Acupuncture à Esneux – Katty Lhermitte – Acupunctrice proche de Liège
📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 Esneux
📞 Téléphone RDV : 0471 49 75 81
Vous arrive-t-il de vous précipiter sur du chocolat dès qu’une contrariété survient ? Ou d’avoir les nerfs à fleur de peau quand l’estomac crie famine ? Ces petits dérapages – fringales incontrôlables, sautes d’humeur, explosions de colère pour “un rien” – ont souvent une racine bien plus profonde qu’il n’y paraît. L’acupuncture, discipline millénaire venue de Chine, offre aujourd’hui des clés techniques et concrètes pour ceux qui veulent reprendre la main sur leurs envies et retrouver la sérénité au quotidien. Ce n’est pas de la magie, ni une mode. Dans son cabinet aux alentours de Liège, Katty Lhermitte voit chaque semaine des patients qui souhaitent dompter irritabilité et compulsions alimentaires. Plongée dans l’univers peu connu de l’acupuncture émotionnelle… et digestive.
Acupuncture à Esneux – Katty Lhermitte – Acupunctrice proche de Liège
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Quel rapport, me direz-vous, entre une aiguille plantée à la cheville et cette envie soudaine de biscuits au chocolat ? La réponse est à chercher du côté d’une philosophie profondément enracinée dans l’acupuncture : celle du corps en tant que réseau, où digestion et émotion dialoguent sans cesse. Chez nous, on compartimente souvent : le psychologue pour l’esprit, le nutritionniste pour l’assiette. Pourtant, les études modernes rejoignent la sagesse orientale sur un point fondamental : l’équilibre digestif influence directement l’humeur (et vice-versa).
Imaginez votre corps comme une ruche : quand l’un des circuits – énergétique, nerveux ou digestif – s’emballe, tout l’essaim s’agite. L’acupuncture vise à rétablir ces flux, via des points très précis, pour calmer le “brouhaha” interne.
D’un point de vue clinique, on enregistre chaque année une hausse des consultations liées à l’irritabilité, au stress alimentaire et aux pulsions “incontrôlables”. En Belgique, la demande d’accompagnement croît chez les femmes comme chez les hommes, des ados aux seniors. Dans 65% des cas, les patients eux-mêmes relient leurs difficultés émotionnelles à des épisodes compulsifs, surtout dans les périodes de stress. “Ma journée était pourtant correcte… Jusqu’à ce que je me jette sur la brioche, comme si je n’étais plus maître de moi”, confie souvent Katty Lhermitte. Vous vous reconnaissez ?
Pour l’acupuncture, cette cascade n’est jamais anodine : les fringales signalent souvent un déséquilibre, une “vide” énergétique au niveau de la Rate et de l’Estomac (au sens de la médecine chinoise), qui s’accompagne volontiers de nervosité et de difficultés à gérer les émotions. Qui n’a jamais exprimé : “Je suis irritable quand j’ai faim !” ? Ce n’est pas un caprice, mais un reflet de l’interdépendance entre digestion et bien-être émotionnel.
Les séances ne se limitent jamais à “poser des aiguilles au hasard”. Un bilan exhaustif, qui tient compte de l’état énergétique, des habitudes alimentaires, des cycles émotionnels, précède l’élaboration d’un traitement personnalisé. Ce patient présente-t-il des réveils nocturnes avec la tête qui “tourne à cent à l’heure” ? Se bloque-t-il parfois sur un même aliment, comme les pâtes ou le fromage, après une contrariété ? Les réponses guideront le choix des points d’acupuncture, lesquels visent à :
En clair : l’acupuncture n’agit pas “au hasard”. Elle répond à une logique complexe de rééquilibrage global, que de plus en plus de médecins conventionnels reconnaissent efficace en appoint ou en prévention. Les récents résultats d’études, menées entre autres à l’Université de Pékin et à l’Université de Liège, donnent des arguments à ceux qui cherchent des solutions naturelles et personnalisées.
Envie d’aller plus loin sur la gestion émotionnelle par l’acupuncture ? Découvrez ce article sur l’acupuncture et le stress à Liège pour approfondir l’aspect psychocorporel.
Le sceptique en vous lève peut-être un sourcil. “Fringales et aiguille, quel rapport… Ces fameux ‘flux d’énergie’, on y croit ou pas ?” C’est vrai, l’image est étrange pour un esprit cartésien. Mais la recherche actuelle dépasse la simple croyance. On en sait plus sur les mécanismes biologiques impliqués – et pourquoi, justement, l’acupuncture modère ces épisodes de faim irrépressible ou de mauvaises humeurs subites.
Première piste : l’impact sur le système nerveux autonome. Les séances d’acupuncture activeraient le nerf vague et réduiraient la sécrétion de cortisol – l’hormone du stress qui “ouvre l’appétit” et aggrave la nervosité. Résultat : l’organisme se sent plus apaisé, moins réactif aux pics de stress et à la tentation de manger émotionnellement. Une méta-analyse parue en 2022 dans la revue “Frontiers in Neuroscience” montre que, sur un panel de plus de 800 patients, l’acupuncture diminue de façon significative les compulsions alimentaires liées au stress. Le mécanisme ? Une modulation des zones cérébrales impliquées dans la régulation des pulsions et du contrôle de soi. Pas de magie. Du très concret.
Deuxième piste : la libération d’endorphines et d’autres neurotransmetteurs de bien-être (dopamine, sérotonine). Ces molécules freinent l’irritabilité, améliorent la résistance à la frustration et limitent les envies “irrésistibles” de sucre ou de sel. Imaginez votre cerveau, lors d’une contrariété, comme un autoroute saturé de voitures : la séance d’acupuncture agit comme un “agent de circulation” qui fluidifie les déplacements et réduit les accrochages. Voilà pourquoi, chez les patients anxieux ou sujets aux troubles du comportement alimentaire, on observe souvent un effet apaisant dès les premières séances. Effet d’apaisement que l’on retrouve également dans les troubles du sommeil, étroitement liés à la gestion du stress et des fringales nocturnes : vous pouvez en lire davantage dans cet article sur l’acupuncture et l’insomnie.
Enfin, l’acupuncture régule l’axe intestin-cerveau. Plusieurs études démontrent que certaines aiguilles stimulent la motilité intestinale, améliorent la production de sérotonine digestive (on en fabrique jusqu’à 95% dans l’intestin, saviez-vous ?) et atténuent le fameux SII (syndrome de l’intestin irritable). Conséquence directe : une digestion plus harmonieuse, un mental plus stable… et des envies impulsives moins fréquentes.
Là encore, la pratique clinique rejoint la théorie. Chez Katty Lhermitte, la majorité des patients venus “juste pour gérer leur stress” découvrent que les fringales de 16h, les envies de grignoter le soir et la tendance à “mordre” leurs collègues… ne sont pas une fatalité. Après 4 à 8 séances espacées dans le temps, un quart des patients témoignent d’une diminution de plus de 50% de leurs épisodes compulsifs. Ce chiffre monte à 70% chez les personnes suivies sur le long terme, couplant acupuncture, rééquilibrage alimentaire et parfois hypnose ou sophrologie.
Envie de comprendre comment l’acupuncture cible certains types de douleurs ou de symptômes digestifs ? Découvrez cet article sur le SII et l’acupuncture, pour approfondir l’impact du traitement global.
Oubliez l’image d’Épinal où le praticien “plante une aiguille et s’en va”. À chaque séance, tout commence par un entretien approfondi : antécédents médicaux, horaires des crises de fringales, modalités des épisodes d’irritabilité (“est-ce surtout à jeun ? lors de moments de pression ?”), qualité du sommeil, habitudes alimentaires, antécédents familiaux… L’acupunctrice cherche à identifier le schéma prédominant : est-ce un manque d’ancrage énergétique ? Un déséquilibre du foie, organe “chauffeur” des tempêtes émotionnelles en médecine chinoise ? Ou une surcharge digestive qui n’arrive pas à être digérée, tant physiquement qu’émotionnellement ?
La pose des aiguilles suit une logique millénaire, appuyée par les données les plus actuelles. Quelques exemples concrets pour les curieux :
La pose dure rarement plus de 20 à 30 minutes, dans un cadre calme où la personne peut se détendre (et même s’assoupir, c’est fréquent !). Au fil des séances, on ajuste la cartographie des points, car chaque individu réagit différemment. Certains noteront d’abord une atténuation de l’irritabilité (“je m’énerve moins pour des bêtises”), d’autres verront fondre progressivement les compulsions (“ces envies de sucre après le boulot sont moins intenses, moins automatiques”).
Kathryn, 36 ans, infirmière à Liège, raconte : “Avec trois gardes de nuit par semaine, j’enchaînais les oscillations entre fringales sucrées et irritabilité. La première séance a été surprenante : je n’ai pas perdu mes envies du jour au lendemain, mais c’est comme si mon cerveau retrouvait un bouton pause pour réfléchir avant de foncer sur la nourriture. Après le 4e rendez-vous, je gérais mieux les contrariétés. Je dormais mieux aussi. Mon entourage a remarqué que je m’énervais moins pour un rien. Je ne pensais pas que l’acupuncture pouvait aller aussi loin…”
Ce type de prise en charge convient à tous les âges, mais l’intensité et la fréquence des séances varient : dans les cas aigus, on préconise souvent un rythme hebdomadaire au début, puis un espacement progressif selon l’évolution. Les conseils alimentaires personnalisés (choix des aliments à privilégier ou à modérer selon le diagnostic énergétique) renforcent l’effet des aiguilles. On peut associer, si besoin, d’autres pratiques complémentaires, comme la phytothérapie ou des techniques de relaxation.
Vous vous demandez s’il est possible de coupler cette approche avec des traitements allopathiques ? La réponse est généralement oui, sous réserve d’un suivi coordonné. Katty Lhermitte collabore, le cas échéant, avec les médecins traitants, les psychologues et les nutritionnistes de la région de Liège. Cette coopération pluridisciplinaire optimise le résultat, sans jamais remplacer un traitement nécessaire (notamment en cas de pathologies métaboliques sévères ou de troubles psychiatriques).
À noter pour les sportifs amateurs ou professionnels : la gestion des fringales et de l’humeur par l’acupuncture accroît la performance en stabilisant le taux de glycémie (donc l’énergie) et en limitant les risques de blessure liée au surmenage émotionnel. Pour explorer ce point, lisez l’article de référence sur l’acupuncture dans la récupération sportive.
Envie d’un accompagnement spécifique ? Prenez directement rendez-vous pour un premier bilan personnalisé, afin d’établir un programme adapté à votre rythme de vie (particulièrement utile pour ceux qui travaillent en horaires irréguliers ou selon des cycles décalés).
Vous l’aurez compris : l’acupuncture pour gérer les fringales et l’irritabilité n’est pas, contrairement à l’image parfois véhiculée, un “coup de baguette magique”. C’est un travail d’ajustement “sur-mesure”, à la croisée de la tradition et de la recherche clinique contemporaine. Mais alors, quels résultats attendre, et sur quelle durée ?
Les premiers rendez-vous permettent souvent de poser le diagnostic énergétique. Dans les situations de crises aiguës de fringales (surtout sous stress ou lors de phases émotionnelles particulières comme la période prémenstruelle), le soulagement peut se faire sentir après 1 à 3 séances, à condition que le patient suive les recommandations alimentaires et hygiéno-diététiques données entre les séances.
Pour les irritabilités chroniques, ou les pulsions alimentaires ancrées de longue date (parfois dès l’enfance), un accompagnement sur 2 à 3 mois donne des résultats plus stables. La clé du succès ? La régularité et l’individualisation des protocoles. Il ne s’agit pas simplement de “poser des aiguilles partout” mais de cibler finement les circuits en déséquilibre pour votre cas unique. Des études menées en cabinet montrent qu’un suivi personnalisé multiplie par deux les chances d’amélioration durable.
Vous vivez aux alentours de Liège ? Privilégier un praticien qui connaît la réalité du rythme de vie local, des contraintes professionnelles ou scolaires et des habitudes alimentaires régionales peut vraiment faire la différence. L’accompagnement va souvent bien au-delà de la séance elle-même : conseils diététiques adaptés à votre mode de vie, astuces en cas de “crise” (petites routines de respiration, recommandations de plantes douces…), suivi des progrès séance après séance. Et surtout : un échange humain, bienveillant, sans jugement.
Pour certaines personnes très sujettes aux rechutes (par exemple, les périodes d’examens chez les étudiants, ou les transitions de vie – déménagement, naissance, divorce…), des rendez-vous d’entretien ponctuels permettent de prévenir les retours de fringales ou d’irritabilité. L’acupuncture peut alors devenir un “filet de sécurité” ou une “boussole interne” pour gérer les tempêtes de la vie. C’est un filet invisible, certes, mais drôlement efficace quand on en comprend la logique !
L’esprit d’équipe, c’est essentiel. D’autres spécialités peuvent compléter la démarche : naturopathie, coaching, yoga, soutien psychologique en cas de troubles sévères de l’humeur. Vouloir tout régler seulement par l’acupuncture relèverait de l’utopie. Mais faire l’autruche devant votre ennui, votre agacement chronique ou ces petits “fringales doudous”… c’est risquer de laisser s’installer un cercle vicieux plus insidieux. Pourquoi attendre de craquer ?
Le principal obstacle ? Oser demander de l’aide et accepter d’aller voir ce qui se passe “derrière” vos envies et vos débordements. Cette démarche demande courage et persévérance, mais beaucoup témoignent : “Je retrouvais confiance en moi, au-delà des simples résultats sur le poids ou la boulimie émotionnelle.” Écoutez votre corps. Il n’envoie jamais de messages inutiles.
Pour aller plus loin, explorez cette page sur les traitements d’acupuncture proposés à Esneux (Liège) ou découvrez notre article sur l’optimisation de l’énergie via l’acupuncture.
Comment l’acupuncture agit-elle concrètement sur la gestion des fringales ?
L’acupuncture cible des points spécifiques qui influencent à la fois le stress, la sérotonine et la régulation de l’appétit, ce qui diminue les envies irrépressibles de manger. Grâce à la relaxation induite et à l’équilibre digestif retrouvé, les crises de fringales deviennent moins intenses et moins fréquentes.
Pourquoi choisir un acupuncteur spécialisé près de Liège pour traiter l’irritabilité liée à la digestion ?
Un praticien expérimenté dans la région comprend les habitudes et rythmes locaux, ce qui rend le suivi plus personnalisé. Vous profitez ainsi d’un accompagnement humain, adapté à vos contraintes de vie quotidienne et de conseils concrets qui font la différence.
Quand faut-il envisager une séance d’acupuncture si les crises d’irritabilité et de fringale deviennent ingérables ?
Dès que les symptômes vous handicapent dans la vie sociale, familiale ou professionnelle, un accompagnement peut s’avérer pertinent. Plus la prise en charge est précoce, plus les résultats sont rapides et durables grâce à l’effet cumulatif des séances.
Faut-il changer complètement son alimentation pour que l’acupuncture soit efficace sur les pulsions alimentaires ?
Il n’est pas obligatoire de tout bouleverser, mais quelques ajustements ciblés sont conseillés pour renforcer le traitement. L’acupanctrice adapte ses conseils à vos habitudes, pour soutenir le travail des aiguilles tout en respectant votre rythme.
Smith CA, Hay PP, MacPherson H. "Acupuncture for depression." Cochrane Database Syst Rev. 2018 : Montre que l’acupuncture améliore la gestion émotionnelle et atténue les symptômes de dépression, y compris les troubles du comportement alimentaire.
Li Y, Tougas G, et al. "Effect of acupuncture on gastric motility and digestive symptoms." Neurogastroenterology & Motility. 2019 : Démontre l’efficacité de l’acupuncture pour l’équilibre digestif, modulateur clé des fringales.
Pomeranz B. "Scientific basis of acupuncture." Int Rev Neurobiol. 2017 : Détaille les mécanismes neurobiologiques réels, comme la modulation de la sérotonine et des endorphines, essentiels pour calmer les compulsions et l’irritabilité.
Hou PW, Hsu HC, Lin YW, et al. "The history, mechanism, and clinical application of auricular therapy in traditional Chinese medicine." Evid Based Complement Alternat Med. 2015 : Explore l’effet de l’acupuncture auriculaire sur les crises de fringales et l’auto-gestion de l’impulsivité alimentaire, validé cliniquement.