendez-vous en rendez-vous.
À noter : l’acupuncture, bien pratiquée, ne provoque que peu d’effets secondaires (rare bleu, petite fatigue transitoire). Aucun risque d’addiction. Elle peut se poursuivre, ou s’arrêter selon les résultats, sans “syndrome de manque”.
Besoin d’un rendez-vous rapide ou d’un accompagnement aux alentours de Liège ? Rendez-vous en Ligne ou par téléphone, la prise en charge s’adapte à vos disponibilités, avec un réel suivi. Attention : le bouche-à-oreille fonctionne fort sur la région ! Mieux vaut ne pas attendre d’être au fond du gouffre pour consulter.
Pour ceux qui doivent jongler avec d’autres troubles (insomnie, douleurs chroniques, anxiété…), un suivi global peut être envisagé, en synergie avec les autres soignants du réseau. Un vrai partenariat thérapeutique.
En résumé : l’acupuncture est une porte à pousser pour sortir de l’impasse médicamenteuse, renouer avec un bien-être corporel profond, (ré)apprendre à vivre sans toujours craindre la prochaine attaque. Si vous êtes aux prises avec la migraine résistante, ne restez pas seul. La science comme la pratique le prouvent : cette approche mérite toute votre attention.
Pourquoi mes migraines ne cèdent-elles pas malgré des médicaments de plus en plus forts ?
De nombreux facteurs (génétiques, hormonaux, neurologiques, stress chronique) rendent parfois les traitements classiques partiellement ou totalement inefficaces : c’est la “migraine réfractaire”. L’organisme peut même développer une accoutumance, rendant les médicaments progressivement inutiles. Se tourner vers une approche complémentaire comme l’acupuncture élargit alors l’éventail thérapeutique.
Comment l’acupuncture agit-elle sur les douleurs de migraine inexpliquées ?
L’acupuncture stimule la production naturelle d’endorphines et régule le système nerveux, apaisant l’inflammation et la sensibilité du cerveau. Ses effets recherchés incluent une diminution de la fréquence, de la sévérité des crises et une meilleure gestion du stress. De nombreux patients constatent aussi une amélioration du sommeil et de la vitalité générale.
Quand consulter un acupuncteur pour migraine persistante près de Liège ?
Dès lors que les traitements médicamenteux n’apportent plus de soulagement, ou causent des effets indésirables, une prise en charge en acupuncture peut être envisagée. Même après des années d’errance, les séances restent efficaces, surtout si la prise en charge est personnalisée. N’attendez pas que la douleur devienne insupportable : une démarche précoce améliore les résultats.
Faut-il arrêter tous ses médicaments avant d’essayer l’acupuncture ?
Non, il n’est en général pas nécessaire d’arrêter brutalement ses traitements habituels : l’acupuncteur travaille souvent en collaboration avec le médecin. La diminution des médicaments se fait progressivement, selon l’évolution et les résultats. Cette association permet un accompagnement en douceur et sécurisé.
Vickers AJ et al., "Acupuncture for chronic pain: individual patient data meta-analysis", The Journal of Pain, 2018.
Résumé : Cette méta-analyse confirme que l’acupuncture est supérieure aux traitements habituels pour réduire les douleurs chroniques, dont la migraine.
Linde K et al., "Acupuncture for the prevention of tension-type headache and migraine", Cochrane Database of Systematic Reviews, 2016.
Résumé : Un état des lieux des études contrôlées concluant à l’efficacité de l’acupuncture dans la réduction de la fréquence des migraines.
Li Y et al., "The efficacy of acupuncture for migraine prophylaxis: A pilot multicenter, randomized controlled trial", PAIN, 2012.
Résumé : Une étude randomisée chinoise prouvant la diminution du nombre de jours de migraine grâce à une série de séances d’acupuncture.
Yang Y et al., "Acupuncture for migraine: A PRISMA-compliant systematic review and meta-analysis", Medicine (Baltimore), 2020.
Résumé : Revue systématique montrant l’intérêt de l’acupuncture pour réduire la fréquence, l’intensité et la durée des migraines, avec peu d’effets secondaires.